Docteur Jean Louis BRINETTE ÉTIOMÉDECINE TOME I Édition électronique Préface à
Docteur Jean Louis BRINETTE ÉTIOMÉDECINE TOME I Édition électronique Préface à l' édition électronique Depuis la disparition du Dr Jean-Louis Brinette en décembre 2000, il est di cile de trouver des informations justes relative à l'Etiomédecine. Diérentes choses ont été écrites (principalement sous forme de sites web) paraphrasant ou déformant le message initial. Or, qui mieux que son créateur peut parler de l'Etiomédecine ? Pour cette raison, nous, ses ayants droit, avons décidé de diuser librement le contenu de ce livre, lequel expose le résultat des découvertes du Dr Brinette. Ainsi, le présent document est l' édition électronique du livre Étiomédecine, tome i 1 du Docteur Jean-Louis Brinette. Ce document contient le texte intégral du livre paru en 1992. Il restitue la totalité du texte et des schémas et respecte au plus près le fond et la forme de l'édition originale. Cette diusion est réalisée sous licence Creative Commons 2 qui rés- treint les utilisations possibles du contenu : Vous êtes libre de reproduire, distribuer et communiquer ce document sans en altérer le contenu, Pas de Modi cation3 : Vous n'avez pas le droit de modi er, de trans- former, de traduire ou d'adapter ce document, Pas d'Utilisation Commerciale3, Paternité3 : Si vous souhaitez utiliser une partie de ce document dans vos travaux (cours, présentations, ...), vous devez en citer l'auteur sous la forme suivante : Dr J-L Brinette, Étiomédecine, Tome I . Le livre commence maintenant, bonne lecture ... Etienne et Pierre-Emmanuel Brinette, avril 2009 1isbn 2-9506698-0-8, Édition S.E.E.F, 1992 2http://fr.creativecommons.org/ 3http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/ 3 4 Avant Propos Ce que vous allez lire est un cours d'Etiomédecine destiné à des théra- peutes expérimentés. Ceux d'entre nous, qui cherchons à aider des patients depuis de nom- breuses années, connaissons les limites des techniques jusqu'alors employées. L'Etiomédecine permet d'apporter un certain nombre de solutions thé- rapeutiques. Tous les élements donnés au long de cet ouvrage ne sont que le fruit d'une observation patiente, des centaines de fois répétée, de notre mode de fonctionnement. Ils ne sont en aucun cas issus de compilations de lectures d'inspiration orientale ou ésotériques. Certaines conclusions paraîtront choquantes à un esprit non préparé, ce- pendant il su t de prendre le pouls correctement pour se rendre à l'évidence que tous les hommes fonctionnent selon un même modèle cybernétique . Le fait d'aborder notre système émotionnel et mental dégage automati- quement une philosophie, mais ce n'est pas la nalité de l'Etiomédecine qui courrait alors le risque du Dogmatisme. De ce fait, j'interdis expressément aux élèves de faire des conférences traitant de ce qu'ils apprennent pendant les séminaires. Comme nous le verrons dans le cours, chaque homme à sa vérité. Celle- ci ne peut se construire que par son vécu et ses prises de consience. Tout enseignement d'une vérité, conduisant inévitablement à créer des pertes d'identité chez l'enseigné, l'Etiomédecine ne deviendrait, ni plus ni moins, qu'une nouvelle secte. 5 6 L'Etiomédecine est et doit rester un système de soin. Je recommande à tous ceux qui veulent traiter selon cette méthode, de se faire traiter eux-mêmes, ne serait-ce que pour avoir le vécu de leur savoir didactique. Leur neutralité et l'eet thérapeutique s'en trouveront grandis. Naissance de l'Étiomédecine Je passe ma thèse en 1974 et, empli de mes croyances, de mes certitudes et de tout ce savoir issu de la Faculté, je m'installe à la campagne comme médecin généraliste. Nous sommes en 1976. Pendant deux ou trois ans, j'exerce la médecine générale, en conscience, comme tout généraliste. Devant les échecs répétés de la thérapie face aux troubles fonctionnels et à la maladie, je commence à me poser des questions. La lecture d'un article sur la spasmophilie, écrit il y a quelques années par le Docteur Hioco, constitue la première ssure dans l'édi ce de mes certitudes. J'applique, avec d'excellents résultats, le traitement à base de vitamine D, phosphore et magnésium, préconisé par ce médecin et reste fortement ébranlé de la brèche ainsi créée dans la thérapie de l'hystérie enseignée par la Faculté. Je prends peu a peu conscience qu'en tenant réellement compte de la personne, attentif à ce qu'elle est, en l'écoutant, celle-ci voit ses problèmes s'estomper et peut très souvent reprendre une vie normale. Le doute m'étreint pendant environ deux ans. Dois-je suivre mon inspiration ou rester dans le cocon douillet de ce qu'on m'a enseigné ? Pendant cette inconforlable période d'indécision, je fais trois pas en avant, deux en arrière, jusqu'à ce que je décide d'aller dé nitivement de l'avant, guidé par mon intuition. Nous sommes en 1982. Je vide mon baluchon de tout ce qu'il contient de savoir, et je pars, espérant le remplir de plus de vérités. 7 8 Commence alors une longue série de séminaires. D'abord Initiation à l'Auriculothérapie. En 1983, Vertébrothérapie En 1984, une véritable révélation avec le Docteur Nogier et les ci- catrices toxiques. Fortement emballé par la teneur de ce dernier séminaire, j'en expérimente immédiatement l'enseignement. Une de mes amies sourant de sciatiques à répétition accompagnées de maux de ventre présente en eet une cicatrice douloureuse, plus particuliè- rement lors des changements de temps. J'in ltre sa cicatrice avec un peu de xylocaïne, ce qui provoque immédia- tement une énorme réaction neuro-végétative. Par contre, à son lever, plus de traces, ni de sciatique ni de mal de ventre. Pendant trois jours, une grande fatigue la submerge, puis elle va beaucoup mieux. Quant à moi, me croyant devenu Superman, j'expérimente diérentes choses qui marchent bien. Je découvre des foyers dentaires, je préconise l'arrachage d'une dent, etc. Dans mon élan, j'apprends la Neuralthérapie avec Richand à Paris et j'in ltre des amygdales. Cette recherche aléatoire pour savoir si telle ci- catrice est ou non toxique me dérange quelque part, j'abandonne donc très rapidement le procédé. Je me sens, par contre, fortement attiré par l'Auriculomédecine qui utilise la prise du pouls pour déceler les fuites d'énergie. Je commence donc l'étude de l'Auriculomédecine en 1985, et participe, parallèlement, aux séminaires sur l'étude et la correction de la statique de Bernard Bricot. Tout cela m'enthousiasme, je suis cependant surpris de la di culté ren- contrée pour la prise correcte du pouls et des trois mois nécessaires à l'inté- gration du procédé. Après ce temps d'adaptation, les schémas moteurs se mettent en place. (Les mêmes di cultés seront d'ailleurs rencontrées par les débutants en Etio- médecine.) 9 L'enseignement de l'Auriculomédecine me laisse cependant un vide intel- lectuel. Avec l'outil mathématique que je possède, je décide d'explorer les systèmes énergétiques. J'aborde ma recherche en étudiant le fonctionnement des ltres selon un raisonnement par l'absurde. Je monte donc des mécanismes ne devant avoir aucun eet thérapeutique. Les résultats obtenus allant à l'encontre de la logique du système j'en conclus que le mode de raisonnement enseigné est caduc. A partir de ce moment, j'entrevois de nouvelles possibilités thérapeutiques mais, surtout, un grand vide, car personne ne peut m'enseigner ce que je cherche. Pendant quelques semaines, j'ai des doutes quant à la justesse de l'outil prise du pouls, mais les résultats cliniques positifs m'incitent à reprendre mes recherches. Dès lors, je me remets au travail, remettant en cause tout l'enseignement de Nogier, gardant néanmoins la technique et le matériel, c'est-a-dire la prise du pouls et les ltres. J'étudie patiemment, avec rigueur et méthode, ce qui réussit. Pendant deux ans, je tâtonne beaucoup, puis, brusquement tout s'éclaire, je trouve la clé qui libère les émotions. Alors tout s'accélère. Au printemps 87, je découvre les ltres stabilisa- teurs de l'espace-temps (set) et leurs propriétés dont nous aurons souvent l'occasion de reparler. En été de la même année, je découvre les systèmes autocompensés (sac). Au printemps 88, c'est la mise au point dé nitive du traitement de l'émotionnel et, En janvier 89, au vu du fait que ma méthode s'est complètement dié- renciée de l'Auriculomédecine, je la baptise Etiomédecine, c'est-à-dire mé- decine qui recherche l'origine des maladies. En juin 89, découverte de ce qu'est la perte d'identité et, 10 En janvier 90, la mise au point du traitement du mental, que je perfec- tionne jusqu'à n 91 et qui possède aujourd'hui un canevas qui, bien appliqué, permet une libération dans pratiquement toutes les situations. Une restric- tion devant être émise pour quelques personnes ne pouvant faire l'objet de soins en Etiomédecine, j'expliquerai pourquoi. L'Etiomédecine est un outil théorique et thérapeutique qui recherche l'origine des maladies et les traite. Ceci se passe sur un plan énergétique. Dans cette dé nition, il y a deux aspects : la thérapie et la compréhension. Et, puisque cela se fait énergétiquement, nous allons voir ce qu'est l'énergie. Certains la nient, d'autres en font quelques chose de mystique. Dans une encyclopédie de sciences physiques, nous lisons qu'il n'y a pas de dé nition de l`énergie. Le travail axiomatique de dé nir correctement l'énergie m'a pris plusieurs mois. Cette dé nition de base m'a permis par la suite d'expliquer de nom- breux phénomènes apparament irrationnels. 11 12 Table des matières 1 Dé nition de l'énergie 21 2 Quelques rappels de physique 25 2.1 Energie cinétique . . . . . uploads/Sante/etiomedecine.pdf
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- Publié le Mai 22, 2022
- Catégorie Health / Santé
- Langue French
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