L'onde ADN bio-numérique Peter P. Gariaev*, Boris I. Birshtein*, Alexander M. I

L'onde ADN bio-numérique Peter P. Gariaev*, Boris I. Birshtein*, Alexander M. Iarochenko*, Peter J. Marcer**, George G. Tertishny*, Katherine A. Leonova*, Uwe Kaempf ***. * Institute Control of Sciences Russian Academy of Sciences, Moscow, Russia gariaev@aha.ru, http://www.aha.ru/~gariaev, et Wave Genetics Inc. 87 Scollard Street, Toronto, Ontario, Canada, M5R 1G4, gariaev@wavegenetics.com, **53 Old Vicarage Green, Keynsham, Bristol, BS31 2DH, UK, petermarcer@aikido.freeserve.co.uk, http://www.bcs.org.uk/cybergroup.htm. . *** Institut f. Klinische, Diagnostische und Differentielle Psychologie- Am Falkenbrunnen - D- 01062 Dresden TU, Dresden, Germany, uwe@psy1.psych.tu-dresden.de Résumé Cet article fait part d'un travail expérimental réalisé à Moscou à l'Institute of Control Sciences, Wave Genetics Inc. et de travaux théoriques provenant de plusieurs sources. Ce travail modifie la notion de code génétique de façon essentielle. Il affirme : 1) que l'évolution des bio-systèmes a créé des « textes » génétiques, semblables aux textes dépendants du contexte naturel dans les langages humains, modelant le texte de ces schémas analogues au langage, 2) que l'appareil chromosomique agit simultanément à la fois comme source et récepteur de ces textes génétiques, les décodant et les encodant respectivement, 3) et que le continuum chromosomique d'organismes multicellulaires est analogue à une grille holographique espace-temps multiplexe statico-dynamique, qui comprend l'espace-temps d'un organisme dans une forme vrillée. Autrement dit, l'action de l'ADN, comme la théorie le prédit et l'expérience le confirme, (i) est celle d'un « gène-signe » laser et de ses champs électro-acoustiques solitoniques, de telle manière que le gène bio-numérique « lit et comprend » ces messages de façon similaire à la pensée humaine, mais à son propre niveau génomique de raisonnement. Ce qui soutient que les textes humains naturels (quel que soit le langage utilisé) et les « textes » génétiques ont des caractéristiques mathématico-linguistiques et entropo-statistiques similaires, qui se rapportent à la fractalité de distribution de la densité de fréquence de la caractéristique dans les textes naturels et génétiques, et lorsqu'en cas de « textes » génétiques, les caractéristiques sont identifiées par les nucléotides, (ii) et que les molécules d'ADN, conçues comme un continuum de gène-signe de n'importe quel bio-sytème, sont capables de former des pré-images holographiques de bio-structures et de l'organisme comme un tout et comme un registre de « copies d'ondes » ou de « matrices » dynamiques, se succédant les unes aux autres. Ce continuum représente le champ de mesure, de calibrage, pour construire son bio-système. Mots-clés : ADN, onde bio-numérique, code génétique, langage humain, holographie quantique 1 1. Ce que suppose la théorie 1.1. Introduction Comment cette nouvelle théorie a-t-elle pris forme ? Le problème majeur de la création du code génétique, comme observé par toutes les approches [Gariaev 1994; Fatmi et al. 1990; Perez 1991: Clement et al. 1993; Marcer, Schempp 1996; Patel, 2000], était d'expliquer le mécanisme par lequel un troisième nucléotide encodant dans un triplet, est sélectionné. Pour comprendre quel genre de mécanisme résout ce problème typiquement linguistique de supprimer l'homonyme indéfini, il est nécessaire, tout d'abord, de poser comme postulat un mécanisme pour les orientations d'ondes-contexte aux ribosomes afin de résoudre le problème d'une sélection précise d'acides aminés lors de la synthèse des protéines [Maslow, Gariaev 1994]. Cela demande qu'une sorte d'intermédiateur informationnel général fonctionne avec une toute petite capacité, au sein du processus de convolution en opposition au développement de schémas de signes régulatifs des champs physiques endogènes au génome bio-numérique. Ce qui a débouché sur la conceptualisation de la mémoire associative-holographique du génome et de sa non-localité quantique. Ces hypothèses produisent un appareil chromosomique et des canaux d'information génétique à onde rapide connectant les chromosomes des cellules séparées d'un organisme en un continuum holistique, fonctionnant comme le bio-numérique, où un des types de champ produit par les chromosomes, sont leurs radiations. Cette capacité postulée de telles « radiations laser » provenant des chromosomes et de l'ADN, comme nous le montrerons, a déjà été démontrée expérimentalement à Moscou par le Groupe Gariaev. Donc il semble que les notions acceptées sur le code génétique doivent fondamentalement changer et, de cette façon, il sera non seulement possible de créer et de comprendre l'ADN comme une onde bio-numérique, mais aussi d'avoir une compréhension plus fondamentale de la vraie nature de l'information [Marcer en publication] ! Car les expériences du Group Gariaev à Moscou et Toronto disent que la compréhension courante de l'information génomique, c'est-à-dire du code génétique, représente seulement une moitié de l'histoire [Marcer dans ce volume]. 1.2. Ce que confirme l'expérience, partie 1 Ces approches du concept de l'onde demandent toutes que la propriété fondamentale de l'appareil chromosomique soit la non-localité de l'information génétique. Plus particulièrement, la téléportation/non-localité quantique au sein des systèmes conceptuels introduits par Einstein, Podolsky et Rosen (EPR) [Sudbery 1997; Bouwmeester et al. 1997]. Grâce aux travaux expérimentaux du Groupe Gariaev, cette non-localité quantique est maintenant mise en relation avec (i) les radiations laser émises par les chromosomes, (ii) l'aptitude du chromosome d'inverser les plans de polarisation de ses propres photons émis et occlus, et (iii) l'aptitude supposée des chromosomes de transformer leurs propres radiations laser du signe génétique en ondes radios haut débit du signe génétique. Dans le dernier cas, les polarisations des photons laser du chromosome sont connectés non-localement et de façon cohérente aux polarisations d'ondes radios. Cela a été prouvé en partie lors d'expériences in vitro, quand les préparations d'ADN interagissant avec un rayon laser ( λ =632.8 nm), organisé d'une certaine manière, polarisent et convertissent simultanément le rayon dans une fourchette de fréquences radios. Lors de ces expériences, un autre phénomène pertinent a été détecté : les photons, modulés au sein de leur polarisation par les molécules de la préparation d'ADN. On les trouve, ou localise (ou « enregistre ») sous la forme d'un système d'hétérogénéités de miroirs lasers. De plus, ce signal 2 peut être « lu » sans perte essentielle d'information (comme la théorie le suppose [Gariaev 1994; Marcer, Schempp 1996]), sous la forme d'ondes radios polarisées isomorphes (en rapport avec les photons). La recherche à la fois expérimentale et théorique sur la vrille des photons localisés témoigne donc en faveur de ces propositions. Ces approches de recherches indépendantes mènent aussi au postulat que les phases du cristal liquide de l'appareil chromosomique (analogues au miroir laser) peuvent être considérées comme un environnement fractal pour stocker les photons localisés, afin de créer un continuum cohérent d'ondes radios quantiques-non-localement polarisées et distribuées d'information génomique. Dans une certaine mesure, cela correspond à l'idée de la non-localité quantique du génome, postulée plus haut ou, pour être précis, à l'une de ces variantes. Cette variante dit que la vague d'information génétique de l'ADN, enregistrée lors des polarisations des photons connectés, étant quantique non-locale, constitue un spectre d'onde radio à haut débit en corrélation – par l'intermédiaire de polarisations – avec les photons. Ici, le principal canal d'information, au moins pour ce qui est de l'ADN, est le paramètre de polarisation, qui est non-local et est le même à la fois pour les photons et les ondes radios. Un des traits caractéristiques est que l'image de Fourier des spectres radios est dynamique essentiellement selon le type de matière interrogée. On peut donc affirmer que ce phénomène concerne un nouveau type de mémoire d'ordinateur (et bio-numérique), et aussi un nouveau type de spectroscopie EPR, à savoir la spectroscopie de polarisation photon-laser-onde radio. La notion fondamentale est que les caractéristiques photon-laser-onde radio de différents objets (c'est-à-dire les spectres Fourier des ondes radios de cristaux, eau, métaux, ADN, etc.) sont stockées pour un temps défini, mais variable, par les moyens de miroirs lasers, de telle façon que les « spectres de miroirs » se rapportent à des attracteurs chaotiques avec une dynamique fractale complexe récurants dans le temps. Donc, les expériences du Groupe Gariaev ne sont pas seulement uniques en elles-mêmes, elles sont un premier exemple qu'un nouvel environnement de stockage/enregistrement statique (miroirs lasers) existe, capable d'enregistrer directement le comportement dynamique rotatif atomique/moléculaire d'objets de l'espace-temps. De plus, les phénomènes, détectés par les expériences décrites en deuxième partie, établissent essentiellement l'existence d'un nouveau type de signal radio, où l'information est encodée par les polarisations de vecteurs électromagnétiques. Ce sera la base d'un nouveau type d'enregistrement vidéo, et créera une nouvelle forme de cinéma aussi. D'autres recherches expérimentales ont révélé la forte activité biologique (génétique) de telles ondes radios lorsqu'elles sont générées dans de bonnes conditions par l'ADN. Par exemple, en utilisant les radiations produites de l'ADN artificiellement, la croissance super rapide de pommes de terre (jusqu'à 1 cm par jour) a pu être réalisée, accompagnée de changements spectaculaires dans la morphogénèse ayant pour résultat la formation de petits tubercules sur la tige et non sur le rhizome. Les mêmes radiations ont aussi pu causer une « réanimation » statistiquement authentique de graines mortes de la plante Arabidopsis thaliana, qui ont été récupérées sur le site de Tchernobyl en 1987. Par contre, on a observé que l'écoute/contrôle/surveillance d'irradiations par des ondes radios polarisées ne transportant pas d'informations provenant de l'ADN est biologiquement inactif. Dans cette séquence d'expériences, des preuves supplémentaires obtenues ont tendance à confirmer que l'information génétique peut exister sous forme de polarisation d'un uploads/Philosophie/ gariaev-onde-bionumerique.pdf

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