Vincent Reynouard Julius Streicher à Nuremberg ou à la source de l’imposture an

Vincent Reynouard Julius Streicher à Nuremberg ou à la source de l’imposture antiraciste Julius Streicher à Nuremberg Ceux qui trouvent sans chercher, sont ceux qui ont longtemps cherché sans trouver. Un serviteur inutile, parmi les autres Scan, ORC, mise en page octobre 2010 LENCULUS Pour la Librairie Excommuniée Numérique des CUrieux de Lire les USuels 5 Avant-propos Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir s’opposer au mondialisme sans fonder leur combat sur le révisionnisme historique. Les objectifs de Big Brother Adoptant une définition naturaliste de l’homme (l’homme ne serait qu’un singe amélioré, capable de penser et de poser des actes d’intelligence, mais dénué de ce qu’on appelle communément « l’âme » ) Big Brother rejette toute notion de vie après la mort. Par conséquent, il fait du bonheur sur terre le but ultime de l’existence. D’où sa volonté d’établir une sorte de paradis terrestre — image du paradis céleste auquel il ne croit plus [1] — c’est-à-dire un monde où, afin de conjurer les maux du passé (conflits, guerres, pauvreté, famines...), tous les échanges humains seront rationalisés, standardisés et gérés à l’échelle de la planète par un gouvernement mondial doté d’une police universelle. Ce projet n’est pas une utopie fumeuse ; il se réalise actuellement sous nos yeux. Dans le domaine politique, déjà, la « démocratie » est devenue l’unique forme de gouvernement acceptée, au point que les pays qui sollicitent des aides internationales ne les reçoivent qu’à condition d’opérer chez eux des changements « vers plus de démocratie » (voy. le récent exemple de la Serbie). Cette standardisation nécessite de niveler les différences, qu’elles soient sexuelles (parité hommes/femmes), religieuses (œcuménisme) et, surtout raciales, car comment imposer une unique forme de gouvernement, des lois internationales et des valeurs identiques à des peuples traditionnellement si différents ? Voilà d’ailleurs pourquoi Big Brother prône le métissage, car c’est en déplaçant et mélangeant les peuples qu’il peut espérer parvenir à une humanité nouvelle : sans passé, sans racines, sans repères autres que ceux imposés par la nouvelle théologie des Droits de l’Homme et uniquement soucieuse d’acquérir un confort matériel [2]. 1 — Rappelons que d’après la religion catholique : « Satan est le singe de Dieu », donc qu’il cherche à réaliser sur un plan matériel ce que le Créateur réalisera dans les cieux. C’est précisément ce que René Guénon appelle la « subversion » : « quand ce qu’il y a d’inférieur [...] cherche ainsi à imiter et à contrefaire les principes supérieurs et transcendants, c’est bien de subversion qu’il y a lieu de parler effectivement » (voy. R. Guénon, Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps, éd. Gallimard, 1972, p. 195.) 2 — C’est précisément ce à quoi Hitler s’opposait. Dans Mein Kampf, il écrit : « Mais il est Julius Streicher à Nuremberg ou à la source de l’imposture antiraciste 6 Une haine du réel qui crée la tyrannie Toutefois, c’est ici que naissent les difficultés. Car n’en déplaise aux égalitaristes, les différences sexuelles, religieuses et surtout raciales existent bel et bien. Dès lors, comme le remarque Bernard Notin : [...] les projets utopiques butent sur des limites, des résistances : l’existence d’une nature humaine, soumise à un ensemble de déterminations ; l’existence d’une société concrète avec ses conventions, ses servitudes, impossibles à défaire et à refaire au gré des fantasmes [3]. Aujourd’hui, il est indéniable que la politique d’immigration et de métissage a atteint ces limites (voy. notamment l’ouvrage de Guillaume Faye : La Colonisation de l’Europe, discours vrai sur l’immigration et l’islam [4]). Ce qui devait être un apport positif de l’étranger se solde par la violence, l’insécurité et le déchirement du tissu social. D’où une réaction populaire contre ce suicide organisé. « Alors, poursuit B. Notin, viennent les périodes dangereuses. Pour réaliser leurs fins ultimes, les agitateurs sacerdotaux n’hésitent pas à promouvoir la tyrannie et à engendrer la violence, seul moyen pour essayer d’imposer l’impossible » (Id.). Cette tyrannie a un nom : l’antiracisme. Comment la combattre ? L’objectif de cet ouvrage est de montrer la voie à suivre. Beaucoup de nationaux pensent que la dégradation inévitable de la situation aura raison de l’antiracisme. « Plus ça ira mal, disent-ils, plus les gens seront convaincus et plus ils nous rejoindront ». Je ne méconnais pas la valeur de ce raisonnement. Toutefois certains constats ne peuvent manquer de susciter des questions : Des questions qu’on ne peut éluder — En France, par exemple, il est notoire qu’une partie non négligeable de la population rejoint, sur de nombreux sujets, les positions de Jean-Marie Le Pen et de Bruno Mégret [5]. Pourtant, le Front national semblait piétiner, du temps de sa fort à craindre que l’homme, une fois aveuglé, ne continue à abattre les barrières qui séparent les races, Jusqu’à ce que soit définitivement perdu ce qu’il y avait de meilleur en lui. Il ne restera alors qu’une sorte de bouillie unitaire dont les fameux réformateurs que nous entendons aujourd’hui font leur idéal ; mais ce mélange informe signifierait la mort de tout idéal en ce monde. Je le reconnais : on pourrait ainsi former un grand troupeau, on pourrait fabriquer par cette pot-bouille un animal grégaire, mais d’un semblable mélange ne sortira jamais un homme qui soit un pilier de la civilisation ou mieux encore un fondateur et un créateur de civilisation. On pourrait estimer alors que l’humanité a définitivement failli à sa mission » (voy. Mein Kampf [traduction française parue aux Nouvelles Éditions Latines, conforme à l’édition de 1934], p. 400). 3 — Voy. B. Notin, La Pensée en Uniforme (Héritage européen, vol. 7, éd. L’Anneau, 1996), p. 128. 4 — Éd. l’Æncre, 2000, 350 p. 5 — C’est si vrai que « sans en avoir l’air, les partis traditionnels intègrent peu à peu une partie de l’idéologie qu’ils combattent officiellement et la propagent. (Exemple : renforcement des législations xénophobes et anti-immigration qui constituent le fond de commerce électoral des fascistes) » (Voy. « D’hier à aujourd’hui : Le fascisme est-il fini ? », rédigé en guise Avant-propos 7 force, à 30 % au niveau national. Pourquoi ? — Si on y ajoute le fait que les partis traditionnels sont aujourd’hui complètement discrédités pour cause d’« affaires » de toutes sortes, on se demande pourquoi ni le FN ni le MNR n’enregistrent de meilleurs scores au niveau local ou national, les votes de protestation semblant se reporter sur les Verts et sur l’extrême gauche qui sont en total désaccord avec les nationaux sur l’immigration et bien d’autres sujets sensibles. — De même, pourquoi en Belgique où 25 % de la population se dit hostile à l’immigration l’extrême droite a-t-elle pratiquement disparu du paysage politique, excepté dans quelques villes flamandes ? — Dans sa livraison d’avril 2001, l’organe du FNB (Front nouveau belge, dissidence du Front national de Belgique) a parfaitement résumé la situation en écrivant : « H est clair que le régime belge a réussi à dissocier l’opinion des Belges, qui sont hostiles à l’immigration, de leurs votes aux élections. Les Belges, à chaque élection, votent imperturbablement pour les partis favorables à l’immigration ». Ce constat pourrait également s’appliquer à la France, et sans doute à d’autres pays. Comment les antiracistes ont-ils pu réaliser ce tour de force ? — Enfin, pourquoi, si l’on en croit les sondages, les nationalistes font-ils leurs moins bons scores chez les 18-25 ans ? Réponses et objectif du livre Dans la mesure de mes moyens, j’ai entrepris de répondre à ces questions. Mes conclusions pourront paraître déroutantes. Après avoir étudié l’évolution du droit en matière de presse, j’explique pourquoi toute la logique répressive antiraciste trouve son fondement dans le premier procès de Nuremberg, intenté en 1945 aux nationaux- socialiste s vaincus. (Parmi eux se trouvait l’orateur antijuif Julius Streicher). Me fondant sur les comptes rendus de ce procès, je prétends démontrer que la notion de « provocation à la haine raciale » — de laquelle allaient naître toutes les lois dites antiracistes — est née à Nuremberg et que c’est au terme de ce procès que les discours racistes ont été déclarés criminels à tout jamais, au motif qu’ils auraient rendu l’ « Holocauste » possible. Allant plus loin, je souligne que les procès modernes ne sont que la répétition (de par les méthodes utilisées) du procès de Julius Streicher à Nuremberg. Loin, donc, d’être du domaine du passé, l’« Holocauste » et Nuremberg sont des sujets qui restent d’actualité, puisque les antiracistes en ont fait leur arme n° 1 pour imposer l’utopie de Big Brother. D’où l’intérêt du révisionnisme historique, car si, demain, les peuples prennent conscience que l’Holocauste n’est qu’un mythe, toute la logique antiraciste s’effondrera et la chape de plomb qui pèse sur les partis nationalistes disparaîtra. d’introduction par les organisateurs des « Journées antifascistes de Strasbourg », 11-13 mai 2001. Texte consultable sur Internet : http ://antifastrasbourg.multimania. com/intro.txt). Première Partie Julius Streicher et la rupture de NVremberg 11 I Repression du racisme : La rupture de nuremberg avec le cas streicher La uploads/Politique/ reynouard-vincent-julius-streicher.pdf

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