CHAPITRE I : L’IMPLICITE L’implicite c’est quelque chose de sous-entendue, de t

CHAPITRE I : L’IMPLICITE L’implicite c’est quelque chose de sous-entendue, de tacite, de sous- jacent, d’inexprimée, de latent, d’occulte, parfois non-dit ; ce qui n’est pas énoncé en des termes claires mais que l’interlocuteur devrait percevoir par déduction. L’implicite est oppose à l’explicite. Lorsqu’une personne s’adresse à une autre c’est toujours dans une intention qui souvent n’est pas révéler. On dit qu’une information est implicite lorsqu’il revient au destinateur d’en déduire la teneur, d’interpréter les zones d’ombre. On peut dégager une information implicite à partir des données d’une phrase {même à partir d’une situation d’énonciation}. Exemple : la route est très embouteiller les parents vont appeler la direction de l’université. L’information implicite ici est je serais certainement en retard. Un énoncé est donc implicite lorsqu’il doit être interpréter car l’auteur ne disant pas clairement l’objet de sa pensée, qui pousse l’interlocuteur a deviner, à déduire {Grille de lecture c’est ce qui se cache derrière les mots}. Les différentes formes de l’implicite : Le présuppose et le sous-entendu. 1. LE PRE-SUPPOSE Il se déduire de la situation d’énonciation. Il se déduire d’un ou de plusieurs mots dans un discours Exemple 1 : je l’ai rencontré en boite de nuit {donc elle fréquente les boite de nuit} Exemple 2 : je viens d’apprendre qu’il est en France {il est allé en France sans me dire} Exemple 3 : Steve st guérir {Donc Steve était malade} 2. LE SOUS-ENTENDU Le sous entendue se déduire plus tôt de la situation de d‘énonciation, il peut être présent dans un énoncé sans que l’auteur n’est l’intention de transmettre une information et bien entendue peut-être à l’origine d’un mal entendue ou d’un quiproquo. LA FORMATION DES MOTS L’étude d’un mot peut s’effectuer sur la base de son origine autrement dit son étymologie. L’étude peut également s’effectuer sur la base de sa formation et la formation d’un mot peut se faire par dérivation ou par composition. 1-LA DERIVATION Un mot dérive est forme par l’adjonction d’un ou plusieurs affixes (préfixes et/ou suffixes) fonde à un morphème lexical encore appelle base ou radical. EX : le verbe faire=défaire, refaire. Le radical à lui tout seule forme déjà un mot. Les mots issus du même radical forme ce qu’on appelle famille de mot.  Locale :  Jour : a- Le préfixe Il se place toujours avant le radical et modifie le sens du mot  Porte : importe Le préfixe négatif « in » peut prendre la forme « il », « ir », « im » b- le suffixe Il change le sens ou la nature d’un nature. Il se place après le radical.  Porte : Certains suffixes signifient action 2. Ex : admiration 2-la composition Il suffit ici de former Nous avons également des mots forme à partir du latin ou du grec. Ex : omniforme Les mots peuvent être compose en les juxtaposant. Ex : Certains ont des noms relies par des traits d’union. Ex : pull-over, avant-centre. D’autres sont relies par des prépositions. Ex : sac à main, bouche à oreille. CHAMP LEXICAL ET SEMANTIQUE Un camp lexical : groupe de mot se reportant à une même idée Un champ sémantique : ensemble de sens qu’un mot peut avoir selon les contextes. SENS PROPRE ET SENS FIGURE Chaque mot peut revêtir plusieurs sens qui lui sont rattache parmi lesquels : le sens propre qui correspond à son sens premier le plus courant et le plus simple. Au sens figure on passe habituellement d’une image concrète a une image abstraite. PARONYMIE, HOMONYMIE, SYNONYMIE, ANTONYMIE Synonymie : ensemble de mots différents ayant la même signification. Homonymie : ce dit des mots ayant la même prononciation(homophone) et de signification différente qu’ils soient de même orthographe(homographe). Paronymie : mot qui ressemble a un autre mot ou il y’a parfois une lettre ou une syllabe qui change : Evènement, avènement ; Antonymie : mots ayant des sens contraires. METHODOLOGIE D’EXPLIATION DES MOTS OU D’UN GROUPE DE MOTS Expliquer un mot signifie le faire connaitre en le développant. Cela ne se réduit a donner son synonyme : -on donne d’abord le sens propre du mot à expliquer pour sa delocation. Pour celle on peut se référer à l’identification de la racine du mot c-a-d l’élément a partir duquel a été forme. Ex : pour expliquer le mot manuscrit on peut le décomposer en en manu (qui veut main) et scrotum. Expliquer le mot bilinguisme. Le terme bilinguisme dérive du mot langue. Il est forme du préfixe bi qui (qui signifie deux) du radical lingue (qui signifie langue parle) et du préfixe -on donne la signification selon le contexte. C’est la connotation ou valeur second du monde. La référence permet une fois le sens du mot acquis de bien comprendre le sens selon le contexte. Le mot état n’a pas le même sens les phrases suivantes : état laïc, états fédéraux. Le mot coup peut prendre plusieurs sens selon les contextes : coup de pieds, coup de tête, coupe de foudre. Selon les intentions d’un auteur un mot peut être charge de valeur émotionnelle, tragique. Le mot funérailles n’a pas la même a l’ouest Cameroun comme ailleurs. Expliquer d’après un contexte revient a justifier sa présence dans le passage en question. Voilà comment qu’on devrait répondre, dans son sens premier le mot X signifie mais le texte l’auteur l’utilise pour faire comprendre que… ou alors étymologiquement parlant X provient du latin qui signifie… et il garde le même sens dans le texte car l’auteur l’emploie pour insister sur le fait que… L’explication d’un groupe de mot est délicate. Quelques cas sont pris en compte. -l’expression un ou plusieurs mots difficiles : Dans ce cas il faut d’abord séparément les sens de chacun de ces puis celui de toue l’expression -l’expression a explique a appartient au type lexical c’est le fait qu’un soit reconnu dans une langue avec un sens bien déterminé. Ex : il y’a belle l’urètre CHAPITRE : LES FIGURES DE STYLE Une figure de style est un procédé détourné que l’on confère à un mot pour rendre nos idées plus de force et d’originalité. Elle embellisse la teneur de notre discours et permet de créer un effet de sens sur l’auditoire ou sur le destinataire d’un texte écrit. Elles sont si nombreuses que nous allons répertorier que les plus usuelles, ce la dit qu’il existe plusieurs catégories. 1. Les figures de style par analogies : Une analogie est une comparaison subtile qui juxtapose sur un plan deux réalité d’un même domaine. Analogie veut dire conformité, similitude, correspondance, ressemblance… i. La comparaison : C’est une figure style qui établit un rapport de dépendance entre le comparé (la réalité) et le comparant (l’élément qui fait image) à l’aide d’un outil de comparaison. Exemple : La terre est ronde comme une Orange. Les étudiants de GL sont aussi intelligents que ceux des autres filières. ii. La métaphore : C’est une comparaison directe sans outil de comparaison où les termes sont souvent pris au sens figuré. Exemple : La voisine est une panthère. Audrey est une fleur. NADIA EWANDE à une voix de rossignol. iii. La personnification C’est une figure de style qui attribue les caractéristique humain a un objet inanimé. Exemples : les pieds de la chaise sont cassés. Le tonnerre gronde. Le moteur ronfle allègrement. Les fleurs du jardin se lamentent. Les murs ont des oreilles… iv. L’allégorie Représente des valeurs abstraites avec des images concrètes. Exemples : La liberté guide le peuple. L’espoir fait vivre. Le temps c’est de l’argent. 2. Les figures de styles de substitution De façon sous-jacent on entend par substitution le fait de remplacer un terme par un autre ou par toute une expression. i. La métonymie C’est une figure de style qui remplace un mot par un autre selon un lien logique ou par une relation analogique. Exemple : je viens de manger un plat C’est une décision d’ETOUDI. C’est un ministère du MUNIPAD. ii. La synecdoque C’est une figure de style qui désigne le tour pour la partie, la partie pour le tour, le particulier pour le général, le général pour le particulier. Exemples : Le Cameroun à gagner tout puissant MAZEMBE 2-0 iii. La périphrase Elle remplace un mot par une définition (dit en plusieurs mots ce que l’on pourrait dit en un seul). Exemple : il a plu dans la capitale économique du Cameroun. Le pays des pharaons est en Afrique (l’Egypte). Le pays des hommes intègres (Le Burkina-Faso). Le pays du soleil levant (le Japon) 3. Les figures de styles de l’insistance i. L’hyperbole Figure de style qui exagère l’expression d’une idée ou des sentiments. Exemples : un tonnerre d’applaudissement s’est fait entendre. La foule a été réprimandé. Il est tellement géant ii. L’anaphore l’anaphore il s’agit de repeter plusieurs ou groupe de mot au debut de plusieurs phrases ou paragraphes. Ex :mes chers camerounais. Trouver des mots forts comme une folie trouver des mots. Il y’a pas d’amour sans douleur,il y ‘a pas d’amour sans qu’on se sois meutrir, il uploads/s3/ cours-francais 1 .pdf

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