Ce livre est un ouvrage de fiction. Les noms, personnages, lieux et événements

Ce livre est un ouvrage de fiction. Les noms, personnages, lieux et événements sont le produit de l’imagination de l’auteur ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des faits réels, des lieux ou des personnages existants ou ayant existé serait totalement fortuite. Titre de l’édition originale de K. Bromberg : Fueled par K. Bromberg Copyright : © 2013, K. Bromberg Tous droits réservés y compris le droit de reproduction, totale ou partielle, sous quelque forme que ce soit, sans le consentement préalable de l’éditeur ou de l’auteur. Toute reproduction constituerait une violation du Code de la propriété intellectuelle. Mis à part le texte original écrit par l’auteur, toutes les chansons, titres et paroles mentionnés dans le présent roman Fueled sont la propriété de leurs auteurs respectifs et des détenteurs des droits d’auteur. Photographie de couverture : © P.Catalin/iStock Ouvrage dirigé par Isabelle Solal Collection New Romance dirigée par Hugues de Saint Vincent © 2015, Éditions Hugo Roman Département de Hugo & Cie 38, rue La Condamine 75017 Paris wwwhugoetcie.fr ISBN : 9782755620283 Ce document numérique a été réalisé par Nord Compo. Trilogie DRIVEN de K. Bromberg Driven, Driven – saison 1 Driven, Fueled – saison 2 À PARAÎTRE : Driven, Crashed – saison 3 : décembre 2015 Découvrez les autres titres de la collection Hugo New Romance sur la page dédiée : www.facebook.com/HugoNewRomance www.hugoetcie.fr À J.P. Merci pour ta patience tout au long de ce défi qui a toujours été l’un de mes rêves. Ah, au fait, ce n’est plus simplement un hobby… SOMMAIRE Titre Copyright Trilogie DRIVEN de K. Bromberg Dédicace Colton Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 Chapitre 5 Chapitre 6 Chapitre 7 Chapitre 8 Chapitre 9 Chapitre 10 Chapitre 11 Chapitre 12 Chapitre 13 Chapitre 14 Chapitre 15 Chapitre 16 Chapitre 17 Chapitre 18 Chapitre 19 Chapitre 20 Chapitre 21 Chapitre 22 Chapitre 23 Chapitre 24 Chapitre 25 Chapitre 26 Chapitre 27 Chapitre 28 Chapitre 29 Chapitre 30 Chapitre 31 Chapitre 32 Chapitre 33 Chapitre 34 Chapitre 35 Chapitre 36 Chapitre 37 Chapitre 38 Chapitre 39 Chapitre 40 Chapitre 41 Chapitre 342 Chapitre 43 Chapitre 44 Chapitre 45 Chapitre 46 Remerciements PROLOGUE Colton Putain de rêves. Des bouts de séquences en vrac qui font des saltos dans mon subconscient. Rylee est au milieu de tout ça. Elle remplit les vides. Elle les bouffe complètement. Putain, je ne comprends pas pourquoi la voir en permanence au milieu de cette merde pleine d’immondes souvenirs me procure une sensation de calme, ou de ce que j’interprète comme de l’espoir, m’autorisant à prendre conscience que je pourrais, en fait, avoir une bonne raison de guérir. Une raison de surmonter les saloperies qui rôdent dans les recoins de ma tête. Me convaincre que l’abysse de noirceur qu’est mon cœur pourrait être capable d’aimer. Sa présence dans ces ténèbres me laisse à penser que les blessures qui ont eu raison de mon âme, ces blessures restées à vif, purulentes, pourraient cicatriser. Je rêve. Je sais que je rêve. Alors comment fait-elle pour être partout, y compris dans mes rêves ? Elle me prive de mes pensées à chaque minute de chaque putain de journée et, là, elle s’est même incrustée dans mon foutu subconscient. Elle me pousse. Elle m’émascule. Elle me ravage. Putain de bordel de merde, elle me terrifie. Elle me donne l’impression d’être au départ d’une course, arrêtant net mon cœur et l’accélérant tout en même temps. Elle me fait penser à des trucs auxquels je ne devrais pas accorder la moindre attention. Elle s’insinue toujours plus profond dans la noirceur de mon âme et me fait penser à des quand plutôt qu’à des si. Putain de merde ! Je dois vraiment rêver pour que des merdes comme ça me traversent le cortex. Quand suis-je devenu une telle lopette ? Becks va trop se foutre de ma gueule s’il m’entend dire des conneries pareilles. Je dois être en manque, je ne vois rien d’autre, j’ai besoin de me perdre en elle. Que son corps chaud soit plaqué contre le mien pour que je m’enfonce en elle. De douces courbes. Des seins fermes. Une chatte bien serrée. Rien d’autre. Tout ira mieux après. Mon cerveau retournera à sa place. Enfin, mes deux cerveaux. Et une fois satisfait, je pourrai me concentrer sur autre chose que ces conneries inutiles comme des sentiments et des cœurs qui battent, alors que je sais que le mien est incapable de donner ou de recevoir de l’amour. Ça doit être l’attrait de la nouveauté ; c’est pour ça que j’ai l’impression d’être une gonzesse en manque d’affection. Tellement que j’en suis venu à rêver d’elle en particulier, pas simplement d’un corps parfait sans visage comme ceux qui fréquentent mes rêves d’ordinaire. En fait, elle est tellement bonne que j’en perds les pédales. Putain, j’ai vraiment hâte de passer du temps avec elle avant de la baiser comme un malade, comme chaque fois que je la vois. Enfin, presque. Elle est différente des filles qui se jettent sur moi comme des pouffiasses en chaleur, les seins à l’air, le regard avide de sexe, m’invitant à les prendre dans tous les sens, les cuisses prêtes à s’écarter au premier centime. D’habitude, une chose est sûre, je profite de leur enthousiasme. Avec Rylee, par contre, c’est juste différent depuis le début, depuis le moment où elle a fait irruption, de ce putain de placard, dans ma vie. Les images se bousculent dans mes rêves. Ce premier choc ressenti quand elle a planté son regard dans le mien avec ses yeux magnifiques. La première fois que je l’ai goûtée, mon cerveau a grillé et la brûlure s’est répandue le long de ma colonne vertébrale pour se saisir de mes couilles et me dire de ne pas la laisser partir, qu’il fallait que je la fasse mienne à tout prix. L’image de son cul qui se balançait lorsqu’elle s’est éloignée de moi sans se retourner m’a ensorcelé avec quelque chose que je n’avais jamais considéré comme sexy auparavant. Un défi. Les images continuent à tourner en boucle. Rylee s’agenouillant devant Zander, le cajolant pour essayer de faire sortir son âme à vif de sa cachette ; elle encore, assise sur mes genoux en culotte, portant mon t-shirt préféré, à califourchon sur moi, hier soir sur la terrasse ; arrivant au bureau, une expression partagée entre la colère et la confusion peinte sur son incroyable visage lorsque je leur ai fait cette proposition qu’ils ne pouvaient refuser ; Rylee s’offrant totalement à moi debout, vêtue de sa seule lingerie en dentelle, sans rien attendre en retour. Putain, Donavan, tu déconnes. Tu rêves. Réveille-toi et prends ce que tu veux. Elle est juste à côté de toi. Chaude. Attirante. Tentante. Je suis envahi par une sensation de frustration, désirant son corps si désespérément sans pour autant être capable de me débarrasser de cette merde de rêve pour prendre son corps aussi sexy que le péché incarné. C’est peut-être ça le truc, en fait. Elle ne se rend même pas compte à quel point elle est sexy. À la différence de toutes les autres filles qui sont passées dans ma vie et qui s’observent pendant des heures pour critiquer leur silhouette et trouver leur meilleur profil, Rylee n’en a pas la moindre idée. Des images d’elle hier soir me dévorent. Elle lève vers moi son regard violet, mord ses lèvres pulpeuses, et son corps répond et se soumet au mien instinctivement. Son parfum vanille si caractéristique mêlé à celui du shampoing. Son goût si diaboliquement doux que j’y suis accro. Elle est irrésistible, à la fois ange et démon, le tout emballé dans de délicieuses courbes. Je bande rien qu’en y pensant. J’ai juste besoin d’avoir ma dose d’elle. Je n’en ai jamais assez. Enfin, jusqu’à ce que l’attrait de la nouveauté disparaisse et que je passe à autre chose, comme d’habitude. Pas question qu’une femme me mène par le bout de la bite. Pourquoi s’attacher à quelqu’un qui finira par me quitter ? Quelqu’un qui partira en courant quand il connaîtra vraiment le fond de mon âme, le poison qui s’est infiltré en moi. Rien de sérieux, voilà ce dont j’ai besoin. C’est tout ce que je veux. C’est tout ce que je m’autorise. Je sens ses mains glisser sur mon ventre et je me laisse porter par la sensation. Putain, j’ai besoin de la sentir tout de suite. J’ai besoin d’elle immédiatement. Je crève d’envie de sentir cette chaleur humide et ferme ; la savoir à portée de main réveille ma bite. Encore quelques instants, et je pourrai m’enfoncer dans la douceur de son corps et oublier toute cette merde qui me pollue la tête. Mon érection matinale se raffermit encore, c’en est presque douloureux, il faut absolument qu’elle me touche. Mon corps se tend lorsque je me rends compte que les bras qui m’encerclent ne sont pas doux, que leur peau n’est pas satinée et qu’ils ne sentent pas la vanille comme ceux de Rylee. J’en tremble de dégoût uploads/Litterature/ driven-tome-2.pdf

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