Lire : ...les enfants soustraits. IL A ETE TIRE DE CET OUVRAGE : Cinq cents exe
Lire : ...les enfants soustraits. IL A ETE TIRE DE CET OUVRAGE : Cinq cents exemplaires sur Alfa-Mousse des Papeteries Navarre, numérotés de 1 à 500, et cinquante exemplaires sur pur fil Lafuma, numérotés de I à L. En outre, vingt-cinq exemplaires hors commerce, tirés sur pur fil Lafuma et marqués de A à Z, ont été remis par l'auteur aux personnes dont la générosité lui a permis de réaliser cette publication. ERRA Page 24. Au lieu de : ...les enfants astreints, " OSIRIS " LE MIRACLE DU BLÉ OUVRAGES DU MÊME AUTEUR NOURRIS TON CORPS (Flammarion), 22" mille. TON PAIN ! 1 brochure (Edit. Ariane), épuisé. POUR QUE LES ENFANTS VIVENT (Edit. Ariane), épuisé. LES TRENTE-TROIS LEGUMES D'HIVER (Tallandier), épuisé. INITIATION A LA SANTE. 1 brochure (Edit. Champs-Elysées). LE SECRET DE LA SANTE. T. I, 1 brochure (ch. l'auteur), 10° mille. EN PRÉPARATION LE SECRET DE LA SANTE (T. II et III), 2 brochures. LA METHODE JEAN. 1 brochure. TU VIVRAS CENT ANS... 1 volume in-8°. Les ouvrages non épuisés sont en vente à : « La Vie Claire » Revue indépendante apolitique. Fondée en 1946 par H.-CH. GEFFROY. Hôtel des Sociétés Savantes, 28, rue Serpente - PARIS (d°). Tous droits de reproduction, adaptation et traduction réservés pour tous pays, y compris la cinématographie muette ou sonore. Copyright Dy H.-Ci. Geffroy, 1949. ^: f Photo KARQUEL « Qui veut sauver l'Humanité pour rien ?... » Pierre SAUVAGEOT ( Préface, page 21) H. - CH. GEFFROY " OSIRIS" LE MIRACLE DU BLÉ EDITE PAR L'AUTEUR 1 9 4 9 PRÉFACE Cher Ami, L'oeuvre du blé Osiris me tient si fort à coeur que je m'arrête avec joie sur la route du Sud pour écrire la préface que vous m'avez demandée. Je dois d'ailleurs tout de suite vous avertir que ce ne sera pas une préface : faute d'autorité scientifique et faute aussi d'avoir reçu les épreuves de votre livre, je voudrais simple- ment venir préciser avec vous, auprès de vos lecteurs, le sens et l'ampleur de l' oeuvre à laquelle vous les conviez. Ainsi que je vous l'écrivais l'an dernier, c'est un bien étrange flambeau que j'ai eu l'idée d'allumer, il y a maintenant sept ans. Sa lueur était encore bien faible et vacillante, bien que la flamme vînt d'un hypogée d'Egypte. Il faisait cruellement froid. Nous étions tous plongés dans une nuit profonde. Hélas, trois ans après la deuxième guerre mondiale, en l'an IV de l'ère atomique, ces ténèbres sont restées presque aussi lourdes et glacées qu'autrefois. Image exacte et désolante du mental des aveugles adorateurs de la matière et du Veau d'or, qui nous lancent inconsciemment vers de nouveaux abîmes, elles nous pressent encore de toutes parts. Mais ce flambeau du blé en culture espacée, j'avais eu la chance de le transmettre, avant mon départ pour San-Francisco et Tokio, à vous qui, depuis si longtemps, meniez une campagne courageuse et tenace pour rendre au véritable blé dans l'alimen- tation des Français sa place essentielle et sacrée. Et voici qu'avec une énergie décuplée, laissant à votre ardente foi le soin de susciter les moyens matériels, vous avez allumé, par « La Vie Claire n, les mille et un flambeaux des hommes de bonne volonté, à charge pour chacun d'entre eux d'en transmettre la flamme aux autres. Miracle de la générosité sans limite du blé entre les mains des hommes généreux : une poignée de grains déposée — avec quelle piété rituelle ! -- dans le sarcophage d'une reine d'Egypte ; quel- ques-uns, une douzaine peut-être, offerts sept mille ans plus tard par un archéologue anglais à un officier de l'Armée d'Egypte, et germanten 1935 sur la terre de France, dans les Basses-Pyrénées, chez M. de Montblet, au nom prédestiné ; une poignée de grains 8 « OSIRIS » LE MIRACLE DU BLE de cette récolte miraculeuse échappés à l'orage et offerts à Joseph de Pesquidoux, en 1936 ; son article de décembre 1937 tombant entre les mains de mon frère, qui ne cesse tenacement de harceler l'auteur jusqu'à ce que, de guerre lasse, celui-ci lui envoie deux épis... Insistance providentielle, car il semble bien que, partout ailleurs, la source soit tarie et que l'océan prodigieux de ces grains d'or, dont la marée monte irrésistiblement en France, grâce à vous, soit né du ruissellement de ces deux seuls épis. Et voici qu'aujourd'hui, issus des 400 grains que pouvaient contenir ces deux épis, cultivés par mon frère, offerts par lui, avec une sage parcimonie, douze mille sachets ont été distribués par vous, à condition que chacun de ceux qui les auront reçus donnent la moitié de leur récolte dans les mêmes conditions. Sachant la somme de travail et d'amour désintéressé que représente cette seconde vague de semence (la première avait fécondé, en 1942, une centaine de jardins) lorsque vous me dites : « l'an prochain, nous en distribuerons 100.000 », je sais qu'il s'agit d'une évaluation précise, d'une promesse réfléchie que vous réaliserez, et qui repré- sente, au bas mot, une récolte de plus de 100 millions de grains I... Au milieu de cet océan d'épis « miraculeux », du seul fait même que leur loi de propagation exige le don et répudie la vente, il faut que nous nous dépêchions de faire le point. Au dixième siècle, à Delhi, le Sultan Shikander planta un seul pois dans un pot, replanta toutes les récoltes d'année en année, jusqu'à ce que qu'il eût accumulé assez d'argent (160.000 roupies) pour édifier Moskhi Mai id, « la Mosquée de l'Unique graine ». Que va donner cet océan de grains ? Quelle est rceuvre qui se prépare, la cathédrale qui va s'édifier, à la lueur des mille, des dix mille, des cent mille flambeaux de « La Vie Claire » ? Quel était le but que visait, à travers tant de siècles, le Prêtre égyptien qui déposa ces grains dans un coffret de cèdre, en offrande pieuse au Double de la Dame et aux hommes blancs à venir ? Lui seul, peut- être, connaissait le plan dans sa totalité ; nous ne l'avons découvert que peu à peu. Ici les esprits forts nous arrêtent une fois de plus, dont le dernier en date écrivait dans « Life » du 2 février dernier : « Une graine de lotus indien a germé, après avoir dormi 150 ans dans un lac desséché. Beaucoup plus spectaculaires mais totalement fausses sont les histoires, perpétuellement renouvelées, de blé trouvé dans des tombes égyptiennes par des archéologues qui prétendent qu'il aurait germé, après deux mille à quatre mille ans d'incarcération. » PREFACE 9 Ne savons-nous pas, d'autre part, que le Service des fraudes a l'intention de poursuivre celui qui vendrait ce blé sous une appel- lation égyptienne ? Menace dénuée d'importance, car si, après plus d'une année d'incertitude, j'ai obtenu de mon frère son agrément au nom « Blé Osiris », ni lui, ni moi, ni vous n'avons eu l'idée de le vendre. Que ceux qui le reçoivent s'en souviennent et en com- prennent la raison, que vous leur avez expliquée I... Une enquête est en cours à Londres, au British Museum, où repose la Reine d'Egypte, dont le Double nous a transmis ces grains incomparables. En attendant ses résultats, chacun de nous, dans un esprit de parfait désintéressement et d'absolue tranquillité, se doit de recueillir les faits qui devraient inciter à la prudence les détrac- teurs de ce blé. Constatons simplement, pour l'instant, que sa variété, dénommée « Blé aux septuples têtes », « Blé Miracle » et » Blé de la Momie », semble avoir vraiment réalisé une incompa- rable perfection, depuis les temps immémoriaux où le chasseur préhistorique, faisant le pas décisif sur la voie de son évolution, gratta la terre (et ne la retourna pas) pour cultiver le « triticum œgilopoïdès » de l'Europe sud-orientale et de l'Asie Mineure. Voici tout d'abord quelques faits, empruntés à une étude publiée par le biologiste américain T. B. Thorpe, en 1857, sur le pouvoir exceptionnel, unique, que possède le blé de germer dans des conditions où toute autre vie végétale est détruite : un grain de blé, pris dans la glace épaisse d'une rivière gelée, germa au début du printemps et fit jaillir de sa dure prison une lame verte de trois ou quatre centimètres de long, tandis que ses racines, cherchant la riche boue du fond, se frayaient un chemin au coeur même de la glace... Des champs ensemencés en blé, recouverts pendant des semaines et des mois par des inondations qui avaient étouffé toute autre vie végétale, donnèrent d'abondantes récoltes... Et voici qui nous intéresse encore davantage : en 1855, dans le Sud de la France, un archéologue français (puis-je formuler le voeu qu'un de vos lecteurs précise cette indication géographique trop vague, identifie cet archéologue et retrouve sa communication ?) découvrit, dans des sépultures datant du cinquième siècle de notre ère de chefs gaulois aux corps embaumés d'aromates, quelques grains de blé, qu'il planta. Chaque grain donna de 16 à 20 épis, qui s'inclinèrent sur leurs tiges uploads/Litterature/ le-miracle-du-ble.pdf
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- Publié le Fev 01, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
- Langue French
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