ANNÉE - N 317. Les Abonnements ne sont reçns que polir treiE lais, sise js on V

ANNÉE - N 317. Les Abonnements ne sont reçns que polir treiE lais, sise js on Vn St, et na eommence,,k que ds I« n 4e t6 de mots. Les louresnpi affran hies ne so pas reçues. PPIY DE L'ABpN.'T f En aE. Toulouse (cille ., 6 â4 fr. 43 [r. 12 fr: Franco a et ATg,rie. I 14. Etranger, suirant les convenuonspostalesa imo. Bosnxt et GrtiRec, rue St-Rome r46. ' Edition du matin. Dépéciie télégraphique éleetrique Bureaux du journal à RUE 6ÀINT4 ÛME, 4g, Toulouse. AL DE TOIJiOLS x:w-,.- - ^AP n l'OLITlQU ET LITTÉRAIRE. ot>alaJ paratt tous `JcSilourL. du Midi, à Castelnaudary (Aude); l'enfant est né à Toulouse, à bord de tabargge. Gausser (André), journalier, à Toulouse, rue Saint-Antoine-du-T, 18. Loste (Joseph), aubergiste; à Toulouse, rue des Lois, 12. Raufaste (Pierre-Auguste), marchand colporteur à Toulouse, rue Riquet, 2. Arrondissement de Ville franclee. Cambon (Macaire), cultivateur, à Avignonet. Gaussens (Jean), tailleur, à Montgeard. Tarrisses (Jean), cultivateur, à St-Félix. Tissié (Jacques), laboureur, à St-Rome. Arrondissement de St-Gaudens. (PARTICULIÈRE). . Paris, lundi 17 novembre. Liverpool, 16 novembre. L'AraLia, qui a quitté New-York le 4, apporte 755,196 dollars. Les résultats connus de l'élection Présidentielle aux Etats-Unis sont favorables à M. Bucbanan. La Curnespondance prussienne du 16, dit : Le gouvernement exercera directement son autorité Sur euchfitel. II exigera la reeànpaissance de sa souveraineté. M. Bastide, nommé procureur impérial au Tri- bunal de Villefranche, était substitut, non point à ce siége, mais à Montauban. M. Coste, avocat, à été nommé substitut à Vil- lefranche. ,Voie la dernière Dépêche à la 3e page. Touiouse, 'I 7 novembre. Nous avons inséré dans notre numéro du 14 novembre , une circulaire de M. le préfet de la Ilaute-Garonne relative aux enfants légitimes, qui étant nés le 16 mars dernier, ont obtenu, sur la demande de leurs parents, l'auguste parrainage de Leurs Majestés Impériales. Pour compléter cette communication, nous don- nous Ci-après, les noms et le domicile des familles auxquelles cette faveur a été accordée : Arrondissement de .Toulouse. Bacquié (Jacques), boulanger, à Ramonville- Saint-Agne. Balard(Jacquès), maçon-charpentier, à Garidech. Rouas (Louis-Marie), sculpteur, à Toulouse, rue des Jardins, il. Boutiq (Antoine), cultivateur, à St-Rustice. Cannivenq (François),. forgeron, à Toulouse, rue de Sept-Troubadours, 56. Caudesaignes(Yvert-Hubert), marchand de cuirs, à Toulouse, rue faubourg St-Etienne, 31. Cavallié (Jean), tailleur, à Ondes. Dot (Guillaume), cultivateur, à Tournefeuille. Escot (Blaise),- propriétaire-cultivateur, à Au- zeville. Estevin (Guillaume), tailleur, à Toulouse, rue Valadc, 27. François (Pierre), patron de barque sur le canal FEUILLETON DU JOURNAL DE TOULOUSE DU 11 \OVEi1BRE 1856. LE DERNIER DES FLIBUSTIERS. CINQUIÈME PARTIE, LE ROI DES ROIS. N' 144. !suite. - voir le numéro du t6 novembre Le commandant Frangon écrivait à l'île-de- France a Les dispositions des naturels à notre égard so modifient favorablement de jour en jour. Je n'é- prouveplus aucune des difficultés que j'avais le déplaisir de vous signaler dans mes précédents rapports. - J'ignore ce qui se passe à l'île Sainte. Marie, à Foule-Pointe et à Tamatave; mais il devient évident pour moi qu'en se sentant af- franchis du joug de l'aventurier Béniowski, les in- digènes d'AnosSi et des provinces limitrophes sont heureux de renouer avec les colonies françaises les relations commerciales qui font leur richesse. n Capricorne Ief, qui s'était promis d'abord de traiter avec une sévérité exemplaire Jean de Paris, ordonna de lui annoncer qu'il lui accordait sa grâce. L'infortuné soldat, depuis quelques mois, vivait caché au fond des forêts, ne craignant pas moins les indigènes et les gens de Capricorne I°C, que les soldats de Stéphanofl ou les bêtes féroces. Tu es assez puni,'mordious ! lui dit le clément Capricorne, tu 'es pas sot, tu connais l'amour , Agasse (François), garde-forestier, à Metles. Beyt (Dominique), cultivateur, à St-Frajou. Boué (Dominique), cultivateur, à Lodes. Cazaubon (Gaudens), laboureur, à St-Gaudens. Despax (Bernard), facteur de ville, à l'Isle-en- Dodon. Gouspeyre (Arnaud), cultivateur, à Ponlat- Taillebourg. Laffont (Valentin), maçon, à Montoulieu. Rivière (Jean), propriétaire, à Encausse. Sabadie (Jeammes), marchand, à Galié. Sarradet (Julien) dit Angline, à Aspet. Téoulé (Alexandre), meunier, à Banque. Arrondisement de Muret. Barriehon (Pierre), cultivateur, à Lherm. Dejan (Jean), cultivateur; à Gaillac-Toulza. Lundi aura lieu, dans le local de la Faculté de Droit, et sous la présidence de M. Rocher, recteur de l'Académie, la séance solennelle pour la distri- bution des prix aux lauréats des Facultés de droità des sciences et des lettres et de l'école de méde- cine. a On nous écrit de Paris M. Rouland, le nouveau ministre de l'instruction publique, ne demeure pas inactif. Il va, dit-on, reprendre et mettre en voie de sérieuse réalisation le projet relatif aux 'écoles normales de filles, dont se sont plusieurs fois occupés ses prédécesseurs, notamment M. Fortoul. Cette création, qui comblera une très-regretta- hie lacune de notre système d'éducation primaire, comprendrait à la fois des institutions laïques et congréganistes. II y aurait une école normale de filles au chef-lieu de chaque ressort d'académie. Nous avons déjà annoncé le concertque les de- moiselles Ferni doivent donner, lundi, salle de l'Athenée. Les amateurs de la belle musique doivent se hâter, s'ils veulent entendre les deux éminen- tes virtuoses; les demoiselles Ferni ne peuvent accorder à Toulouse plus de trois soirées; elles sont attendues prochainement à Marseille, puis à Nice, où elles doivent jouer en présence de1 l'im- pératrice de Russie. M. Crambade nous informe que, dans le con- cert qui sera donné lundi par Mues Ferni , il je te nomme ministre des relations sentimentales. Va prendre les ordres de la reine... Aux vendanges de 1777, 2Hy eut grande fête au château des Opales, pour le mariage de Rixa et d'Alexandre de Niloff. Une seule pensée troublait le bonheur de tous : pourquoi Béniowski , lié par un serment solennel, devait-il retourner à Mada- gascar avec Salomée et Wenceslas Il était bien convenu, du moins, qu'Alexandre de Niloff n'affronterait plus de nouveaux dangers. A cette pensée, si la mère d'Aphanasie et d'A- lexandre,-certaine désoraais de n'être plus sépa- rée de ses deux enfants,-se trouvait satisfaite,- Aphanasie et Alexandre qui aimaient Béniowski comme un second père, Rixa et la baronne'd'Ozor, sreurs de Salomée, éprouvaient des regrets bien légitimes. Mais les hommes, Casimir Henski, Richard et Karl Marsen, pénétrés de la grandeur des devoirs et des desseins de Béniowski, n'essayèrent jamais de combattre sa résolution inébranlable; ils de- vaient le seconder de tout leur pouvoir, ils de- vaient partager l'amertume de ses longues et cruelles déceptions. Au bout de dix-huit mois, Capricorne In, qui comptait les jours avec impatience, parvint à réali- ser son dessein. Les soldats du fort, gagnés par les aimables insulaires, ne songèrent même pas à la résistance. Le fort fut occupé par Capricorne, qui eut le chagrin de voir Stéphanoff se sauver à la nage et chercher un asile sur le navire la Triom- phante. Quant à Béniowski, ayant appris qu'il devait être arrêté par les ordres de l'empereur d'Autri- che, à qui le ministre Panin l'avait dénoncé, il put se réfugier à Hambourg chez Karl Marsen. remplacera la romance de la Closerie, par : Mon Orne àà Dieu, mon cæur à toi, et la Mélodie de Mal- tre Wolfran. Carcassonne , 12 novembre. NO&avons annoncé, au mois de juillet dernier, que le conseil général de la Banque de France avait résolu en principe l'établissement d'une suc- cursale à Carcassonne. Depuis lors les vacances ont mis un temps d'arrêt dans l'instruction à la- quelle doit être soumise cette affaire si importante pour nos intéréts. Mais une lettre adressée recem- ment au présideut de la Chambre de commerce fait savoir que la question a été. soumise à l'examen préalable du conseil d'Etat. Notis pouvons donc espérer que la décision souveraine nécessaire à la fondation d'une succursale de la Banque à Carcas- sonne ne tardera pas à être rendue , et alors , grâce au zèle et `à la sollicitude de nos administra- teurs , on peut compter que le chef-lieu du dépar- tement ne tardera pas à voir fonctionner cet' utile établissement de crédit. - Les présides ou bagnes espagnols de Ceuta, sur la côte d'Afrique, recèlent la collection des plus in- signes malfaiteurs de la Péninsule. Afin sans doute des'entretenir la main, cette honorable population occupe ses loisirs à consommer des vols et à faire de nouvelles dupes par l'intermédiaire de la poste. Nous lisons dans un journal espagnol, la Régéné- ration, qu'en Espagne on compte de nombreuses victimes de ces adroits filous qui témoignent ainsi par de nouvelles prouesses de la sincérité de leur repentir. Mais ce n'est pas tout, et nous apprenons au- jourd'hui qu'après avoir exploité nos voisins , les lettres émanées de ce repaire colportent leurs coupables amorces de ce côté des Pyrénées. Ainsi plusieurs personnes, et entr'autres un boucher fort connu de notre ville, ont reçu de ces adroites missives. Dans une de ces dernières, un soi-disant colonel de l'armée espagnole, retenu à Ceuta pour cause politique, aurait, à l'époque d'une de ses émigrations en France, enfoui entre Fontiès et Trèbes, le lieu est, comme on voit, assez vagement désigné, une somme considérable d'onces or. Jusque là, le mal n'est uploads/Geographie/ tabak-bolgrad-jurnal-de-toulouse-pdf.pdf

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