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1 1 JOURNAL PHILOSOPHIQUE FRANCO-EUROPEEN « Pour une Europe des Peuples et des

1 1 JOURNAL PHILOSOPHIQUE FRANCO-EUROPEEN « Pour une Europe des Peuples et des Nations Européennes » L LE E P PA AT TR RI IO OT TE E Nº11. Mai-Juin 2008 LA VÉRITÉ, RIEN QUE LA VÉRITÉ. ______________________________________________ Courriel : LEPATRIOTEJOURNAL@IFRANCE.COM Le PATRIOTE persiste et signe ! Lettre Ouverte à Nos Lecteurs Comité de Rédaction. /2 Totalitarisme Monocratique Unité Intégration Individuation Par F. Guigaouri. /29 1º Partie Par Luigi Talarico./32 Manifeste pour la Vérité Petite histoire du Moniste Hébraïque/28 /28 /28 /28 Comité de Rédaction / Comité de Rédaction /12 _____________________________________________________________________ BIBLIOGRAPHIE PATRIOTIQUE APPEL AUX ESPRITS LIBRES /36 /36 CHERS LECTEURS COMPATRIOTES: CHERS LECTEURS COMPATRIOTES: CHERS LECTEURS COMPATRIOTES: CHERS LECTEURS COMPATRIOTES: Nous fûmes villipendiés, exécrés et mis sur Nous fûmes villipendiés, exécrés et mis sur Nous fûmes villipendiés, exécrés et mis sur Nous fûmes villipendiés, exécrés et mis sur le banc des accusés dans deux tribunaux le banc des accusés dans deux tribunaux le banc des accusés dans deux tribunaux le banc des accusés dans deux tribunaux de de de de France par cette même gens antinationale France par cette même gens antinationale France par cette même gens antinationale France par cette même gens antinationale qui infecte notre administration, censure qui infecte notre administration, censure qui infecte notre administration, censure qui infecte notre administration, censure tout acte de force, de santé et de clarté (qui tout acte de force, de santé et de clarté (qui tout acte de force, de santé et de clarté (qui tout acte de force, de santé et de clarté (qui sont souvent une et même chose) et tente sont souvent une et même chose) et tente sont souvent une et même chose) et tente sont souvent une et même chose) et tente désespérément de baillonner nos désespérément de baillonner nos désespérément de baillonner nos désespérément de baillonner nos “intellectuellement incorrects” à coupS de “intellectuellement incorrects” à coupS de “intellectuellement incorrects” à coupS de “intellectuellement incorrects” à coupS de prison prison prison prison et amendes, employant pour ce faire et amendes, employant pour ce faire et amendes, employant pour ce faire et amendes, employant pour ce faire la calomnie, l’imputation de délits la calomnie, l’imputation de délits la calomnie, l’imputation de délits la calomnie, l’imputation de délits impossibles et autres coups bas de la guerre impossibles et autres coups bas de la guerre impossibles et autres coups bas de la guerre impossibles et autres coups bas de la guerre financière et psychologique dont l’objectif financière et psychologique dont l’objectif financière et psychologique dont l’objectif financière et psychologique dont l’objectif est de former une authentique Police de la est de former une authentique Police de la est de former une authentique Police de la est de former une authentique Police de la Pensée dans notre pays... Pensée dans notre pays... Pensée dans notre pays... Pensée dans notre pays... Le Temps chez les Hindoux. IºPartie Par Richard Glize. /16 PERSPECTIVES POUR UNE NOUVELLE PHILOSOPHIE POLITIQUE. VºPartie. L’Intrustionat Par Enzo Talarico /2 Thèse pour une Abolition de l’Etat 1ºPartie Par Christian Talarico. /20 2 2 Le Patriote persiste et signe ! (Continuation) PROCES CONTRE L’EXPRESSION DE LA PENSEE Le 18 février 2008, Richard Glize, co-rédacteur du journal « Le Patriote », devait être jugé devant le tribunal correctionnel de Dax (Landes) pour avoir distribué notre publication censée, selon les accusateurs, provoquer à « la discrimination, ou à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de son origine ou de son appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », et sur plainte de Me Jean-Michel Soulem, à la fois défenseur et président de l’association cultuelle1 israëlite de Bayonne-Anglet. Grâce à un travail juridique minutieux et à une brillante plaidoirie qui laissa sans réplique la partie civile adverse, Me Jérôme Triomphe obtint, comme il le demandait, l’annulation pure et simple de toute la procédure contre Richard Glize pour plusieurs vices de formes. Une belle bataille de gagnée, mais ce procès nous montre la situation réelle de notre pays – et de beaucoup d’autres en Europe et ailleurs -, à savoir les tentatives faites pour faire disparaître l’expression de toute Pensée véritablement libre – si tant est qu’il 1 Association cultuelle israëlite, donc association à caractère religieux, et non association culturelle juive comme cela était écrit dans le journal « Sud-ouest » du mardi 19 février 2008. puisse y avoir Pensée sans cette liberté -. Pour plus de précisions sur ces faits et les perspectives, nous renvoyons au « Manifeste Pour la Vérité, Rien que la Vérité » que nous publions dans ce numéro. DEBAT PUBLIC SUR LE FOND La partie adverse, après cette défaite, fit semblant, par la bouche du Procureur Serge Mackowiak, de réclamer un débat sur le fond après avoir été mise « K.O debout » sur la procédure formelle. Nous répondons : d’accord, nous ne demandons que cela, et nos textes en sont la preuve. Mais débat public hors tribunaux et commissariats de police. Ceux- ci sont pour les accusés, et même si en droit français ceux-ci sont toujours présumés innocents jusqu’à ce qu’ils soient condamnés, nous savons qu’en réalité, et surtout en ce qui nous concerne ainsi que les sujets traités : accusé = coupable. Coupable « d’antisémitisme », le crime de lèse-majesté, le crime de « monstre », etc, etc, nous connaissons le discours, nous dirons « la chanson ». Donc, n’étant coupables de rien du tout, si nos adversaires veulent débattre du fond, et déjà de leurs accusations, qu’ils s’adressent à nous et non à la police ou aux tribunaux. Et nous verrons qu’elles sont les Vérités. Nous n’accepterons jamais que l’on fasse un jugement politique de notre pensée philosophique (Philosophie de l’Intégration) sous couvert de contrôle du soit-disant bon usage de la Liberté de Presse... Le Comité de Rédaction, Le Patriote Journal. LA VOLONTÉ COLLECTIVE Bases pour une nouvelle philosophie politique Chapitre V: L’INTRUSTIONAT. Nous devons voir l’institution de l’Intrustionat en tant qu’élément cohésif et quelque fois formateur de la Volonté Collective2 chez les Vikings et les germaniques en général. “À l’époque des Vikings, il a formé le noyeau porteur de la force d’attaque”, dit Jean de Vries, je cites, in extenso: “Les jeunes (...) s’étaient séparés de leur lignages et avaient des obligations envers leur ducs ou seigneurs auxquels ils s’étaient attachés exclusivement par libre choix (!!!???)” Nous devrions ajouter par nécessité et intérêt, évidemment. “En raison de cette structure conditionnée par des liens de sang (lignagère donc) il avait des limites extérieures définies, mais il était menacé à l’intérieur dans sa suite par les ravages que causaient les querelles des lignages”... “ la Conscience communautaire ne se manifestait qu’exceptionnellement entre les membres de la tribu, à l’époque des Things, ou assemblées du peuple, tel devait être le cas. C’est là que se tenait le tribunal commun, là qu’étaient dictées les lois, là qu’on célébrait les sacrifices communautaires. On se trouvait dans l’orbe clos de sa propre tribu”... “La personne du prince était elle aussi une force de cohésion”3... Communautaire et personnelle. L’Intrustionat cohésionne ainsi prince et vassal, ou subordonné, par des liens de subsistance et autorité (prince), d’obéissance et d’admiration, de 2 Tout au moins un genre de celle-ci. 3 Souligné par moi. 3 3 fidélité que le subordonné (vassal) librement, consent et choisit, et non par lignage mais de droit le subrodonné accepte de défendre son SEIGNEUR, et ce dernier, de le maintenir et protéger comme le faisait avant la communauté lignagère de sang. Le choix et consentement du subordonné au duc inplique l’éclosion de la Volonté individuelle en recherche de croissance qui se manifeste même dans la subordination, consentie donc, comme un choix personnel de donner l’autorité et de s’imposer l’obéissance envers ce dernier, le prince ou seigneur. Les liens de sang, lignagers, sont dans cette perspectives plus naturels, fatals, plus impératifs et déterminés que le DROIT, destinés, donc, et imposent une autorité reconnue à la naissance, naturellement et spontanément acceptée. Ainsi, les rapports de l’Intrustionat impliquent un système d’autorité-obéissance plus libre – dumoins plus réfléchi- que les rapports lignagers, lesquels se trouvent à la naissance sans être questionnés par le choix et l’assentiment donné librement par le vassal –ce qui constitue un acte rationnel, bien que conditionné par les besoins- aux ducs ou princes. De la sorte, la Raison conceptuelle opère dans le moment du choix et assentiment donné au Duc4; ensuite, si le prince ou duc n’a pas la correcte intention de continuer à protéger son subordonné, à le maintenir et le guider quand il peut, et au lieu de ceci, préfère le tromper avec des illusionismes, alors, l’assentiment s’effrite et peut être 4 4 Du latin ducere: mener, conduire. Première dignité de hiérarchie seigneuriale dans le système féodal. retiré, mais avec violence. Dans le lignage, par contre, il pourrait s’en aller sans problèmes majeurs. L’Intrustionat dans le cas de non aide, ne fonctionne plus, puisque c’est la raison et Justice que l’on cherche à tromper et dévier dans la uploads/Philosophie/ le-patriote-journal-no11 1 .pdf