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Notes du mont Royal Cette œuvre est hébergée sur « No­ tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Google Livres www.notesdumontroyal.com 쐰 CALI-LA ET; DIMNA, ’ ’"mmhâblant"Q l OUVRAGES de M. DE SACY, QUI SE TROUVENT CHEZ 1E3 iMÉMES LIBRAIRES. MÉMOIRES sur diverses antiquités de la Perse, et sur les médailles des Rois de la dynastie des Sassanîdes, traduits du persan de Mirkhond. Paris , de’l’im- primerie du Louvre, 1793, in-4.°, figures, broché"... . . . . . . . . . . . . . . CHRESTOMATHIE ARABE, ou Extraits de divers écrivains arabes , tant en prose qu’en vers , en arabe et en français. Paris, 1806 , trois volumes in-8.°, brochés............. ..... on.noceuse-cocotas0.1.0.90... GRAMMAIRE ARABE. Paris, 18m, deux volumes grand îu- .°, figures, brochésccocoooncono-onootcnouscaoua...ouooIooonooncocccoclnou coings Tunes, en langue turque, extraits du roman intitulé la Quarante Virirs, par feu M. Belletêtce Paris, 1812., in-4.°, broché... ....... Isf 36. :4. CALILA ET DIMNA, FABLES DE BIDPAI, EN ARABE; mutatis D’UN xénons SUR 1101110an DE en LIVRE, u SUR Lus DIVERSES TRADUCTIONS QUI EN ON-r ÉTÉ FAITES DANS L’ORuaN’r, ET SUIVIE: DE LA MOALLAKA DE LEBID, EN ARABE ET EN FRANÇOIS; PAR M. SILVESTRE DE SACY. oiLboplelLaiodJSUliîL’o A PARIS, DE L’IMPRIMERIE ROYALE. 1816. PJ , 774-! .1358 l8lé Je trouve  PARIS, Chez DEBURE fières, Libraires du Roi et de la Bibliothèque du Roi, ru’o’ Serpmte, Il 7. Jim 53ml; tu agonique jar. amMrbnno’ l’nonnwr d’qfiyr à 970m la première originale au gratta a; 45551905, de ce libre à [Maure (laque! sont wila- olzéi la nom (la flua [linaires Jouoomùu de l’aime, je n’ai malté que la 6min que infirmation, d’affirmer, à la face de [Turque damna, tout ce que santon 44’ subornent de rayai, fumer d de dévouement pour la monarque clair! que la (5’me a campé d’çfaoer tout-à-la fait, et la amortir de n04 l’imam erreurs, et celai du danois oflâflîmat dual alla ont été puma. 990Mo Mm podc’oà et à faoorirer le! «Üeflrer, a ce Ma. e10 ôonte’, en cornélien! mer (laird, m’r’rzdfn’re la lmrdrèdde de fia aire, que, M (Indium arome! que me Place deâormaù h même de celui qui tient entre :184 moira le doddeioudientqùenowrommed, tond mer vœux, menti-je Wr loua mer fir’ôler jam, :1me durée, hfllrerïe’et layMea’u règne de 990m et que a. me! imam obtiennent un real de Je regarda, 553m comice. .Je 4m24 avec le faire! profond respect, z I Œe.°yotwgr6c1àeok’9, ë mes-KM, M.,-ogeioomu. a... Le B." SILVEsrRE DE SACY. AVERTISSEMENT. LE principal objetque je me suis proposé, lorsque j’ai entrepris la publication du texte Arabe du Livre de Calila et Dimna, plus connu parmi nous 50113116 nom de Fables de Bidpai, a été de fournir aux personnes qui se livrent à l’étude des idiomes, de l’Asie, un nouveau moyen de s’exercer dans l’intelligence de la langue Arabe. Le fragment de cet ouvrage qu’a publié le savant H. A. Schultens, quoique peu correct, m’a toujours été fort utile dans mes cours, pour lapremière année d’instruc- tion de mes auditeurs. Je ne doute point que l’ouvrage entier ne soit d’une utilité encore plus grande, sous" ce point. de vue. 4 Mais ce n’est pas seulement aux élèves de l’Écoleùdes langues orientales et à la jeunesse studieuse que j’ai vou- lu offrir cet antique monument de la sagesse de l’orient. J’ai pensé que tous les amateurs de ce genre de littéra- ture liroient avec plaisir, dans la plus ancienne rédac- tion qui soit parvenue jusqu’à nous , un livre dont la renommée a rempli l’Orient et l’occident, que les nations les plus cultivées de l’Europe se sont empressées à l’envi, depuis plusieurs siècles ,I de faire passer dansleurs langues, vj AVERTISSEMENT. et que les plus illustres souverains de l’Asie, Nouschi- réwan le juste , Mamoun, Mansour, Acbar, Soliman I, ont unanimement honoré de leurs suffrages. Cette publication n’étant destinée qu’aux personnes qui peuvent lire l’original, et les fables de Bidpai étant d’ailleurs traduites dans la plupart des langues de l’Europe, j’ai cru inutile de donner avec le texte Arabe une nouvelle traduction; mais il m’a paru convenable de joindre à cette édition un Mémoire sur l’origine et l’histoire de ce livre célèbre. Ce Mémoire offrira aux lecteurs le ré- sultat des nombreux travaux que j’ai faits pour éclaircir les nuages dont étoit encore couvert ce sujet, malgré le grand nombre, ou plutôt à cause du grand nombre d’écri- vains qui en ont parlé, et qui n’ont souvent fait que propa- ger des erreurs, ou en ajouter de nouvelles à celles dans lesquelles on étoit tombé avant eux. i ’ Je ferai cependant observer ici que les diverses tra« ductions Françoises’ que nous possédons des Fables de Bidpai , ont été faites, non sur le texte Arabe , mais ’ sur la version Persane de Hosain Vaëz, intitulée Anvari Sahaïli, ou sur la version Turque qui a pour original cette même tradUCtion Persane, et qui porte le titre de t Homayoun-namèh. On peut consulter ce que j’ai dit sur ces traductiOns Françoises, dans le tome 1X des Notices et Extraits des manuscrits de la bibliothèque du Roi, part. 1,17. 429 etsuiv. Aux renseignemens’que l’on y trouv vera, j’ajouterai seulement que la traduction de David AVERTISSEMENT. vij Sahid d’lspahan, ou plutôt la traduction de Gaulmin , intitulée le Livre des Lumières ou de la Conduite des Rois , a ’ éte réimprimée àBruxelles. conformément à l’édition de Paris, t 698 , et sous la même date. J’ai aujourd’hui entre les mains un exemplaire de cette édition de Bruxelles. . Si je n’ai pas joint une traduction Françoise au texte Arabe des Fables de Bidpai, j’ai cru nécessaire de l’ac- compagner de notes critiques, dans lesquelles j’ai ret- eueilli les variantes les plus importantes des manuscrits, et expliqué les passages qui pouvoient ofl’rir quelques difficultés. En même temps que j’ofliois aux jeunes amateurs des langues de [Orient , un ouvrage en prose , d’un stylo facile à entendre, j’ai cru qu’ils me sauroient gré de leur pré- senter aussi un des poèmes les plus estimés parmi ceux que les Arabes placent au premier rang de leur litté- rature, et qui portent le nom de Modllaka, parce qu’ils ont mérité d’être suspendus ou affichés aux portes du sanctuaire de la Mecque , de l’antique et vénérable Caaba. Plusieurs de ces poèmes fameux ontjété publiés en ori- ginalrla MoaIIalta de Lébid, que je donne ici, ne l’a été qu’en partie , et d’ une manière peu satisfaisante. J’ai joint au texte le commentaire entier de Zouzéni. Une traduc- tion Françoise de ce poème m’a paru devoir aussi accom- pagner la publication du texte. Je dois offrir ici mes remerciemens à M. Delagrange , employé à la bibliothèque de l’Arsenal, et l’un des plus viij AVERTISSEMENT. distingués entre mes anciens auditeurs , qui a bien voulu se charger de copier le texte Arabe pour cette édition. M. Delagrange, qui m’a donné par-là un témoignage pré;- cieux de sa reconnaissance, est déja connu par quelques morceaux de littérature orientale, qu’il a publiés dans divers ouvrages périodiques. Les Muses de l’Orient at- tendent de lui des services plus importans, et je ne crains point de dire que leur attente ne sera pas trompée. Puisse ce nouveau travail, qui a été pour moi une consolation dans des jours d’aflliction et d’effroi, et un délassement au milieu d’occupations graves et pénibles, mériter l’approbation des savans, et la reconnoissance de ceux qui aspirent à le devenir! C’est la seule récompense que je puisse encore ambitionner, après l’honneur que m’a fait, en daignant en accepter l’hommage , le Prince qui fait le bonheur et la gloire de la France, Quo nihil majus meliusve terris .. a Para donavêre bonique Divi, Nec dabzmt, quamvz’s redeant in aurum Tempora priscum. ’ ’ [Han Cam. 1V, 2.] Paris. 39 tain 1M; ---.- - ME M o I R E HISTORIQUE ’ Sur le Livre intitulé CÀLILA ET DIMNA. Je pourrois , en publiant le texte Arabe du livre qui porte, chez les Orientaux, le nom de CaIiIa et Dimna, et qui est plus connu parmi nous sous celui de Fables Indiennes ou FabIes de Bidpai ou Pinai, renvoyer les lecteurs qui désireroient connoître l’origine et l’histoire de cet ouvrage célèbre, aux diverses notices que j’ai publiées successivement des traductions Hébraïque, Persane et Latines de ce même livre , dans les tomes 1X et X des Notices des manuscrits, Mais ce recueil étant entre-les mains de peu de per- sonnes , et d’ailleurs les résultats de mes recherches étant répandus dans plusieurs volumes,.il m’a paru plus convenable de réunir ici ces résultats , et de les présenter à mes lecteurs , dégagés des discussions critiques auxquelles j’ai dû me livrer dans ces. notices particulières, ’ Je dois avertir d’abord que tout ce que je dirai en général de l’histoire de ce livre, ne s’applique qu’au Corps de l’ouvrage, dont la principale partie est les aventures de Calila et Dimna, et ne préjuge rien sur les doutes qu’on peut élever relativement uploads/Litterature/ calila-sacy-pdf.pdf

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