Une lecture literaire sur le texte biblique nous offre l’impression que le Para
Une lecture literaire sur le texte biblique nous offre l’impression que le Paradis est un notion qui appartiens seulement aux début de la création. Mais, dans le climat religieux des premières siècles chrétienne, en l’intérieur du judaïsme était forme une compréhension plus riche de Paradis, ayant l’expression en livres apocalyptiques: Enoh (61, 12), probablement de IIe siècle a. Chr.; dans ces écritures, le Paradis est compris en représentant que l’état primordial mais que celle eschatologique quand devient le lieu du droits.1 Ce le cas que de Saint Ephrem le Syrien.2 Appelé "le plus grand poète de l'ère patristique" et "un témoin privilégié de la tradition de l'Eglise Primitive de Perse"3 Ephrem le Syrien a composé les Hymnes sur le Paradis dans son Nisibis indigène (pré de 363) avant ses années crépusculaires dans Edesse4 ces hymnes, considérées comme étant par Matthieu peut-être les hymnes les plus belles d'Ephrem5 sont du genre appelé la madrasa, composé dans des mètres syllabique. Clairement, comme le nom implique, un tel midrash souvent exécuté d'odes, ou commentaire, sur la Sainte Ecriture, pour l'édification du fidèle. Un commentaire original et imaginatif sur le compte d'Éden dans le livre Genèse (les chapitres 2 et 3), les Hymnes sur le Paradis est un cycle liturgique de quinze hymnes, dépeignant le Paradis primordial d'Adam pour être la future (et probablement du présent, en ce qui concerne un ante Paradis) demeure du juste. Documentant la cosmogonie, l'anthropologie et la sotériologie d'Ephrem, ces hymnes pénètrent profondément dans l'éthos du christianisme tôt de syriaque. Que le Paradis représenté dans les hymnes est vêtu dans la métaphore, car Ephrem nous indique, soulève quelques questions quant à la façon dont transcendant ces symboles sont et à la façon dont immanent ils peuvent être en même temps. En d'autres termes, si le Paradis est décrit dans la métaphore, le Paradis lui-même pourrait-il être une métaphore? La 1 Voir Sebastian, Brock, Introduction, Saint Ephrem the Syrian, Hymns on Paradise, Crestwood New York, 1990, p. 49. 2 Pour designer cette réalité du „Paradis” quels mots sont utilisé par Saint Ephrem? Le mot ciel semaya et ses dérives est exceptionnel: livres célestes I, 1 et beautes celestes XI, 8, 2 en excluant X, 4. Le mot le plus courant est pardaysa paradis, employé 112 fois, contre 18 pour Eden et ses composés. 3 F. Rilliet, Ephrem le Syrien, en Encyclopédie de l'Eglise tôt, édité par Angelo Di Berardino, Oxford, 1992, p. 276. 4 Il y a pourtant un certain excédent de question si Edesse ou Antioche était le centre de la culture occidentale de Syriaque au quatrième siècle. 5 Cf. Sebastian, Brock, en Introduction, Saint Ephrem the Syrian, Hymns on Paradise, p. 50. poésie d'Ephrem n'a pas été exposée, mais a été chantée. Les chœurs des vierges ont entonné ces hymnes dans les mélodies déjà familières au rassemblement. Dans de telles circonstances, nous pourrions facilement décrire comment ces lyrique, dessinant sur le récit de Genèse, pourrait être si efficace en exécutant l'exégèse au profit des chrétiens étendus. Ce milieu liturgique n'a pas diminué ou n'a pas amoindri la subtilité et la profondeur allusive des interprétations d'Ephrem, mais une certaine compétence métaphorique de la part de l'auditeur a été sûrement exigée pour suivre une telle hymne dans tous ses détails interprétatifs. Peut-être certains des points plus fins d'exégèse d'Ephrem pourraient avoir été perdus sur l'auditeur, mais ses hymnes étaient justes populaire les mêmes, après avoir gagné une réputation dans tout le monde chrétien non assyrien aussi bien, une acclamation croissante qui a évidemment commencé dans la propre vie d'Ephrem. Bien plus efficace que n'importe quel tome de la théologie, les hymnes ont eu un impact formateur en structurant la conscience religieuse de ceux chantant et de ceux qui ont écouté. La Sainte Ecriture a été exposés d'une manière la plus mémorable. Ces hymnes sont riches et vives; elles doivent avoir inspiré la contemplation. Les Hymnes sur le Paradis doivent avoir capturé l'imagination du rassemblement d'Ephrem, qu'il a servie de diacre. Le thème du Paradis doit avoir été d'intérêt particulier. Les textes visionnaires prétendent nous donner un aperçu de l'après le monde, de ciel et d'enfer, et des états intermédiaires, le cas échéant, dans l'intervalle. Ephrem nous indique que dans une vision, induite tout en lisant la Sainte Ecriture, il a été soudainement transporté au Paradis. Typiquement, en textes apocalyptiques, un transport ou un ravissement si mystique implique "divinement journée" – usuelle rendu possible par l'aide d'être céleste. Pas aussi dans le cas d'Ephrem, qui excède à peine la Sainte Ecriture dans sa propre représentation du Paradis. Ceci semble être le cas avec d'autres textes chrétiens de syriaque aussi bien, du fait aucune apocalypse de Syriaque n'appartient au type. Apocalypses identifiées avec un voyage merveilleux (avec ou sans l'intérêt pour l'histoire). Le motif merveilleux de voyage semble être étranger à syriaque apocalyptique.6 Pas par une vision purement mystique, mais plutôt sur la base de la Sainte Ecriture augmenté par le permis poétique, les peintures merveilleuses d'Ephrem de scènes sont pour des buts pastoraux. Les Hymnes sur le Paradis édifient dans leur dramatisation et vivifier des détails révélés ou implicites par la Sainte Ecriture. Cependant les hymnes se concentrent en apparence sur la vie après la mort (avant et après la Résurrection), 6 Voir F. Martinez, The Apocalyptic Genre in Syriac, dans le IV Symposium Siriacum 1984: Literary Genres in Syriac Literature, Ed. H. Drijvers, Pontifical Institute of Oriental Studies, Rome, 1987, p. 339. une grande partie du langage figuré idéalise la vie et la communauté chrétienne ici sur terre. Les vérités morales de ces hymnes ne sont pas simplement couchées dans le "mensonge" métaphorique pour l'effet poétique. Il y avait quelque chose de vrai au sujet du paradis qu'Ephrem a dû expliquer d'une manière surréaliste. La représentation d'Ephrem du Paradis pourrait-elle avoir servi d'allégorie à une eschatologie réalisée ici sur terre? Dans la lecture d’Ephrem, nous devons considérer que le christianisme de syriaque a exprimé ses vérités en symbolique plutôt que philosophique forme.7 Les hymnes d’Ephrem ne sont pas les expositions systématiques. En composant les hymnes, Ephrem a eu les chrétiens dans son esprit. Quand les hymnes ont été chantées, les pensées ont tourné vers le ciel. Dans son propre Eglise, le Paradis était le miroir sur le plafond intellectuel. Il s'est reflété en arrière. Le poète a été poétique transporté au Paradis, de sorte que le paradis pourrait être transporté au lecteur. Cette étude arguera du fait qu'Ephrem a inversé des mondes des correspondances. Dans un arc de descente, le Paradis est une métaphore pour la communauté chrétienne idéale. On dit que les martyres "victorieux", par exemple, résident parfois en ce monde: De ces tentes descendent / Les fils de lumière, / Réjouis par ce monde même / Qui les persécuta. / Ils dansent sur la mer / Et sans s'y enfoncer, / Où Simon, pourtant pierre / N'enfonça pas non plus. / Heureux qui avec eux / Verra ses bien-aimés. / Ici en leurs cénacles, / Là-haut en leurs talâmes! 8 Ca signifie, pour les auditeurs d'Ephrem, que les âmes des martyres aimés descendent à Nisibis local; et, aussi, à Edesse. L'on a pourrait arguer du fait que les martyres, comme représentés ici, descendent à une terre eschatologique, la transmission du doux léonin. Mais Ephrem n'exclut pas l'armature de l'époque actuelle, et ainsi cet événement a une urgence potentielle. Il est comme si les âmes des martyres elles-mêmes, du royaume du temps sacré aux ombres de cadran solaire de la Syrie romaine et persane, ont eu un rôle charismatique à jouer en ce monde aussi bien. Si lu dedans cette lumière, une telle strophe doit certainement avoir inspiré et consolidée le rassemblement naissant de palutien dans lequel Ephrem a administré comme diacre. Dans un arc de montée, le Paradis est le symbole d'une réalité à laquelle les fidèles aspirent et en quelle réalité de laquelle ils participent déjà mystiquement. 7 Cf. S. Brock, Jacob of Serugh on the veil de Moses, en Introduction, Saint Ephrem the Syrian, Hymns on Paradise, p. 52. 8 Ephrem de Nisibis, Hymnes sur le Paradis, en Source Chrétien, nr. 137, traduction du syriaque par René Lavenant, Les Editions du Cerf, 29, Paris, 1968, I.6, p. 37. Ici, le principe actif d'une expérience mystique est divinisation au niveau du sacrement, et bons travaux au niveau du praxis. Les hymnes sur le paradis comme liturgie: La tradition de manuscrit des hymnes d'Ephrem a été commodément récapitulée par Kronholm.9 Que Les Hymnes sur le Paradis sont véritablement d’Ephrem, de incontestable authenticité. Les hymnes d'Ephrem étaient des ordres de culte public. Comme cité précédemment, les hymnes ont été exécutées liturgique. Les hymnes d'Ephrem, comme des rites liturgiques, elle pourrait correctement être dite ce que une demande est faite sur des acteurs décrétant le rite pour préserver une gestion tacite de paradoxe et d'ambiguïté pour réaliser sa base théologique d'une façon croyable.10 Les Hymnes sur le Paradis ont-elles été censées pour induire une eschatologie réalisée? C'est une question de rapport entre le contenu et l'intention. Les Hymnes sur le uploads/Religion/ une-lecture-literaire-sur-le-texte-biblique-nous-offre-l.pdf
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- Publié le Oct 28, 2022
- Catégorie Religion
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