EYNOLWADEN – 4 MAI 2019 Publié par Apothéose | Mai 5, 2019 | Entretiens 2019, E

EYNOLWADEN – 4 MAI 2019 Publié par Apothéose | Mai 5, 2019 | Entretiens 2019, Eynolwaden, Figueres, Mai 2019, Mai 2019 (Figueres) EYNOLWADEN - 4 Mai 2019 EYNOLWADEN - 4 Mai 2019 Regarder sur Blog (español) : Link Blog (português) : Link Groupe Facebook (português) Shantilinaya : Link ACCUEIL (APOTHÉOSE) ACCUEIL (ARCHIVES) ENTRETIENS 2021  ENTRETIENS 2020  ENTRETIENS 2019  ENTRETIENS 2018  ENTRETIENS 2017  ENTRETIENS 2016  ENTRETIENS 2015  Français 08:41 / 01:29:42 08:41 / 01:29:42 Téléchargement (download) : Audio MP3 EYNOLWADEN (FIGUERES) 4 Mai 2019 Je salue le cœur aimant de chacun, en la joie de la liberté. J’ai la grande joie de venir à nouveau m’exprimer, en le cœur de chacun. Si vous voulez me nommer, alors nommez-moi Eynolwaden. Je suis revenue aujourd’hui vers vous, en vous et avec vous, vous qui découvrez qu’au-delà de toute limite de ce corps comme de toute pensée, vous êtes la totalité du créé, la totalité de l’espace, la totalité de la vérité. Il n’y a pas d’autre endroit où est caché le secret que dans le cœur de votre cœur, où vous aviez oublié l’emplacement. Vous êtes nombreux aujourd’hui à parcourir l’espace de la liberté, au-delà de tout temps, incluant chaque temps, chaque seconde de votre vie, ici-bas sur cette terre. Alors aujourd’hui je viens vous accompagner. Je suis le chant qui chante en vos oreilles et qui accompagne le chœur des anges. Je suis la vérité de la beauté, celle qui transparaît en tout Amour, malgré toute apparence, ou grâce à toute apparence. Je viens avec vous, au cœur de vous, alléger ce qui peut rester de peine et de lourdeur. Je viens participer au chant du rêve de la création, au chant de la liberté. Aujourd’hui je peux m’exprimer, non plus seulement au sein des peuples de la nature, mais au plus intime de ce qui vous constitue en ce monde, aÕn de libérer, aÕn d’accélérer le sentiment et le vécu de la liberté, où aucune limite d’aucun monde ne peut venir contrarier cette liberté. Français Je suis la danse et le mouvement, et en même temps l’immobilité. Je suis ce qui bouge et qui n’a jamais bougé, et qui est présent en toute part comme nulle part. Je suis aussi Bidi à un autre temps et à un autre moment, exprimant la même liberté, en chantant sur une autre octave, qui pourtant vous fait rejoindre la même évidence et la même légèreté. Je suis venue accompagner les déclamations des codes-source, je suis venue accompagner la danse des cétacés et accompagner votre danse, là où vous n’avez jamais bougé, là où vous vous retrouvez. Et l’évidence devient légèreté, et l’évidence devient don d’Amour, car l’Amour ne peut que se donner, il ne peut se garder, il ne peut se conserver, il ne peut que grandir dès l’instant où il n’est pas conservé, dès l’instant où il n’est pas retenu, dès l’instant où rien ne vous retient. Ma danse est venue vous inviter, au-delà de tout peuple, de la nature comme de cette terre ou d’ailleurs, au-delà de toute sphère de vie, à vous faire découvrir la vérité que vous êtes chacune des sphères célestes, chacune des sphères de vie, chacune des musiques, chacun des parfums et chacune des formes. Je suis la reliance et la résonance qui est présente quand vous pratiquez la résonance, celle de votre cœur, celle du collectif. Je viens aujourd’hui m’insérer en vous, comme entre vous, en cette résonance du don d’Amour que vous vous donnez mutuellement. Je suis le don et la restitution, je suis la grâce et l’élégance du mouvement, la grâce et l’élégance du temps, celui où rien ne peut être maintenu, celui où rien ne peut être conservé, parce que l’Amour ne peut que se donner, et je ne peux que me donner, à la mesure où vous vous donnez, dans le même don et la même grâce, et dans la même évidence. Je suis l’enfant qui rit et le vieillard qui pleure, je suis l’enfant qui pleure et le vieillard qui rit, car je fais Õ du temps et je fais Õ de l’âge, comme je me méÕe de tout âge et tout règne. Car le règne de l’Amour ne connaît pas de trône, si ce n’est celui de cœur de chacun, celui de l’espace et de tout temps, là où l’espace et le temps n’ont jamais commencé et n’ont jamais Õni, en cette demeure de paix suprême, où vous ne dépendez de rien d’extérieur à ce que Français vous êtes, étant le tout et le rien dans l’ineáable joie et l’ineáable éblouissement de ce que vous retrouvez et que vous reconnaissez. Je viens vous accompagner en chaque regard, en chaque main tendue et en chaque baiser que vous déposez sur le front ou le cœur de chacun avec la même intensité, là où plus rien ne peut être discriminé, là où plus rien ne peut être ôté. Je suis la voie, la vérité et la vie, et je suis avec vous en éternité. Je suis vous aussi, bien avant que le monde ne respire pour la première fois, et je serai là à son dernier souße, car le souße ne s’éteint jamais, il ne peut que maintenir et entretenir ce qui a toujours été et qui sera toujours, en quelque apparence, image ou monde, en quelque forme ou en quelque pensée, en quelque musique comme en quelque silence. Je suis l’évidence de la danse, je suis surtout la joie et la légèreté que vous retrouvez aujourd’hui pour nombre d’entre vous, quelle que soit la densité de votre corps, quelle que soit la densité de votre vie. Je suis la légèreté de la vie que vous avez choisie, au-delà de tout rôle et de toute fonction, aÕn de célébrer la résurrection. Je vous donne ma paix comme vous me donnez votre paix, aÕn de l’échanger, aÕn de la démultiplier. Je suis à la fois dans le sourire comme dans les larmes parce que je ne fais pas de diáérence et que je sais qu’au-delà de tout ce que vous pensez et que vous éprouvez, il n’y a que la beauté, la joie et la liberté. Je suis la douceur, mais je suis parfois aussi la force, mais ma force est la douceur, et la douceur est ma force. Elle ne m’appartient pas en propre, elle est dans l’espace où je me situe, au-delà de toute localisation comme au-delà de tout temps, là où rien ne peut être compté car tout y est inÕni et en même temps indéÕni, et pourtant si déÕni et si précieux. Je suis la magie de l’instant de vérité, celle où votre cœur se met à vivre et se met à palpiter d’un souße nouveau du Verbe de la vérité, du verbe de l’androgyne, là où il ne peut plus exister la moindre diáérence entre l’homme et la femme, entre vous et l’ennemi, parce que je suis aussi l’ennemi, celui qui apparaît à vos yeux de chair, n’est rien d’autre que l’ami de votre esprit, là où tout le monde est ami, là où tout le monde est Amour et là où il n’y a Français personne, car je ne fais ni de diáérence entre le tout et le rien, entre l’individu et le collectif. Je viens vous réunir en la danse de la liberté, en la danse de la délivrance, là où plus rien ne peut être pesant, là où plus rien ne peut vous encombrer, là où rien n’est à acquérir et là où rien ne peut être laissé. Alors donnons-nous les uns les autres aÕn que l’amour entre nous grandisse en chacun et se révèle en chacun, pour faire le miracle d’une seule chose, en la consumation du feu d’amour de l’éphémère, qui n’a été qu’un mauvais rêve ou un mauvais cauchemar, et parfois un rêve si délicieux. Mais l’Amour n’est pas un délice, il est bien au-delà des délices de ce monde, comme de tout monde. Et pourtant, il est présent dans les délices les plus honnêtes comme les plus dérivés ou déviés. Parce que je ne fais jamais de diáérence, comment le pourrais-je, dès l’instant où il y a liberté. Comment la liberté que je suis pourrait restreindre la liberté de chacun ou de quiconque, quelles que soient les circonstances. Je viens briser les chaînes, je viens trancher, accompagnant le chœur des anges et la présence du Christ en qui vous êtes. Tout ce qui est a besoin de disparaître parce que cela est un poids, parce que cela appartient au temps, parce que cela appartient à la forme, et vous êtes au-delà de toute forme, comme je le suis en la liberté. Je suis le vent qui souße dans les branches des arbres, dans les villages des elfes, et qui porte jusqu’à votre cœur le chant de leurs louanges. Je suis, aussi, au milieu des gnomes, aÕn de permettre de graver la pierre, aÕn de permettre de briser par leurs sons et par leurs percussions, le uploads/Philosophie/ eynolwaden-4-mai-2019.pdf

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