JE VEUX Donnez moi une suite au Ritz, je n'en veux pas! Des bijoux de chez Chan
JE VEUX Donnez moi une suite au Ritz, je n'en veux pas! Des bijoux de chez Chanel, je n'en veux pas! Donnez moi une limousine, j'en ferais quoi? Offrez moi du personnel, j'en ferais quoi? Un manoir à Neuchâtel, ce n'est pas pour moi. Offrez moi la Tour Eiffel, j'en ferais quoi? Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, C'n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, Moi j'veux crever la main sur le cœur. Allons ensemble, découvrir ma liberté, Oubliez donc tous vos clichés, Bienvenue dans ma réalité. J'en ai marre d'vos bonnes manières, c'est trop pour moi! Moi je mange avec les mains et j'suis comme ça! J'parle fort et je suis franche, excusez moi! Finie l'hypocrisie moi, j'me casse de là! J'en ai marre des langues de bois! Regardez moi, toute manière j'vous en veux pas Et j'suis comme ça (j'suis comme ça) Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, C'n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, Moi j'veux crever la main sur le cœur. Allons ensemble, découvrir ma liberté, Oubliez donc tous vos clichés, Bienvenue dans ma réalité. Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, C'n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, Moi j'veux crever la main sur le cœur. Allons ensemble, découvrir ma liberté, Oubliez donc tous vos clichés, Bienvenue dans ma réalité. Je veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, C'n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, Moi j'veux crever la main sur le cœur. Allons ensemble, découvrir ma liberté, Oubliez donc tous vos clichés, Bienvenue dans ma réalité. SI JAMAIS J’OUBLIE Rappelle-moi le jour et l'année Rappelle-moi le temps qu'il faisait Et si j'ai oublié Tu peux me secouer Et s'il me prend l'envie d'm'en aller Enferme-moi et jette la clé Aux piqûres de rappel Dis comment je m'appelle Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées Les guitares et les cris Rappelle-moi qui je suis Pourquoi, je suis en vie Si jamais j'oublie les jambes à mon cou Si un jour je fuis Rappelle- moi qui je suis Ce que je m'étais promis Rappelle-moi mes rêves les plus fous Rappelle-moi ces larmes sur mes joues Et si j'ai oublié, combien j'aimais chanter Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées Les guitares et les cris Rappelle-moi qui je suis Pourquoi je suis en vie Si jamais j'oublie les jambes à mon cou Si un jour je fuis Rappelle-moi qui je suis Ce que je m'étais promis Rappelle-moi qui je suis Si jamais j'oublie les jambes à mon cou Si un jour je fuis Rappelle-moi qui je suis Ce que je m'étais promis Si jamais j'oublie, les nuits que j'ai passées Les guitares et les cris Rappelle-moi qui je suis Pourquoi, je suis en vie Rappelle-moi le jour et l'année LE LONG DE LA ROUTE On n'a pas pris la peine De se rassembler un peu Avant que le temps prenne Nos envies et nos voeux Les images, les querelles Du passé rancunier Ont forgé nos armures Nos coeurs se sont scellés Rester seul dans son coin Nos démons animés Perdus dans nos dessins Sans couleur, gris foncé On aurait pu choisir Le pardon, essayer Une autre histoire d'avenir Que de vouloir oublier Prenons-nous la main Le long de la route Choisissons nos destins Sans plus aucun doute J'ai foi et ce n'est rien Qu'une question d'écoute D'ouvrir grand nos petites mains Coûte que coûte On n'a pas pris la peine De se parler de nous Nos fiertés tout devant Sans pouvoir se mettre à genoux Dans nos yeux transparents Le mensonge sur nos dents Impossible de le nier Tout le corps révélé Prenons-nous la main Le long de la route Choisissons nos destins Sans plus aucun doute J'ai foi et ce n'est rien Qu'une question d'écoute D'ouvrir grand nos petites mains Coûte que coûte Prenons-nous la main Le long de la route Essaye, vivre la vie Glisser sans retenir Et les mots ne sont que des mots Pas les plus importants On y met nos sens propres Qui changent au gré des gens C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi même C'est con, ce qu'on peut être con Car l'autre n'est que le reflet de ce qu'on se met à couvert Si nos schémas ancrés Veulent bien n'pas nous figer C'est le début de nos rêves Qui tendent à se confirmer C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi-même C'est con, ce qu'on peut être con Car l'autre n'est que le reflet de ce qu'on se met à couvert C'est con, ce qu'on peut être con A se cacher de soi même C'est con, ce qu'on peut être con C'est con, ce qu'on peut être con C'est con, ce qu'on peut être con LES PASSANTS Les passants passant, je passe mon temps à les regarder penser Leurs pas pressés dans leurs corps lésés Leurs passé se dévoile dans les pas sans se soucier Que suspicieuse, à l'affût, je perçois le jeu de pan Leurs visages comme des masques me font l'effet répugnant Que faire semblant, c'est dans l'air du temps Passe, passe, passera La dernière restera L'enfant n'est fait que de fêtes Le fait est que l'effet se reflète à sa capacité de prendre le fait tel qu'il est Sans se référer à un système de pensée dans sa tête L'automne déjà, c'était l'été hier encore Le temps me surprend, semble s'accélérer Les chiffres de mon âge m'amènent vers ce moi rêvé Passe, passe, passera La dernière restera Chaque mois se joue Dans des cycles différents, c'est marrant ces remous Qui m'animent à travers le temps D'un état à un autre, j'oscille inexorablement Par les temps je cours à l'équilibre Chaque jugement sur les gens Me donne la direction à suivre Sur ces choses en moi à changer, qui m'empêchent d'être libre Les voix se libèrent et s'exposent Dans les vitrines du monde en mouvement Les corps qui dansent en osmose Glissent, tremblent, se confondent et s'attirent irrésistiblement Par les temps je cours à l'expression Chaque émotion ressentie Me donne envie d'exprimer les non-dits Et que justice soit faite dans nos pauvres vies endormies Passe, passe, passera La dernière restera ON IRA On ira écouter harlem au coin de manhattan On ira rougir le thé dans les souks à amman On ira nager dans le lit du fleuve sénégal Et on verra brûler bombay sous un feu de bengale On ira gratter le ciel en dessous de kyoto On ira sentir rio battre au coeur de janeiro On lèvera les yeux sur le plafond de la chapelle sixtine Et on lèvera nos verres dans le café pouchkine Oh! Qu'elle est belle notre chance Aux milles couleurs de l'être humain Mélangées de nos différences A la croisée des destins Vous êtes les étoiles, nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable, nous sommes le désert Vous êtes mille pages et moi je suis la plume Oh oh oh oh! Oh oh oh! Vous êtes l'horizon, et nous sommes la mer Vous êtes les saisons, et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh! Oh oh oh! On dira que le poètes n'ont pas de drapeaux On fera des jours de fête autant qu'on on a de héros On saura que les enfants sont les gardiens de l'âme Et qu'il y a des reines autant qu'il y a de femmes On dira que les rencontres font les plus beaux voyages On verra qu'on ne mérite que ce qui se partage On entendra chanter des musiques d'ailleurs Et l'on saura donner ce que l'on a de meilleur Oh! Qu'elle est belle notre chance Aux milles couleurs de l'être humain Mélangées de nos différences A la croisée des destins Vous êtes les étoiles, nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable, nous sommes le désert Vous êtes mille pages et moi je suis la plume Oh oh oh oh! Oh oh oh! Vous êtes l'horizon, et nous sommes la mer Vous êtes les saisons, et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh! Oh oh oh! Vous êtes les étoiles, nous somme l'univers Vous êtes en un grain de sable, nous sommes le désert Vous êtes mille pages et moi je suis la plume Oh oh oh oh! Oh oh oh! Vous êtes l'horizon, et nous sommes la mer Vous êtes les saisons, et nous sommes la terre Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume Oh oh oh oh! Oh oh oh EBLOUIE PAR LA NUIT Éblouie par la nuit à coups de lumière mortelle A frôler les bagnoles les yeux comme des têtes d'épingle. Je t'ai attendu 100 ans dans les rues en noir et blanc Tu es venu en sifflant. Éblouie par la nuit à coups de lumière mortelle A shooter les canettes aussi paumée qu'un navire Si j'en ai perdu uploads/Philosophie/ zaz.pdf
Documents similaires










-
28
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Aoû 27, 2021
- Catégorie Philosophy / Philo...
- Langue French
- Taille du fichier 0.0672MB