Matin Brun de Franck Pavloff : Une nouvelle courte mais longue Introduction : F

Matin Brun de Franck Pavloff : Une nouvelle courte mais longue Introduction : Franck Pavloff est un écrivain et poète français né le 24 avril 1940 à Nîmes Présentation du récit : Matin Brun est un livre écrit par Franck Pavloff en 1998 qui raconte le régime totalitaire de l’État Brun dans la ville ou vit le personnage principal qui par ailleurs n’a pas son nom cité dans la nouvelle, accompagné de son ami Charlie. Ce livre est réputé pour être très court car il ne possède que trois page en version PDF qui est par ailleurs gratuite sur le site : http://www.ifecosse.org.uk/IMG/pdf/Matin_Brun_texte.pdf La nouvelle raconte l’histoire de deux personnes vivant dans un pays ou le gouvernement est un état totalitaire sous le nom de l’État Brun. Un état qui a pour interdiction de posséder des chiens et chats brun. Ils ont aussi supprimés le Quotidien qui est un journal contredisant l’état et leur valeurs scientifiques. Le narrateur et son ami Charlie possédaient tous des animaux qui n’avaient pas la couleur brune, ils les ont donc changer mais peu de temps après, une nouvelle loi décrit que les personnes ayant possédés des animaux non bruns allaient être emprisonnés. C’est ainsi que les deux amis furent donc enlevés par la Milice. Franck Pavloff a écrit cette nouvelle pour dénoncer les régime totalitaire et plus spécifiquement le régime nazi, les lois par exemple évoluent de plus en plus et sont de plus en plus extrêmes : Ils doivent d’abord tuer leur chien, ensuite leur chats, les bruns ont ensuite fait supprimés le Quotidien, ils ont ensuite interdit de plus en plus de choses, jusque à emprisonner les personnes comme Charlie. C’est comme les nazi qui ont eux aussi fais des lois de plus en plus extrêmes. On a donc une belle comparaison entre cette nouvelle et le régime totalitaire de Hitler en 1933. Honnêtement, je ne peux pas dire si j’ai réellement aimé ce livre car il a fallut le lire plusieurs fois et aller sur internet pour tout comprendre de ce qui est du contexte que prend l’ampleur de cette nouvelle. Sinon à ma première lecture, je n’y ai vu que du flou, tout était imprécis voir incompréhensible car la police d’écriture est toute petite, le récit est court donc il y a peu d’explication et je ne comprenais même pas ce que les chiens et chat avait comme rôle dans ce récit. Mais après avoir fait quelques recherches j’ai compris de quoi ce récit parlait et j’avoue que je n’était pas prêt à de tels conclusions. Ma réponse sera donc non, je ne trouve pas Matin Brun bien car je n’ai pas aimé l’histoire. Pourquoi ? Car il y a eu beaucoup d’incompréhension sur le texte à la première lecture parce que il y a eu beaucoup de termes que je ne connaissais pas comme cette phrase : « Les milices de la ville distribuaient gratuitement des boulettes d'arseni c. » Pour moi, il n’y a aucun sens car je ne connaissais pas les termes milices et boulettes d’arsenic. Il y a beaucoup d’autres phrases avec ce genre de mots comme « Quelque temps après, c'est moi qui avais appris à Charlie que le Quotidien de la ville ne paraîtrait plus » Je ne comprenais pas ce qui ne paraîtrait plus mais j’ai appris que le Quotidien était en fait un journal qui au suites de lois avait été interdit. Je n’ai pas aussi aimé cette histoire car pour moi, elle est assez lamentable, je trouve que il n’y a pas d’introduction assez précis, on commence directement le récit avec des actions, sans présenter le narrateur. Je trouve que cette histoire se passe trop lentement, il a beau faire trois pages, il est assez lent à lire car pour moi, il faut vraiment s’impliquer dedans pour essayer de comprendre le maximum d’informations, c’est vraiment très dur. Il y a aussi le personnage principale qui me déplaît fortement, malgré le décès ou l’abandon de ses différents animaux, je trouve qu’il n’a aucun sentiment de tristesse envers eux car on sait tous que perdre un animal est quelques chose d’assez éprouvant et triste mais l’ami de Charlie n’en éprouve aucun et malgré cela il continue d’adopter des chats et chiens. Après avoir appris les nouvelles réformes et le fait que son ami a été enlevé par la milice, elle va ensuite frapper à la porte du narrateur mais ce dernier comprend alors qu’il ne peut déjà plus rien faire, comme sur la phrase ci-contre :« On frappe à la porte. Si tôt le matin, ça n'arrive jamais. J'ai peur. Le jour n'est pas levé, il fait encore brun au dehors. Mais, arrêtez de taper si fort, j'arrive. » La dernière phrase montre que le narrateur va allez ouvrir la porte mais elle est racontée comme si il baissait les bras et abandonnait tout pour se livrer à la milice. Malgré les nombreux points négatifs cités, il y a aussi eu des choses dans le texte que j’ai bien aimé comme par exemple le fait d’avoir enfin compris le message à faire passer m’a illuminé la tête et tout paraissait plus claire, c’est une sensation que j’aime bien car elle ressemble à ce que l’on ressent après avoir lu une nouvelle à chute par exemple. Je trouve aussi que le fait de vouloir passer un message de ce genre est assez bien fait car il montre bien comment les régimes politiques comme l’État Brun fonctionnent. Mais comme je n’ai pas vraiment apprécier la nouvelle, je ne peux en citer beaucoup. Conclusion : Matin Brun est une nouvelle que je n’ai vraiment pas appréciée par sa difficulté de compréhension comme je l’ai dit, j’ai du aller sur Internet pour tout comprendre. L’histoire,le personnage principale me déplaisent fortement et malgré le fait que la nouvelle est très courte, je la trouve très longue à lire. Je trouve aussi que le prix du livre est assez honteux car il coûte dans les deux euros alors qu’il est très court et qu’on peut le trouver gratuitement sur internet. Mise à part le prix et ces nombreuses critiques, l’auteur a bien su montrer la ressemblance entre le système nazi et l’État Brun. uploads/Litterature/ billet-critique.pdf

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