TD histoire des idées politiques Le libéralisme et le socialisme. Le libéralism

TD histoire des idées politiques Le libéralisme et le socialisme. Le libéralisme prece de la socialisme. Il débute au XVIIe siècle. La naissance de l’état avec le traite de Whestphalie 1648 (instaure une nouvel ordre européenne en rétablissant les frontière suite a la guerre de trente ans), la bagna carta de 1215 et the bill of Rights de 1688. L’etat se caracterise par un ensemble fermé, un peuple souverain et un territoire. Entre le XVIe et le XVIIe siècle, une série d’elements historique, philosophique aboutissent a un profond changement des mentalités et notamment la révolution copernicienne qui entraine le renversement de la représentation du monde et de l’univers. C’est la démonstration de l’eliocentrisme. ( la terre tourne autour du soleil). Savoir que la terre n’est pas au centre de l’univers entraine un désenchantement. « passage d’un monde clos, fermé et fini a un monde, ouvert et fini » Alexandre kyoré. De plus, la découverte du monde par Christophe Colomb en 1492. De plus, l’ouverture des populations européennes au reste du monde entraine une réflexion sur les idées politiques et sur nos point en commun et notre nature. Cela abouti a une école de pensées: l’école scolastique espagnole. Elle se lance sur la question des droit naturels et qui va tire abondamment utilisé our résoudre les problèmes contemporains. L’apparition de l’humanisme avec la découverte des ouvrages antiques et de l’imprimerie. Thomas more apporte une nouvelle vision de l’état. Utopie ( 1516) Dans son ouvrage utopia,Dans cet ouvrage écrit sur le mode du dialogue avec un narrateur, l'explorateur Raphaël Hythlodée, Thomas More prône la tolérance et la discipline au service de la liberté, à travers le portrait d'un monde imaginaire, proche de l'idéal de l'auteur. la deuxième partie, consacrée à son objet même, More décrit l'île d'Utopie, contrepoint lumineux à l'Angleterre de son temps. Comme celle de la république de Platon, l'économie utopienne repose sur la propriété collective des moyens de production et l'absence d'échanges marchands. La reforme , formation d’un nouveau courant religieux au XVIe. Cela entraine le bouleversement de l’unité établie en europe autour du christianisme. Cela pose la question de comment le pouvoir doit être légitimé? Par la religion ? Suite a cette réforme, un courant de pensée s’est développé: les monarchomaques contre l’absolutisme royal. Ce sont principalement des protestants qui considèrent que la pop a passé un contrat avec sa population et le roi doit rendre des comptes sur le plan religieux a sa population. Si il ne respecte pas ses engagements, le peuple peut le chasser. Enfin l’apparition des états nations avec les traités de whespahlie. Ces traités établissent des principes du droit international et chaque état doit renoncer a ses prétentions sur les autres et chaque état est souverain de sa propre population. SEANCE 1 : lE LIBERALISME CLASSIQUE au XVIIIe SIECLE SEANCE 1: CRITIQUE DU POUVOIR POLITIQUE ET DE LA TRADITION : LES ORIGINES DU LIBERALISME AU XVIIE SIECLE I- LES DROIT NATUREL ET LES PENSEES DU CONTRAT SOCIAL HOBBES (1588-1679). « Aussi longtemps que les hommes vivent sans un pouvoir commun qui les tient en respect, ils sont dans cette condition qui se nomme guerre, la guerre de chacun contre chacun. » proche du partie royaliste. Il demande la sécurité auprès du pouvoir royal. Il publie le Leviathan en 1651. C’est un des pères initiateur du libéralisme. Il part d’une logique scientifique : la société est une construction que l’on peut démonter. Et quelle est la seule pièce qu’on ne peut pas démonter ? L’individu. A partir des grands decouvertes, Hobbes pense que l’homme peut preceder, exister sans la société. Les philosophes se mettent d’accord pour affirmer que les sociétés sont des conventions. L’état de nature existe donc. Pour Hobbes a cet état de nature, les individus sont des menaces les uns pour les autres. Il observe que la société est dabord constitué d’hommes non coopératifs , incapable de respecter les lois. Il est pessimiste a l’égard des individus. Pour cela, il est nécessaire d’établir un contrat entre les individus et un prince. Ce dernier dispose de la force nécessaire pour assurer la société. La prince a tout les pouvoirs car la loi naturelle n’existe pas vraiment. Le droit est une convention qui ne découle pas de la nature. L’interpreation de la loi c’est l’affaire du souverain. Ce n’est pas la vérité qui fait le droit mais l’autorité. Le droit naturel = Pourquoi ce droit est-il appelé " naturel " ? En quoi s’oppose-t-il exactement au droit positif ?D’abord, il est appelé " naturel " parce qu’il n’est pas conventionnel. Il est indépendant des conventions humaines, i.e., il ne dépend pas d'une décision libre, de notre volonté ("non écrites"). Lois édictées par personne en particulier si ce n'est par Dieu ou par la conscience.Ensuite, il diffère du droit positif : contrairement aux lois humaines ou positives, elles sont universelles et éternelles ("d'aucun temps ni d'aucun pays" : partout les mêmes, ne changent pas selon les temps et les lieux; inmodifiables).Les lois " naturelles " qu’invoque Antigone s'appliquent donc à l'homme, au genre humain, non seulement au citoyen de tel Etat en particulier.Elles ne supposent pas d'être inscrites dans un code objectif ou d'être respectées par la société dominante.Pour nous expliquer ce qu’est ce droit, aristote dans son ouvrage « réthorique » se réfère à Antigone. On le sait, Antigone est le personnage central d’une pièce de Sophocle. Dans cette pièce, on voit Antigone s’affronter au chef de l’Etat, qui refuse d’enterrer son frère, en invoquant le fait qu’il était un traître à sa patrie. Antigone, elle, insiste pour invoquer et opposer aux " lois de l’Etat " (droit positif) les " lois naturelles et éternelles " (droit naturel) … qui ne sont autres que celles de la conscience (morale). HOBBES - Auctoritas non veritas facit legem - Toute connaissance du monde ne nous commande rien. C’est l’autorité qui est la source de toute norme dans la société. Les concepts, les idees, le droit ne sont que ce qu’on dit qu’elles sont. Elles sont des conventions. Elles n’existent pas si on ne met de nom dessus. C’est une approche Nominaliste. A l’innerves de cette position; la position religieuse, quoi qu’on en dise , il y a des vérités, tel que la révélation. Le droit ne repose sur rien d’autre que la décision. Cette pensée a pour but de donner au souverain la puissance nécessaire pour assure la stabilité du mode de vie des individus. Hobbes est favorable a l’absolutisme car il permet de protéger les individus . La pensée de Hobbes ne laisse aucune place a l’opposition politique a cette époque. D’autres philosophes vont chercher de trouver d’autres fondements pour déterminer quel est le droit. Ils le trouvent dans le droit naturel. C’est une époque ou les lois physique se développe, les découvert de newton en 1687. C’est dans la nature qu’on trouver ce qui est indépendant de ce amont dit dans les conventions. L’autorité peut poser des droits positifs mais elle ne peut pas aller contre ce qui est vrai naturellement. John LOCKE - traite du gouvernement civil 1689- “L’État, selon mes idées, est une société d’hommes instituée dans la seule vue de l’établissement, de la conservation et de l’avancement de leurs intérêts civils. J’appelle intérêts civils, la vie, la liberté, la santé du corps ; la possession des biens extérieurs, tels que sont l’argent, les terres, les maisons, les meubles, et autres choses de cette nature”. diplôme de l’universite d’oxford, il exerce en tant que médecin pour le compte de Shafterbury, un aristocrate et membre de l’opposition ( le partie WHIG). Le partie WHIG est favorable au partage du pouvoirs avec les nobles par le roi d’Angleterre. Le comte s’exile en France jusque la réédification de l’édit de Nantes en 1685 qui vient supprimer les mesures de tolérances a l’égard des protestant. Locke rejoint donc la Hollande qui invente un modele libéral. Les deux rentrent en Angleterre en 1688 car la dynamite des Stuart a été chassé. C’est la glorieuse révolution qui voit accéder au trône guillaume d’orange Nassau. Ce roi va dans le sens des aristocrates et du partie WHIG. Locke devient haut fonctionnaire et meurt en 1704. Le libéralisme est l’un des courants philosophiques les plus décriés. Avant d’être d’un modèle économique battu en brèche, John Locke avait fondé ce courant en Angleterre, reposant sur la liberté au sens politique. Locke a ainsi été l’inspirateur de Kant, Habermas, Rousseau et surtout Montesquieu pour tout ce qui concerne la légalité du pouvoir, l’introduction du concept d’Etat de droit. D’un point de vue épistémologique, Locke est un empiriste assez classique (réfutation de la théorie des idées innées, conception des idées simples/complexes).. La pensée de Locke se base l’idée que les hommes sont raisonnables et ils cherchent a satisfaire leur interêt personnel, en assurant leur existences, leur bonheur. Là ou hobbes y voyait une contradiction entre l’interêt personnel et général; pour Locke l’interêt collectif et particulier se rejoignent. Les individus se réunissent car c’est dans leurs intérêts. Il part du principe que les individus uploads/Politique/ td-histoire-des-idees-politiques-copie.pdf

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