REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUP
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE FERHAT ABBAS - SETIF INSTITUT DES SCIENCES ECONOMIQUES THESE POUR L’OBTENTION DU GRADE DE DOCTEUR D’ETAT ES SCIENCES ECONOMIQUES ECONOMIQUES ET REFORMES : SUJET AGRICULTURE EN ALGERIE présentée et soutenue publiquement par DJENANE Abdel-Madjid devant le jury composé de : Président : M. OUKIL Mohand Said, Professeur ISE d'Alger Assesseurs : M. KHARBACHI Hamid, Professeur ISE Béjaia M. BOUKELLA Mourad, Maître de Conférences ISE Alger Rapporteur : - M. BEDRANI Slimane, Professeur INA El Harrach. -1997- 1 REMERCIEMENTS Il m’est difficile d’affirmer que ce travail de recherche est le fruit de mon seul effort . Les spécialistes, chercheurs, collègues et amis envers lesquels je suis particulièrement redevable sont nombreux. ♦ Le Professeur Slimane Bédrani, mon Directeur de thèse, m’a toujours encouragé et manifesté sa confiance dans l’élaboration de tous mes travaux de recherche. Je voudrais précisé à son sujet que, même continuellement absorbé par ses propres travaux, il a su, grâce à sa modestie et à son humanisme, à la clarté de ses idées et à l’intérêt scientifique qu’il a toujours accordé au travail d’autrui, au travail de ceux-là mêmes qui sont venus apprendre de lui, guider nos pas de jeunes chercheurs. J’ai eu pour ma part le privilège de bénéficier depuis plus de quinze ans déjà de ses précieux conseils et aspire toujours à entreprendre sous son autorité de nouveaux travaux de recherche. Ses conseils me permettront sans aucun doute de faire l’économie de faux pas dans le domaine complexe de la formulation de la question agraire de notre pays. ♦ Mes remerciements vont aussi au Prof. Oukil Mohand Said, au Prof. Kharbachi Hamid et au Dr. Boukella Mourad qui m’ont fait l’honneur d’évaluer ce travail et de m’avoir ouvert, grâce à leurs critiques objectives, de nouvelles pistes de recherche. Attentif à toutes les remarques qu’ils ont formulées à l’adresse de mon travail, j’ai déjà entrepris de nouvelles recherches qui me permettront certainement d’approfondir mes connaissances dans les domaines spécifiques de l’économie théorique et de l’économie algérienne. ♦ Je voudrais aussi exprimer mes remerciements particuliers à l’ensemble des collègues chercheurs de Solagral-Paris, qui ont bien voulu premièrement m’accueillir au sein de leur organisme pour mes recherches bibliographiques et m’aider ensuite, chacun à sa manière, dans la réalisation de mon travail. Je les remercie pour l’aide que chacun d’entre eux m’a apportée aussi bien pendant ce court séjour de documentation que durant la phase critique de rédaction de mon travail. Ainsi, je ne peux m’empêcher de citer les noms de Roger Blein, de Yannick Jadot, de Jean-Pierre Rolland, de Christophe Delsaux, de Benoît Vergriette et surtout de Laure de Cénival qui a bien voulu, malgré la surcharge de son calendrier de travail, lire et critiquer mon manuscrit. C’est une redondance de noter qu’avec Solagral, solidarité n’est pas un vain mot. ♦ Mes remerciements vont aussi à mes amis Foued Chehat de l’Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie d’El Harrach, Zoubir Sahli et Hamid Bencharif de l’INES d’Agronomie de Blida et à Mme Anne-Marie Jouve du Ciheam-Iam qui, au sein du réseau Sefca, m’ont stimulé et poussé à découvrir les vertus de l’approche empirique. Grâce à leur franchise, à leur dévouement indéfectible à la recherche, à leur endurance et à leurs encouragements chaleureux, j’ai pu sillonner les vastes plaines sétifiennes à un moment où cela n’était pas toujours recommandé et apprendre ainsi auprès des paysans du sétifois ce que ma formation académique ne m’a pas permis d’acquérir. Ils m’ont entraîné dans leur sillage et cultiver en moi l’irrésistible désir de toujours élargir mon champ d’investigation empirique. 2 ♦ C’est faire preuve d’égoïsme que de ne pas mentionner l’évolution éminemment positive que j’ai subie au sein du réseau Rafac. Grâce à la méthodologie -le comparatisme- mise en place et développée par cette Equipe de distingués enseignants-chercheurs méditerranéens auprès desquels je me suis toujours ressourcé, grâce à la diversité des thèmes étudiés, à la richesse des débats et des orientations de recherche qui s’en sont suivis, j’ai dû prendre conscience du rôle éminemment positif que peut jouer le chercheur dans le développement de l’agriculture de son pays. En pensant au Prof. Pierre Campagne et à Tahani Abdel- Hakim du Ciheam-Iam, au Prof. Fernando Oliveira Baptista de l’Université Agronomique de Lisbonne, au Prof. Félisa Cena-Delgado et à Fernando Ramos- Real de l’Université Agronomique de Cordoue, à Paola Bertolini de l’Université de Modène, à Adrian Civici de l’Université Agronomique de Tirana, à Napoléon Maraveyas de l’Université Agronomique d’Athènes, au Prof. Branco Krstic de l’Université de Belgrade, au Prof. Oguz Yurdakul et à Sinasi Akdemir de l’Université Agronomique d’Adana, au Dr. Mahmoud Mansour et à Ahmed Ghanima du Centre de recherche agronomique du Caire, à Mohamed Elloumi et à Ali Abaab de l’INRA de Tunis, au Prof. Najib Akesbi, à Larbi Zagdouni, à Farouk Alioua et à Driss Benatya de l’IAV de Rabat, je ne peux m’empêcher aussi de penser que je dois toujours persévérer et redoubler d’effort dans mes recherches quotidiennes, afin de parvenir, peut-être, un jour à expliquer pourquoi l’agriculture de mon pays est la plus « écologique » de la Méditerranée. Qu’ils soient tous amicalement remerciés pour avoir su s’imposer à moi comme modèle et chercheurs de référence. ♦ Comment à ce dernier propos ne pas évoquer les noms de MM. Yahia Hamlaoui et de Abdeslam Hedadj du Bneder qui ont cultivé et développé en moi le sens de l’analyse méso et micro-économique. Grâce à eux, je ne peux ou ne dois plus ignorer que le développement rural intégré est une notion amplement plus large que le développement agricole et qu’il ne peut y avoir un modèle de développement rural standard. Merci à eux de m’avoir toujours poussé au renouvellement de mes outils d’analyse. ♦ Les cadres du secteur agricole de la Wilaya de Sétif m’ont chacun aidé à sa façon. Messaoud Reggad et Benallègue m’ont fourni les données relatives aux remembrements et démembrements successifs des exploitations du secteur agricole public, Hacène Kharchi et Nait m’ont poussé à ne pas me contenter des analyses stéréotypées, Belambri et El Mekki ont toujours stimulé mes recherches en mettant à ma disposition leurs propres documents de travail, Messaoud Boucetta et son équipe m’ont toujours permis de compléter mes séries statistiques et de m’éviter ainsi des vides, etc... Qu’ils soient tous chaleureusement remerciés aussi bien pour l’aide dont ils m’ont gratifiée que pour m’avoir fait bénéficier de leurs pertinentes analyses formulées au terme de plusieurs années, sinon de plusieurs décennies de gestion du secteur agricole. ♦ Je ne saurais ne point exprimer ici ma reconnaissance à MM. Lahlou et Abdelmadjid Kessai qui ont accepté de lire et de corriger mon document : sans leur labeur, j’aurai été infiniment plus difficile à lire. 3 ♦ Plus proches de moi, mes collègues enseignants ainsi que tout le personnel administratif et de soutien de l’Institut des Sciences Economiques et du Campus Mohamed Seddik Benyahia et en particulier Melle Regad Salima, Aoumeur Akki- Allouani, Ammar Ammari et Mokhtar Allem, m’ont beaucoup aidé à m’acquitter, tant bien que mal, des charges attenantes à ma fonction et à continuer à faire mes recherches. ♦ Mes remerciements vont aussi au Professeur Djaafer Benachour, notre Recteur, ainsi que MM. Nacereddine Hadaoui, Mustapha Benkhedimallah et Abdelmalek Tacherift qui m’ont poussé à allier la gestion, l’enseignement et la recherche. ♦ Je voudrais rendre également un hommage particulier à Abdallah Boukeram, mon ami d’enfance dont l’immuable clarté des idées et l’esprit critique m’ont stimulé à adopter une démarche synthétique dans mon travail. ♦ Dans le même sillage, je voudrais exprimer également ma reconnaissance à Foudil Hassani, un autre ami d’enfance, à Hamou, mon frère et à mon cousin Essaid de Paris ainsi qu’aux Rahmani de Mandeurre qui m’ont tant aidé. ♦ Nourredine Messahel, Belkacem Amokrane, Lazher Othmani, Madjid Merdaci, Djamal Meslem, Said Djaout, Abdelmalek Benhemadi, Djamal Belmihoub, Maamar Oumaamar et Rabah Lahmer ont été très proches de moi ces dernières années et m’ont encouragé à mener à terme mon travail. Ils m’ont aidé, chacun à sa manière, pris en charge mes peines et soucis quotidiens alors qu’ils ne m’ont associé qu’à leurs joies. Qu’ils trouvent ici l’expression de mes remerciements les plus sincères. ♦ Zoubida a accepté de faire la frappe du texte, de prendre en charge l’exploitation des nombreux questionnaires soutenant les études de terrain, de gérer notre foyer et de veiller à la bonne scolarité de Lydia et Aida que nous chérissons. Elle m’a réellement secondé tout en n’étant pas épargnée des sautes d’humeur et des crises de nerfs de l’être compliqué que je fus pendant cette traversée du désert. Grâce à sa patience et surtout à sa tendresse, ce travail est aussi le sien. Malgré les précieuses aides et les conseils dont j’ai bénéficié, ce modeste travail présente encore des imperfections et insuffisances que j’assume entièrement. Sans désir de les justifier, je dois toutefois mentionner qu’il m’a a été parfois difficile d’allier, si ce n’étaient l’appel du devoir et mon amour pour la vie, gestion, enseignement et recherche. Sétif, le 15/07/1997. 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- Publié le Jul 23, 2022
- Catégorie Science & technolo...
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