Urbain Gohier 13i42 The Savoisien le complot de l’Orléanisme et de la franc-maç

Urbain Gohier 13i42 The Savoisien le complot de l’Orléanisme et de la franc-maçonnerie contre la France et contre la république « Juillet 1830 », le drapeau tricolore (Léon Cogniet, 1830). A gauche, le drapeau blanc de la Restauration orné d'une fleur de lis ; à droite, le drapeau tricolore. Urbain Gohier, de son nom de naissance Urbain Degoulet, a signé deux de ses livres du nom de plume Isaac Blümchen, né à Versailles le 17 décembre 1862 et mort le 29 juin 1951, est un avocat, journaliste et écrivain français. Urbain Gohier 13i42 le complot de l’Orléanisme et de la franc-maçonnerie contre la France et contre la république du même auteur Gohier Urbain (Degoulet Urbain) • L’armée contre la Nation - 1898 • Le Service d’un An ou la Ruine - 1899 • Sur la Guerre Propos d’un jeune homme - 1900 • L’armée de Condé - La France sera encore trahie - 1900 • Aux Femmes - 1900 • Le peuple du XXe siècle - Cinq mois aux États-Unis - 1903 • Histoire d’une Trahison - La Bande Jaurès - 1899-1903 • La Terreur Juive - Après l’armée de Condé, la tribu de Lévi - 1905 • Leur république - 1906 • Zola au Panthéon - 1907 • A nous la France ! - 1913 ; Blümchen Isaac • La Sociale - 1914 • Le droit de la race supérieure - 1914 ; Blümchen Isaac • Gardons la France aux Français - 1915 • Protocoles des sages d’Israël - 1925 Ceux qui trouvent sans chercher, sont ceux qui ont longtemps cherché sans trouver. Un serviteur inutile, parmi les autres 22 juillet 2013 scan, orc John Doe mise en page LENCULUS Pour la Librairie Excommuniée Numérique des CUrieux de Lire les USuels M. de Cathelineau, interprète bien qualifié du senti­ ment royaliste, dit à l’assemblée des vieux Chouans : « Ce qui est anti-français, c’est d’être Orléaniste, car l’histoire des d’Orléans n’est qu’un tissu d’infamies et d’attentats contre la patrie ! » Le général Comte de Cornulier-Lucinière, dans son livre de famille, attesta : « Rien ne peut laver la tache indé­ lébile, anti-royaliste et antipatriotique, qui enveloppe cette fa­ mille d’Orléans dans un linceul de honte et d’ignominie ». Le très royaliste et très catholique Marquis de La Vauzelle, dans une lettre en date du 16 avril 1923 (Vieille- France, n° 336), a fixé les origines honteuses et les crimes de la tribu d’aventuriers qui usurpe aujourd’hui le nom et le titre des Guise. 6 la franc-maçonnerie va-t-elle recommencer, à la faveur du désordre français et du désordre européen, au bénéfice de la faction orléaniste, le coup qui a manqué en 1792 avec Philippe-Égalité, mais qui a réussi en 1830 avec Louis-Philippe ? 13i42 L a Franc-maçonnerie a été importée d’Angleterre en France au commencement du xviiie siècle, — à l’époque ou Philippe d’Or­ léans, Régent, et son infâme abbé Dubois, premier ministre, étaient pen­ sionnés par le gouvernement britannique pour trahir les intérêts fran­ çais. La trahison du « d’Orléans » alla jusqu’à mettre la France en guerre confire le petit-fils de Louis xiv, roi d’Espagne. Notre pays fut alors le vassal de l’Angleterre comme il devait l’être au xixe siècle de 1830 à 1848, sous le règne de Louis-Philippe qui avait écrit : « Je suis Anglais avant tout ». La Prusse, création de l’Angleterre contre la France, a toujours été un foyer de la Maçonnerie, dont Frédéric ii fut l’ardent animateur. Des Loges de Londres et de Berlin sont venues les consignes aux Loges de France, avant, pendant et depuis la Révolution. Et les « d’Orléans » (ou prétendus tels) ont toujours été les complices de l’Angleterre, de la Maçonnerie, de la Juiverie, pour la destruction des Bourbons et pour l’abaissement de la France. La F ∴ M ∴ est, depuis l’origine, l’alliée ou plutôt l’instrument des Juifs pour l’accomplissement du plan tracé dans les Protocoles (1). Tous les partis français sont profondément enjuivés, donc maçonni­ sés ; celui qui l’est le plus anciennement et le plus profondément est le parti « orléaniste ». 1 – Plan qui est la simple reproduction, mise au point, des programmes arrêtés et promulgués dès le moyen âge par les Chefs ou Juges d’Israël. 7 Dès le xviiie siècle, le duc de Chartres, futur duc d’Orléans, Philippe- Égalité, allait a Londres prendre les ordres du juif Haïm Jacob Falk, alors grand chef des organisations secrètes dépendant de la F ∴ M ∴, en quelque sorte précurseur de Weisshaupt. Le même personnage, par sa trahison en pleine bataille, sauva la flotte anglaise de la destruction à l’af­ faire d’Ouessant (1778). Ce duc d’Orléans était Grand Maître de la Maçonnerie française, qui avait pour devise, mot de passe et mot d’ordre l. p.d., Lilia pedibus destrue : guerre à mort aux Bourbons, surtout à la branché aînée des Bourbons. La Franc-Maçonnerie promit au duc d’Orléans le trône de France, en échange de son concours pour détruire la royauté légitime. Le duc d’Orléans, par lui-même et par son mariage avec la fille du duc de Penthièvre, était le plus riche propriétaire foncier d’Europe. A ses immenses revenus, il joignait les ressources tirées de la multitude de lu­ panars et de tripots qu’il avait installés dans les galeries du Palais-Royal. II mit cet or au service de la Révolution violente ; il subventionna les pamphlétaires et les meneurs d’émeutes ; il inonda la Cour, la ville et la province de hideux libelles contre Marie-Antoinette. Il fit égorger (avec quels raffinements !) la princesse de Lamballe, sa belle-sœur et créancière. Travesti en « femme des Halles », il conduisit la foule sanguinaire aux Journées des 5 et 6 octobre, et dirigea les assassins dans le dédale des ap­ partements royaux à Versailles, jusqu’à la chambre de Marie-Antoinette ; elle n’y était plus ; il la poussa sur l’échafaud. Pendant le long procès de Louis xvi, il suivait avec une lorgnette l’ago­ nie de sa victime. Les 15, 16 et 19 janvier 1793, il vota : la culpabilité du roi ; le refus de soumettre le jugement au peuple ; la peine de mort ; le refus de surseoir à l’exécution. Quatre fois bourreau de son bienfaiteur ! Le 21 janvier, installé sur la terrasse du Garde-Meuble (1), il savoura l’exécution, et il écrivit aussitôt à son âme damnée, Choderlos de Laclos, intendant de ses orgies : « Je viens de voir saigner le gros cochon ». Puis il 1 – Aujourd’hui le Ministère de la Marine. 8 alla, au témoignage de Chateaubriand, apaiser ses sens enflammés dans une débauche contre nature, traditionnelle chez les d’Orléans depuis le « Roy de Sodome », frère de Louis xiv, qui avait fait empoisonner sa femme (Henriette d’Angleterre ; Madame est morte !) par ses mignons (chevalier de Lorraine, marquis d’Effiat). Comment expliquer tant de forfaits contre la Maison de Bourbon si Philippe-Égalité avait été lui-même un Bourbon ? Et comment expliquer que la Maçonnerie eût choisi un Bourbon pour exécuter le programme l. p.d. ? Philippe-Égalité lui-même a déclaré au club des Jacobins et devant la Commune de Paris, pour faire rectifier son état civil, qu’il était le fils d’un homme d’écurie nommé Lacroix, cocher du banquier Duruet. Tous les écrivains royalistes lui en ont donné acte. Et les mœurs de sa mère, connues de tout Paris, attestées dans tous les Mémoires du temps, confir­ ment sa justification. (1) Le pacte conclu entre Égalité et la Maçonnerie ne put être exécuté. Le torrent révolutionnaire balaya les combinaisons des Loges ; Égalité subit lui-même le supplice qu’il avait infligé au Roi et à la Reine. Mais le coup manqué en 1792 réussit en 1830. Le fils supposé d’Égalité, Louis-Philippe, que les tribunaux italiens (2) — ont rétabli dans sa véritable position, fils de Lorenzo Chiappini, geôlier de la prison de Modigliani, en Toscane — exécuta ce que Philippe-Égalité n’avait pu accomplir. Le duc de Chartres, puis duc d’Orléans, Louis-Philippe, était aussi un haut dignitaire dans la Maçonnerie française. Il fut choisi pour ren­ verser et remplacer le nouveau chef de la branche aînée des Bourbons, Charles x. L’intrigue fut menée avec autant d’habileté que d’audace. 1 – « Elle fut la Messaline de son siècle ; elle se prostituait aux hommes de toutes les conditions, et partageait son lit même avec des valets ». 2 – Jugement du tribunal pontifical de Faenza, rendu au nom du pape Léon xii le 29 mai 1824. 9 Ayant accepté des princes légitimes, au moment de la Révolution de Juillet 1830, le rôle et le titre de lieutenant-général du royaume, ayant juré de défendre la couronne du duc de Bordeaux, désormais Henri v (1), Louis-Philippe le trahit, et s’installa sur le trône volé. Les républicains et les bonapartistes, qui attendaient un autre fruit de la Révolution, furent joués ; les royalistes, remplis d’horreur et d’in­ dignation. Durant dix-huit années, les royalistes s’allièrent aux républicains et aux bonapartistes pour saper l’usurpateur aventurier, jusqu’à ce qu’éclatât enfin la Révolution du mépris. En février 1848, les uploads/Litterature/ le-complot-de-l-x27-orleanisme-et-de-la-franc-maconnerie-contre-la-france-et-contre-la-republique.pdf

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