Drucker-Godard, Ehlinger, Grenier, MRM, pp 257-287. Mm Drucker-Godard C., Ehlin

Drucker-Godard, Ehlinger, Grenier, MRM, pp 257-287. Mm Drucker-Godard C., Ehlinger S., Grenier C. (1999), “Validité et fiabilité de la recherche”, in Thiétart R.A. et coll., Méthodes de recherche en management, Dunod, pp 257-287. Validité = % construit, instrument de mesure, validité interne et externe. Fiabilité (reliability) = possible de répéter la recherche par un autre chercheur, ou à un autre moment avec les mêmes résultats. VALIDITE DU CONSTRUIT (pp 258-264). .A DÉFINITIONS ET GÉNÉRALITÉS. Tableau p 259, reprenant les ≠ts types de validité de concept. Une des pcipales difficultés à ce niveau = pcessus d’opérationnalisation du concept (on le réduit à une série de variables d’opérationnalisation ou de mesures (Ex : concept taille de l’organisation opérationnalisé par variables CA, nbre employés…). .B COMMENT S’ASSURER DE LA VALIDITÉ DE CONSTRUIT D’UNE RECHERCHE ? RECHERCHES QUANTI. “Déterminer si les items utilisés pour mesurer le phénomène étudié à travers des échelles de mesure en sont une bonne représentation” (p 260). 2 types de validité : 1°) convergente ( vérifier que les items mesurant la même chose s)convergent) et 2°) divergente (ces items se distinguent d’items mesurant des phénomènes ≠ts). Ex d’outils de validité : matrice multitraits-multiméthodes de Campbell+Fiske (p 261). RECHERCHES QUALI. a- But = établir que les variables utilisées pour opérationnaliser les concepts étudiés sont les bonnes, et d’évaluer dans quelle mesure la méthodologie de recherche (à la fois design + outils de recueils et d’analyse de données) permet de répondre aux Q ? Initialement posées qui constituent l’objet de la recherche. b- Faut établir un cadre conceptuel très précis (les caractéristiques du terrain et différent unités d’analyse et principaux dimensions à étudier et les vbl clé et la principale relation entre ces vols) c- Qques tactiques pour améliorer la validité de construit d’une recherche quali : 1°) utiliser +sieurs sces de données ≠tes (interroger les gens qui sont surveillées) ; 2°) établir une chaîne d’évidences (enchaînement d’indices + preuves confirmant un résultat observé qui permet a tt personne extérieur de suivre la recherche) ; 3°) Faire valider le cas par des facteurs clés. LE + IMPORTANT = ÊTRE EXTRÊMEMENT PRÉCIS, TANT DS LES DÉF° DES CONCEPTS UTILISÉS QUE DS LA DESCRIPTION DE LA MÉTHODE EMPLOYÉE ET DÉPLOYÉE SUR LE TERRAIN ET PDT ∑ RECHERCHE. FIABILITE ET VALIDITE DE L’INSTRUMT DE MESURE (p 265-272). .A DÉF° ET GÉNÉRALITÉS. Mesure = “Processus qui permet de mettre en relation des concepts abstraits et des indicateurs empiriques”. 1/4 Drucker-Godard, Ehlinger, Grenier, MRM, pp 257-287. But = les données collectées rendent compte le + pcisément possible de la réalité. Mais sces d’erreurs possibles  Q ? de la validité et fiabilité de la mesure  faut s’intéresser au pcessus qui a permis d’obtenir cette mesure, i.e. l’instrument de mesure. Instrument fiable : doit permettre à des observateurs ≠ts de faire des mesures d’un même sujet avec le même instrument, ou de permettre à un observateur d’établir des mesures similaires d’un même sujet à des moments ≠ts. Instrument valide : il doit mesurer ce qu’on lui demande de mesurer + donner des mesures exactes de l’objet étudié. Attention : fiabilité et validité mesurée en valeur relative (un instrument de mesure n’est pas fiable ou valide, mais + ou –fiable ou + ou – valide). .B COMMENT S’ASSURER DE LA FIABILITÉ D’UN INSTRUMENT DE MESURE ? RECHERCHES QUANTI. “Modèle de la vraie valeur”  décomposition du résultat de la mesure : Mesure obtenue = vraie valeur + erreur aléatoire + erreur systématique. Erreur aléatoire (= random error)  phénomène mesuré par un même instrument peut être sujet à des aléas tq circonstances, humeur des interviewés ou interviewer… Elle est liée à la fiabilité de l’instrument de mesure (+ l’instrument est fiable, + l’erreur aléatoire est faible). Erreur systématique (= biais = non random)  instrument de mesure pduit un écart systématique % au phénomène mesuré (ex. : thermomètre donnant 5D° de plus que T° réelle).plus l’instrument de mesure est valide plus erreur sys est faible. Pcipal ∑ d’outils utilisés pour appche quanti = échelles de mesure, dont voici 4 méthodes permettant d’en améliorer la fiabilité. 1°) Méthode du test-retest : Même test sur même indiv à des T ≠tes, puis coeff de corrélation % aux réponses. 2°) Méthode des formes alternatives : 2 tests au même indiv, mais le second test est diffèrent au premier. mesurer le mm phénomène avec formulation des questions différentes.test alternatif 3°) Méthode des deux ½ (split halves) : même outil au même moment sur les mêmes indiv, mais en séparant l’∑ des items d’une échelle en 2 moitiés, chacune devant être repsentative de l’attitude que l’on veut mesurer et significatif (coeff de corrélation sur réponses obtenues dans chaque ½). 4°) Méthode de la cohérence interne : estimation de coeff de fiabilité permettant de mesurer la cohérence interne de l’échelle qui nécessite pas de découper les items. Le + connu = α de Cronbach : 0<α<1 / fiabilité + forte qd α pche de 1. RECHERCHES QUALI. Outils les plus utilisées sont les entretiens, l’observation et les sources documentaires, qui ne nécessitent pas une quantification des données. a- Fiabilité des observations (décrire avec précision la procédure de prise de notes et le contexte d’observation) Ce sont des élément qui permettant de juger la fiabilité. b- fiabilité des sces documentaires : le fiabilité dépend essentiellement du travail de catégorisation des données écrite pour analyser les données, des codeurs analysent le même doc doivent obtenir les même résultats. 2/4 Drucker-Godard, Ehlinger, Grenier, MRM, pp 257-287. C- fiabilité des entretiens : choisir des concepts q tt le monde peuvent comprendre ce dernier, .C COMMENT S’ASSURER DE LA VALIDITÉ D’UN INSTRUMENT DE MESURE ? (PR EN AMÉLIORER SA VALIDITÉ) RECHERCHES QUANTI (P 271). Validité = reflétée par le D° auquel un outil particulier mesure ce qu’il est supposé mesurer +tôt qu’un autre phénomène. De +, un instrument doit être valide au regard de l’objectif pr lequel il a été utilisé. RECHERCHES QUALI. Améliorer la validité des entretiens, des analyses documentaires, des techniques d’observation = difficile (pas de critère extérieur)  préférable de s’intéresser à la validité de l’∑ du dispositif de recherche. LA VALIDITE INTERNE DE LA RECHERCHE (pp 272-275). .A DÉFINITIONS ET GÉNÉRALITÉS. Validité interne = “s’assurer de la pertinence et de la cohérence interne des résultats générés par l’étude” (p 272). Faut se dder ds quelle mesure l’inférence est exacte et si il n’y a pas d’explication rivale. Ex. : vérifier que les variations de la variable à expliquer st causées uniquement par les variables explicatives. .B TECHNIQUES D’APPRÉCIATION DE LA VALIDITÉ INTERNE. Pour un bon niveau de validité interne, il faut écarter les biais relatifs : 1°) au contexte de la recherche ; 2°) au recueil même des données ; 3°) à l’échantillon. Tableau p 273 : Les biais limitant la validité interne. BIAIS LIMITANT LA VALIDITÉ INTERNE SIGNIFICATION COMMENT ÉVITER LE BIAIS ? Effet d’histoire Se dder si des évts ext à l’étude et survenus pdt la T d’étude n’ont pas faussé les rés. Réduire la T d’étude. Avoir un regard critique sur la période retenue. Effet de maturation Les objets d’analyse ont changé pdt le cours de l’étude. Réduire la T d’étude. Effet de test Les indiv subissent +sieurs fois le même test à intervalles rapprochés lors d’une étude longitudinale, et leurs réponses au 2ème tour sont biaisées par le fait d’avoir déjà répondu à ce test. Wer avec +sieurs E ayant les mêmes caractéristiques. Effet d’instrumentation Les Q ? utilisées pour recueillir les données sont mal formulées. Chercheur doit être un expert. Nbre d’enquêteurs doit être réduit. Recueil de données doit être très formalisé. Effet de régression Les indiv sélectionnés l’ont été sur la base de Revoir la constitution de E. 3/4 Drucker-Godard, Ehlinger, Grenier, MRM, pp 257-287. statistique scores extrêmes. Effet de sélection L’E étudié doit être repsentatif de la P pertinente pour l’étude. Accorder une très gde importance à la pcédure d’échantillonnage. Effet de mortalité expérimentale Disparition de sujets pdt l’étude. Remplacer si nécessaire les sujets sans changer les caractéristiques de E Effet de contamination Un indiv interrogé apprend par d’autre indiv l’objet de l’étude, ce qui fausse les résultats. Mener l’étude le + rapidement possible ou s’assurer au mieux de la confidentialité de ses tvx. LA FIABILITE DE LA RECHERCHE (pp 275-279). .A DÉF° ET GALITÉS. La Q ? de la fiabilité concerne ∑ phases opératoires d’une rech quanti ou quali : collecte des données, codage + ∑ opérations de prépa et ana de données  tt décrire très précisément. .B COMMENT S’ASSURER DE LA FIABILITÉ DE LA RECHERCHE ? POUR TTE RECHERCHE (QUANTI ET QUALI). Tout décrire très pcisément. Le chercheur doit contrôler sa subjectivité pour ne pas influencer les résultats. Attention particulière à l’instrument de mesure (cf II). CAS DE LA RECHERCHE QUALI. Repose surtt sur fiabilité de l’instrumt de mesure  Détailler méthode pr réutilisation. Fiabilité repose pcipalement sur capa + honnêteté du chercheur à décrire concrètement ∑ pcessus de recherche, particulièrement ds les phases relatives à la condensation (= “∑ de pcessus de sélection, centration, uploads/Science et Technologie/chapitre-10-validite-et-fiabilite-de-la-recherche.pdf

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