L’Église et sa condition C’est une maladie très rare pour un enfant. Nous dev
L’Église et sa condition C’est une maladie très rare pour un enfant. Nous devons donc nous souvenir spécialement de cette enfant dans la prière ce matin… Ainsi, nous désirons certainement tous faire cela. Les médecins ne savent même pas… Ils lui donnent un nom; mais je pense qu’ils n’ont fait qu’en inventer un pour désigner cela. Ils ne savaient pas ce que c’était. Mais Christ le sait. Je peux vous dire ce que c’est : c’est un démon, c’est vrai, le diable. Le nom qu’ils désirent lui donner, eh bien, ça les regarde. Mais voilà ce que c’est, voyez-vous : un mauvais esprit. Maintenant, tous ensemble, chantons une fois tous ensemble : “Crois seulement.” Tous en chœur maintenant : Crois seulement, crois seulement, Tout est possible, crois seulement; Crois seulement, crois seulement, Tout est possible, crois seulement. 2 Le Seigneur va te guérir, petite sœur. Prions maintenant pour la fillette, alors que nous inclinons la tête. 3 Notre Père Céleste, on dirait que je n’arrive tout simplement pas à m’ôter cela de l’esprit, cette petite fille ici qui se meurt. Elle est la petite chérie de quelqu’un. Elle est Ta création; et Satan est en train de ravir sa jeune vie. Maintenant, je Te prie au Nom de Christ, d’arrêter la main de la mort. Fais fuir cet ennemi, Toi, Seigneur, qui es capable de former des murailles de chaque côté de la mer Rouge et de donner aux enfants d’Israël, Ton héritage, un voyage sans danger à travers la mer jusque dans la terre promise. Ô Dieu, nous Te prions aujourd’hui d’enlever chaque obstacle et de laisser vivre l’enfant. Il nous a été donné de demander; et en tant que groupe croyant en Toi, nous demandons au Nom de Jésus, la guérison de l’enfant. Amen. 4 Aujourd’hui, c’est avec un cœur reconnaissant que je reviens vers vous au Nom du Seigneur Jésus. Je suis rentré un peu plus tôt de Louisiane. Je pensais que, si je pouvais être là avant dimanche, je pourrais avoir l’école du dimanche. Et puis il a fait tellement chaud là-bas que nous… que le temps ce matin nous paraît doux et frais par rapport à celui de la Louisiane. Vous ne resteriez jamais dans un bâtiment comme celui-ci, en Louisiane, avec un seul ventilateur; l’air serait climatisé, sinon vous vous évanouiriez. 5 Et, ainsi, je suis venu uniquement pour avoir un ou deux jours de repos avant de partir directement pour le nord de la Saskatchewan, la semaine prochaine. C’est-à‑dire jusqu’à Prince Albert; les routes ne vont pas plus loin. Il n’y a plus de route pour aller plus au nord. Seuls des Indiens et des Esquimaux habitent 2 LA PAROLE PARLÉE ces régions de l’intérieur qui se trouvent plus loin que l’endroit où nous irons cette fois-ci. Ainsi nous… Beaucoup de gens de tous les coins du Canada seront à cette réunion. Certains d’entre eux feront la traversée depuis la côte ouest, dit-on; et je désire certainement que vous priiez pour moi, mes amis, afin que Dieu vienne parmi nous et nous donne une grande et merveilleuse réunion à Sa Gloire. Voilà environ quatre ou cinq ans que je suis allé au Canada, et j’ai d’excellents amis là-bas, vraiment de très braves gens. 6 Et ainsi, ils sont très fidèles pour aller à l’église. Peu importe le froid qu’il fait, ils s’envelopperont d’une couverture, et sur un traîneau tiré par un cheval, ils parcourront une cinquantaine de kilomètres [30 milles] pour se rendre à l’église. Ils traverseront à pied des amoncellements de neige et tout le reste; jeunes et vieux. Ils s’assemblent tous. Et une famille va chercher l’autre, et ils commencent à marcher; c’est ainsi qu’ils se mettent en route. C’est le sacrifice qu’ils font qui fait qu’ils reçoivent tant de la réunion. Quand il n’y a pas de sacrifice, on ne retire pas grand chose de la réunion. Il faut vraiment vous y mettre et faire quelque chose qui fait très mal, voire mettre de côté certaines choses et arrêter votre travail, et faire ceci ou cela, afin de pouvoir aller à l’église et montrer à Dieu que vous L’aimez; et lorsque vous faites un sacrifice pour y aller, c’est alors que vous en retirez quelque chose. 7 C’est comme mes enfants, Billy Paul… je pensais que j’étais… je n’ai rien reçu quand j’étais enfant. Maman avait l’habitude d’acheter peut-être un cornet de bonbons et elle en distribuait deux ou trois à chacun. Peut-être que pour Noël, nous recevions une petite trompette en fer blanc ou un petit pistolet à capsule ou autre chose. J’ai vu d’autres enfants avec des petits traîneaux, des bicyclettes, etc., de bons vêtements, et des vestes chaudes, et cela me chagrinait tellement. Je disais : “Si jamais j’ai des enfants, je ferai tout ce que je peux pour eux.” Eh bien, j’aurais été d’accord de me priver de nourriture pour acheter quelque chose à mes enfants. Et lorsque je vivais… Quand Billy n’était qu’un petit garçon, je lui ai acheté un petit tricycle et je lui procurais tout, et Méda essayait tout… jusqu’à sacrifier entre autres ses propres vêtements pour lui procurer quelque chose. Mais vous savez ce que nous avons fini par découvrir? Je lui ai procuré un petit tricycle et un petit arc et des flèches et tout le reste, et je l’ai trouvé avec une cuiller ou un bâton au fond du jardin, en train de creuser quelque part. Voyez-vous? J’ai dit : “Les prochains ne seront pas comme ça.” Voyez-vous? Si vous mettez tout dans les mains des gens, ils n’en veulent pas. Ce doit être quelque chose pour lequel on fait un sacrifice. 8 Et le salut est ainsi. C’est un sacrifice complet. Oui, Frère Roy. C’est un sacrifice que vous devez faire chaque jour… quelque chose que vous devez faire pour vous approcher de Dieu. L’ÉGLISE ET SA CONDITION 3 Je sais que c’est un sacrifice pour vous tous ce matin que d’être assis dans ce bâtiment surchauffé. Alors que nous sommes ici, songeons au plus grand Sacrifice qu’il ait jamais été donné à l’homme de faire : celui-là même que fit Jésus-Christ quand Il fut chargé de venir sur terre pour mourir à notre place. Pas seulement ça, mais Son âme descendit en enfer, et y resta trois jours et trois nuits. Et le troisième jour, Il ressuscita et monta au ciel, s’assit à la droite de Dieu, intercédant pour nous qui confessons Son Sacrifice expiatoire et Sa grâce qui nous ont été offerts. 9 Eh bien, là-bas au nord, là où nous allons, il y aura beaucoup de gens très pauvres, vraiment pauvres, qui seront contraints de vendre une de leurs vaches, deux ou trois de leurs brebis ou quelque chose d’autre pour pouvoir venir à la réunion. Le vieil esquimau apportera probablement certaines de ses peaux (dont il avait besoin, en fait, pour sa famille) et les vendra pour venir. Le marchand indien devra faire la même chose. Maintenant, nous pouvons au moins prier pour ces personnes, n’est-ce pas? Et nous prions que Dieu leur donne une grande chose. 10 Maintenant, il fait chaud. Je ne veux pas vous garder longtemps. Et je veux ce matin, juste avant de prier pour les malades, que nous fixions notre attention sur L’Église et sa condition. Et maintenant, je sens qu’il y a quelques jours, un Message à l’église m’a été donné à Shreveport, en Louisiane. Et je crois que c’est sur la condition de l’église. Et nous allons nous tenir devant Dieu avec cela ce matin, prier et demander à Dieu de nous aider : (Je n’ai pas l’intention de l’aborder de la même façon), mais demandons à Dieu de nous aider, en ce jour où nous vivons. Et juste avant… Voici la précieuse vieille Bible, mais c’est précisément là-dedans que repose le contenu de la Vie Éternelle. 11 Et souvenez-vous : La Parole est Dieu. Dieu n’est pas plus que Sa Parole. Et, nous ne sommes pas plus que notre parole. Et si nous faisons… Bien entendu, vous et moi, nous sommes dans une situation différente, parce que nous pouvons dire : “Eh bien, je vais faire une certaine chose.” Nous en avons l’intention dans notre cœur; mais des circonstances peuvent survenir qui font que nous ne pouvons pas faire ce que nous avions déclaré. Mais Dieu ne peut pas faire cela, parce qu’Il est infini, et Il connaît toutes choses, tout ce qui a jamais été, et tout ce qui sera. Il ne peut donc pas faire une déclaration à moins de savoir qu’Il peut y donner suite. 12 Et lorsqu’il eut cent ans, Abraham appela les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Je dis maintenant ceci pour encourager ceux pour lesquels on va prier, les malades. Abraham appela les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, considérant que Celui qui avait fait la promesse était capable d’accomplir ou de garder ce qu’Il avait promis. Or, 4 LA PAROLE PARLÉE lorsque Dieu dit uploads/Religion/ frn56-0805-the-church-and-its-condition-vgr.pdf
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- Publié le Dec 29, 2022
- Catégorie Religion
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