Résumé de “Ce qu’il faut savoir avant de mourir” Ce livre est basé sur une séri
Résumé de “Ce qu’il faut savoir avant de mourir” Ce livre est basé sur une série télévisuelle que l’auteur a conçue qui est intitulée : « Les cinq perles de sagesse qu’il faut connaître avant de mourir » Prologue L’auteur a écrit ce livre car il a cherché toute sa vie en quoi consiste une vie bien remplie et significative. Très jeune déjà, il voulait connaître les perles de sagesse qui lui permettraient de bien vivre et de mourir heureux. Son père est décédé à l’âge de 36 ans lorsqu’il avait 8 ans et pour cette raison, cette quête lui est apparue encore plus urgente. La vie peut être courte et nous ne savons jamais combien de temps il nous reste pour découvrir les perles de sagesse du bonheur. Tôt dans sa vie, il a eu le privilège de passer du temps avec des gens mourants et d’observer que ces individus avaient des façons bien différentes de mourir. Certaines personnes terminaient leur vie avec un grand sentiment de satisfaction et peu de regrets. D’autres mouraient dans l’amertume ou habités d’une triste résignation en pensant à la vie qui aurait pu être la leur. Au début de la vingtaine, il a entrepris de comprendre ce qui distinguait ces deux groupes de gens. Il y a de nombreuses années, une femme d’un certain âge appelée Margaret lui a raconté qu’elle avait essayé de vivre toute sa vie en songeant à "une vieille femme assise dans une berceuse sur sa véranda". Elle lui a dit que chaque fois qu’elle devait prendre une décision, elle imaginait qu’elle était cette vieille femme qui sur sa véranda, se remémorant sa vie. Elle demandait alors à cette vieille femme de la conseiller sur la voie qu’elle devait emprunter. Une idée à commencer à germer dans l’esprit de l’auteur. Se pouvait-il qu’à la fin de notre vie, nous découvrions des choses dont nous aurions pu grandement tirer profit si nous en avions été conscients plus tôt ? Il a donc interviewé 235 personnes âgées de 59 ans à 105 ans. Du coiffeur du village au professeur, du propriétaire d’entreprise à l’écrivain, du prêtre au poète, du survivant de l’holocauste au chef aborigène, du musulman à l’hindou, du bouddhiste aux chrétiens… ils ont cherché à avoir la réponse à différentes questions dont la plus importante : que devons-nous savoir à propos de la vie avant de mourir ? Voici l’un des aspects les plus profonds que l’auteur et son équipe ont appris avec clarté : malgré les nombreuses différences qui caractérisaient ces gens (l’âge, la religion, la culture, la profession, l’éducation, le statut économique), ils partageaient tous les mêmes perles de sagesse d’une vie bien remplie. Il semble que ce qui compte vraiment passe outre les frontières qui, comme nous le croyons souvent nous séparent les uns les autres, comme la religion, la race ou le statut social. Ce livre démontre qu’il n’est pas nécessaire d’attendre d’être vieux pour devenir sage. On peut découvrir les perles de sagesse de la vie à n’importe quel âge et plus tôt nous le faisons, plus notre vie sera épanouie. Chapitre 1 : Pourquoi certaines personnes trouvent-elles un sens à la vie et meurent-elles heureuses ? "En face du vrai bonheur, les richesses valent l’ombre d’une fumée" – Sophocle – Pour vivre avec sagesse, nous devons reconnaître qu’il existe deux vérités fondamentales dans la vie de tout être humain. La première c’est que la durée de notre vie est limitée et indéterminée, elle peut durer 100 ans ou 30. La seconde, c’est que pendant ce laps de temps nous avons un choix pratiquement illimité de moyens d’utiliser ce temps, et ce sont ces choix qui définissent finalement notre vie. Nous ne naissons pas avec un manuel d’instructions, et l’horloge commence à faire tic-tac dès notre arrivée dans ce monde. La connaissance versus la sagesse Pour jouir pleinement de cette vie, il faut davantage de sagesse que de connaissances. La sagesse est différente et fondamentalement plus importante que la connaissance. Nous vivons à une époque où les connaissances (le nombre de faits) doublent tous les 6 mois alors que la sagesse est rare. La connaissance est l’habilité à reconnaître ce qui a de l’importance et ce qui n’en a pas. Tant que nous ne découvrons pas ce qui compte, le véritable sens de la vie nous échappe. Les êtres humains ne meurent pas tous de la même façon. Certaines personnes meurent après avoir connu une vie guidée par un but profond et avec peu de regrets. Ces personnes parviennent au crépuscule de leur vie avec le sentiment intime d’avoir pleinement vécu. D’autres meurent dans l’amertume car elles sont passées à côté de ce qui compte vraiment. Les deux choses que nous souhaitons par-dessus tout : Trouver le bonheur et un sens à notre vie !! Par "trouver le bonheur" je veux dire que chaque être humain souhaite faire l’expérience de la joie et d’un profond sentiment de satisfaction. Mais le bonheur n’est pas assez pour nous, êtres humains. Je crois que nous voulons aussi découvrir le sens de la vie. Nous voulons plus que tout savoir que notre présence ici-bas est importante : trouver une raison d’être vivant. Ces perles de sagesse sont-elles vraiment mystérieuses ? Pendant les entrevues que l’auteur a réalisées, il a constaté que les gens heureux de par leur façon de vivre, connaissaient tous ces perles de sagesse. Toutefois, il ne suffit pas de connaître ces perles de sagesse. Nous connaissons tous des choses que nous ne mettons pas en pratique : l’exercice est bon pour nous, une alimentation équilibrée est un gage de bonne santé, le tabagisme est néfaste, les relations sont plus importantes que les biens matériels… Ces gens les connaissent toutes, mais plus important encore, ils les mettent en pratique. Chapitre 2 Pourquoi j’ai parlé de la vie au coiffeur du village ? "Par trois méthodes, nous pouvons apprendre la sagesse : d’abord, par la réflexion, qui est la plus noble ; en second lieu, par l’expérience, qui est la plus amère ; et troisièmement, par l’imitation, qui est la plus facile." – Confucius – La vie est similaire à un voyage. Nous ne faisons le voyage de la vie qu’une seule fois, du moins sous cette forme. Il y a autant de gens qui regrettent leur voyage que de gens qui en gardent un souvenir de bonheur. Comment nous avons sélectionné ces personnes sages ? À partir de 15 000 personnes, 235 ont été sélectionnés parmi les plus sages. Une série de questions leur a été posé dont : « Qu’est qui apporte le bonheur ? Qu’est qui donne un sens à la vie ? Qu’est qui est une perte de temps ? Que feriez-vous différemment si vous pouviez recommencer vote vie ? Quelles sont vos perles de sagesse, et comment les mettez-vous en pratique quotidiennement ? Quels sont les principaux moments décisifs qui ont donné une nouvelle orientation à votre vie ? Comment percevez-vous la mort ? » Nos aînés sont précieux Dans notre société, il n’est pas très courant que l’on se tourne vers nos aînés pour modeler notre vie. Notre culture est axée sur la jeunesse et nous accordons une grande valeur à ce qui est nouveau et actuel. L’auteur a eu le privilège de passer beaucoup de temps auprès de plusieurs tribus en Tanzanie. C’est en côtoyant ces gens qui honorent leurs aînés qu’il a eu l’idée de ce projet. Dans l’une de ces tribus, un individu est admis au conseil des aînés à l’âge de 50 ans. Ils se préparent toute leur vie à faire partie de ce conseil, un groupe qui prend les décisions importantes pour la tribu. Le groupe de 15 hommes qui accompagnait l’auteur, pour la plupart dans la cinquantaine, a expliqué avec un certain embarras qu’ils n’avaient pas vraiment de conseil d’aînés ; que dans notre société, les personnes âgées étaient souvent placées dans des maisons de repos ou ils vivaient isolées de la population la plus jeune. Ils leur ont expliqué que nous vivions dans une société qui valorisait davantage la jeunesse que la vieillesse. Les aînés de cette tribu ont manifesté leur consternation : comment cela était possible! Après s’être consultés, ils ont fortement recommandé au groupe de retourner chez eux, de former un conseil d’aînés et de « se faire entendre de la jeunesse ». Pourquoi avoir choisi des gens de plus de 60 ans ? Au fur et à mesure des entretiens, nous nous sommes rendu compte que c’est vers l’âge de 60 ans que les gens commencent à examiner leur vie en rétrospective. Chapitre 3 : La première perle de sagesse : demeurez fidèle à vous même et vivez en étant animé d’une intention Ce qui distingue ceux qui vivent bien et meurent heureux de la majorité d’entre nous, c’est qu’ils se demandent constamment s’ils mènent la vie qu’ils souhaitent, et ils écoutent leur cœur pour trouver la réponse à la question. Choisissez de vivre éveillé A moins de continuellement réfléchir à uploads/Philosophie/ john-izzo-ce-qu-x27-il-faut-savoir-avant-de-mourrir-re-sume.pdf
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- Publié le Apv 08, 2021
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