Histoire de la philosophie moderne  Confessions de Saint Augustin, le livre nu

Histoire de la philosophie moderne  Confessions de Saint Augustin, le livre numero 11, cest la base de toute la philosophie du temps  Travailler toujours les textes personnellements est necessaire.  Apprendre la philosophie c’est une marathon.  Le premier auteur ça sera Saint Augustin, chapitre 14-28 du livre 11 des confessions de Saint Augustin, en philosophie du temps. INTRODUCTION : La notion du temps pose un probleme de connaissance, le temps coule, en pertuelle disparition et de ce fait on ne peut pas le fixer devant nous pour l’etudier. C’est la difference avec le space qu’est là en permanence sous nos yeux de façon copresente. Le temps se presente sous un mode de succesions des instant qui est un defit pour la connaissance. Il semble que le temps ne soit pas un objet connaissable, un objet c’est une entité qu’on peut etudier, noter, decrire, etc. Le temps est toujours changeant. Par son ecoulement se refuse à son objection. Ce qui est paradoxale de proposer une connaissance philosophique au temps. Le temps semble irreductible aux conditions de la pensée. Le temps n’a pas detre, ni d’essence, ni d’identité. Or pour penser on a besoin de poser. De l’autre cote il n’y a rien de plus familier que le temps, on entretien avec lui une forme de convivence, à l’inverse de l’espace que se donne hors de nous, le temps se donne en nous et pour cela on peut peut etre le connaitre. Le temps n’est etranger. Le temps est la forme meme de l’interiorité. Kant par exemple dit que le temps c’est la forme pure du sens interne. Il y a un lien indissoluble entre la conscience et le temps. Toutes nos reprsentations de la conscience sont dans la succesion comme le temps. On dit pas que la conscience est dans le space, ni le donner des qualités physiques. La méconnaissance c’est pas l’erreur mais c’est une connaissance qui n’a pas était suffisament reflexive avec elle-même t dons laisse a place aux prejugés et presuposés. Le temps passe, il disparait et il n revient pas. Il constitu un flu irreversible. Le premier presuposé est que le temps est un flux irreversible, le duexieme presuposé est que le temps aurait une certaine élasticité et son écoulement n’affecte pas de la meme façon dans chaque moment, au sense où il y aurait des durées differentes dans nos vies psychiques de la conscience. Il n’y a pas de societe qui fonctionne sans l’organisation du temps. Le temps est subjectif mais il n’y a rien de plus objectif, demain c’est demain, à 13h c’est à 13h, dans 5 minutes c’est dans 5 minutes. Troisième presuposé c’est de nature ontologique (l’etre de la chose), le temps serait par essence destructeur, il fait disparaitre les choses. Si on veut arriver à obtenir une connaissance philosophique du temps il faudra obtenir une connaissance conceptuelle et on ne pourra pas s’arreter à ces presuposés. Entre le temps et la conscience la question est de savoir comment la conscience parvienne à constituer la temporalité elle eme. Une deuxieme question sconsiste à articuler l’experience subjective du temps et son objectivation à travers les mesures d’organisation social (calendriers, montres, horloges, etc.), le probeleme est de comprendre comment on peut articuler les deux pour relattiviser le temps. Et troisième axe general, quel est l’ontologie du temps, son sens d’etre le plus fondamental? Quel est le temps de la conscience ou comment la conscience institue-t-elle le temps? La conscience est par definitions une entité éveillée. L’experience conscience ou éveillée est source de contradiction et la plus forte de ces contradictions est celle de les trois dimensions du temps, passé, présent et future. Dans cette dimension quel est le temps propre de la conscience et commente elle peut l’unfier? On dirait que la conscience agit au temps present. Selon les ennoncés cartesiens “je pense, je suis”. On a du mal à imaginer un ennoncé “je pense, j’étais ou je serais”. Aristote à beaucoup arlé de cela, le maintenant c’est le temps propre de la conscience. Le passé est disparut et le future n’est pa encore. Donc, est t il vrai que le seul temps possible pour la conscience est le present ? Ou encore, la conscience ne peut elle que vivre dans le present ? *Texte de Pascal dans la photocopie donnée en cours. Qu’est-ce que fait l’unité du temps dans la dimension passé, présent et future? On dit le temps est constitué de passé, present, et futur. La questions est comment penser l’unité et l’articulation du temps. S’il a une structure ternaire comment cette structure peut etre unifiée et conciliée. Dernier question de la problematique sur la question ontologique et le mode d’etre. D’un coté le temps se presente comment alteration et succesion, les etres changent, mais on peut dire que le temps n’a pas d’etre ni d’identité. Mais les philosophes ont trouvé dans la substance et la substantialité ce qui persiste au temps. Comment est possible que dans le temps il y ait de la conservation et de la permanence. Leçon 1 : TEMPS ET ETERNITE On a toujours pensé le temps avec sa correlation eternelle. Chez Aristote, chez Saint Augustin et chez Spinoza, sont d’accord avec l’experience que nous sommes eternels. Pour des nombreux auteurs cela (théorie temps et eternité ensemble) joue un role assez impotant, cette théorie a une valeur fondamentale dans la theorie e la connaissance. Par contraste avec une forme d’existance qui n’est pas temporelle et qui est l’existance divine pas considérée comme étant dans le temps. Ce qui est important c’est que la théorie de la connaissance mise en place, la sagesse, ella a explicitement pour but d’atteindre et d’exprimer l’eternité. Chez la plupart des auteurs le temporel et l’eternel communiquent et la philosophie va nous aider à rejoindre cela en chaqu’un de nous. Le premier à dire ça c’est Platon (théorie de la reminiscence). Pour certains metaphysiciens le lien d’existance entre nous et l’eternel c’est la demonstration c’est à dire, si je conçoit des entités perpetuelles et eternelles (Dieu et temps, vérités géométriques, lois epistémiques, mathémaiques, etc...) c’est parce que en moi il y a une partie d’eternel et perpetuel. C’est le but de la sagesse de la philosophie, c’est une quete ontologique, une forme de conversion de sa façon de penser de manière à conquérir une part d’eternité. La joie c’est le signe de l’eternité. Le sage est joyeux. Traité de l’Ame ou D’Anima, livre 3 proposition 43, Aristote. L’intelecte a une partie agente qui agisse. Lorsque nous comprenons quelque chose nous sommes à l’égal de Dieu. De meme Spinoza, proposition 40, la part eternelle de l’esprit est l’entendement, seule partie par laquelle nous soyons actifs. La question : pourquoi l’existance temporelle aurait elle besoin d’etre adossée à l’eternité? Pourquoi Est-ce que le temps n’est pas pensable sans l’eternité? L’eternité se presente comme la negation du temps, quelque chose qui n’est pas dans le temps, ne change pas et n’a ni debut ni fin. Autrement dit l’eternité n’est pas le contraire du temps c’est la négation du temps. Pourquoi vouloir articuler les deux, pourquoi les metaphysiciens mélangent le temps avec l’eternité? Parce que le temps ne se suffit pas à lui- même il a besoin d’un fondement, precisement le temps souffre d’une carence ontologique, il n’a pas d’etre donc il faut lui donner un fondement perpetuel qui persiste, qui soit eternel. C’est comment le fondement d’un maison, une maison (un principe) sans fondement est stérile et ne sert pas. Saint Augustin dans ses confessions, le temps est une source de . L’homme est disperse et Augustin explique que nous sommes soumis à trois tentations fondamentales : la volupté, la curiosité et l’orgueil. L’etre humain dans son existance est soumis permanentement en agitation, en dissipation, incertitude, etc. La curiosité c’est le mode de l’inauthenticité selon Heidegger (qui a etudié la théologie tout comme Kierkegaard) qui a beaucoup lu Saint Augustin. Le temps est ce qui se transforme et se dilue l’eternité est-ce qui se maintient dans sa simplicité (Maitre Eckart). Si le temps est soumis à la dissipation, à l’ek-stase (hors de soi meme), il n’a pas de la consistence, mais l’eternité a la consistence de ce que existe en soi et par soi en raison des etres qui y appartiennent. L’eternité est conçue comme le berceau ontologique de l’ame. Le but des philosophes c’est une conversion de l’ame (entendement) qui n’est pas corporelle vers l’eternel, comment sortir de ce etendu corporel? Pour Aristote c’est la contemplation. Que signifie le principe philosophiqeu et rationnel d’une conscience qui peut s’affranchir du temps et avoir un accès à l’éternité? Est il possible de passer du temps à l’eternité? Et si oui, comment? Est il possible de penser “sub species aeternitatis” comme dirait Spinoza? Saint Augustin le rapport à Dieu et à la Foi est fondamental. A_ Métaphysique et Théologie astrale chez Aristote Aristote dans la metaphysique dans l’ouvrage de L’Ethique à Nicomaque, il est le premier à avoir fait le lien entre la connaissance et la joie uploads/Philosophie/ histoire-de-la-philosophie-moderne.pdf

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