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BiblioÀPRENDRE Apprendre : désir ou dressage ? BiblioÀPRENDRE Bibliographie Apprendre : désir ou dressage ? J. Lacan Responsable : Hélène Combe avec la participation de Adela Bande-Alcantud – Bruno Alivon – Maud Bellorini – Guy Benaderette – Frédérique Bouvet – Éliane Calvet Marie-Antoinette Cézard – Arielle Chu – Hélène Combe – Melina Cothros – Margot Delle Corte – Hélène Deltombe Lucie Ducorneau – Isabelle Fragiacomo – Zoubida Hammoudi – Catherine Kempf – Yvonne Lachaize-Œmichen Elsa Lamberty – Grégory Leduc – Énora Le Moal – Cédrine Monier – Hayet Nary-Lock – Claire Piette – Isabelle Pontécaille Alain Revel – Martine Revel – Michèle Rivoire – Valeria Sommer-Dupont – Anne-Marie Sudry – Edmond Vaurette S. Freud Responsable : Nicole Oudjane avec la participation de Philippe Aurat – Michèle Bardelli – Marie-Claude Billot – Nicole Bonnet-Martinez – Françoise Bridon – Isabelle Caillault Sylvette Calloni – Christine Carteron – Catherine Cheze-Essomé – Isabelle Doucet – Marie-Ange Ducloix Marie-Anne Falcon – Nadine Farge – Alexandre Fernandez – Christian Fontvieille – Alain Godineau – Zoubida Hammoudi Françoise Héraud – Michel Héraud – Bénédicte Héron – Annie Laguillaumie – Dominique Legrand – Marie-Cécile Marty Karine Mioche – Nicole Oudjane – Marie-Jo Page – Sylvie Poinas-Païs – Nadège Talbot – Bernard Walter J.-A. Miller (Cours) Responsable : Isabelle Galland avec la participation de Djamila Ammar – Valérie Bischoff – Frédérique Bouvet – Françoise Cassi – Valérie Chevassius-Marchionni Anne Colin-Déat – Yvonne Duringer – Pierre Ebtinger – Elisabeth Engel – Fabrice Ferry – René Fiori – Isabelle Galland Elisabeth Gurniki – Stella Harrison – Barbara Houbre – Jeanne Joucla – Béatrice Landaburu – Olivier Linden Jonathan Leroy – Hervé Mantz – Nathalie Menier – Valérie Morweiser – Thérèse Petitpierre – Analie Pourtier Nadia Said – David Sellem – Goscia Stradomska – Danièle Talmont – Carine Thieux – Patricia Wartelle Réalisation du pdf intéractif : Hélène Skawinski (Charte graphique des 47es Journées réalisée par Justine Fournier) 47es Journées de l’École de la Cause freudienne - 25 et 26 novembre 2017 Responsable : Michel Héraud J.-A. Miller (textes) - Auteurs du Champ freudien (revues) Responsable : Romain-Pierre Renou avec la participation de Laure de Bortolli – Maria Brinco de Freitas – Delphine Chapin – Aurélie Charpentier-Libert – Thomas Daigueperce Emma Edelstein – Susana Elkin – Marie-Madeleine Farmouza – Alexandra Fehlauer – Anne-Charlotte Gauthier Serena Guttadauro-Landriscini – Damien Guyonnet – Stéphanie Lavigne – Guillaume Libert – Marina Lusa Nathalie Marion – Camille Monribot – Romain-Pierre Renou – Caroline Simon – Ana Inès Vasquez – Wendy Vives Livres Responsable : Benoit Delarue avec la participation de Benoit Delarue – Eliane Chastang – Noëmie Jan – Clélia Epsteyn – Claire Le Poitevin – Fanny Levin – Amaury Noël Avec la participation de Fabian Fanjwaks et Virginie Leblanc Promenez votre souris sur les noms de la table des matières et cliquez pour vous rendre dans la section qui vous plaît. Jetez un coup d’oeil sur la colonne de gauche lorsque vous êtes plongé dans votre lecture... 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Jacques‑Alain Miller..................... p. 71 A / L’orientation lacanienne . ......................................................................p. 72 B / Textes ............................................................................................................p. 96 4.  Auteurs du Champ freudien ...........................p. 100 - 5 - 1. Sigmund Freud BiblioÀPRENDRE / Bibliographie APPRENDRE : DÉSIR OU DRESSAGE Freud S. Lacan J. Sommaire Miller J.-A. Auteurs Ch-f. « Charcot », (1893), Résultat, Idées, Problèmes, tome 1, Paris, PUF, 1984. « On pouvait l’entendre dire que la plus grande satisfaction qu’un homme puisse vivre était de voir quelque chose de nouveau, c’est-à-dire de le reconnaître comme nouveau, et, par des remarques toujours répétées, il revenait à la difficulté et aux mérites de ce “voir”. D’où venait-il donc que les hommes ne voyaient jamais en médecine que ce qu’ils avaient déjà appris à voir, comme il était merveilleux de pouvoir voir brusquement de nouvelles choses – de nouveaux états pathologiques – qui pourtant étaient vraisemblablement aussi vieilles que le genre humain, et comme il devait lui-même se dire qu’il voyait maintenant bien des choses qui avaient durant trente ans échappé à son regard dans ses salles de malades. » p. 62-63. « Charcot était à l’apogée de sa vie lorsque fut mise à sa disposition cette plénitude de moyens d’enseigne­ ment et de recherches. C’était un travailleur infatigable et je pense toujours et encore plus zélé de toute l’école. […] Il est certain que cet afflux d’êtres humains ne s’adressait pas seulement au célèbre chercheur, mais tout autant à ce grand médecin et ami des hommes qui savait toujours trouver une réponse, et qui devinait là où l’état présent de la science ne lui permettait pas de savoir. […] Comme enseignant, Charcot était littéralement fascinant, chacune de ses conférences était un petit chef-d’œuvre de construction et d’articulation, à la forme achevée et à ce point pénétrant que de toute la journée on ne pouvait chasser de son oreille la parole entendue de son esprit l’objet de sa présentation. » p. 67. « Lettres. Esquisses. Notes », (1894-1902), La naissance de la psychanalyse, Paris, PUF, 1991. [Lettre n° 5] « Je n’ai appris que strictement ce qu’il fallait pour devenir neurologue. Et maintenant, quoique jeune encore, il me manque le temps et l’indépendance. [...] Le temps m’eût manqué pour étudier. L’été a été très dur, j’avais assez de loisirs, mais les soucis m’enlevaient tout courage. Autre chose encore m’empêche d’apprendre : l’habitude de me livrer à des recherches, qui m’a fait sacrifier bien des choses, le manque d’agrément de la vie estudiantine, le besoin d’entrer dans les détails et d’exercer ma critique. » p. 53. Sigmund Freud 1. - 6 - 1. Sigmund Freud BiblioÀPRENDRE / Bibliographie APPRENDRE : DÉSIR OU DRESSAGE Freud S. Lacan J. Sommaire Miller J.-A. Auteurs Ch-f. Études sur l’hystérie, (1895), Paris, PUF, 1956. [note 1] « Je n’ai jamais disposé d’une autre et meilleure description de cet état singulier où le sujet sait tout sans le savoir. Il est évident que ce fait ne devient compréhensible que si l’on s’est trouvé soi-même dans un pareil état ». p. 91-92. « J’appris peu à peu à me servir de l’éveil de cette douleur comme d’une boussole. Lorsqu’il lui arrivait de se taire sans que la douleur eût cessé, je savais qu’elle n’avait pas encore tout dit et j’insistais pour qu’elle continuât cette confession jusqu’au moment où celle-ci avait supprimé la douleur. » p. 117. « Au cours de l’analyse, je me laissais diriger, tantôt par les fluctuations de son état, tantôt par mon propre jugement ». p. 117. « Nous agissons, autant que faire se peut, en instructeur là où l’ignorance a provoqué quelque crainte, en professeur, en représentant d’une conception du monde, libre, élevée et mûrement réfléchie, enfin en confesseur qui, grâce à la persistance de sa sympathie et de son estime une fois l’aveu fait, donne une sorte d’absolution. Dans la mesure où le permet l’intérêt que suscitent en nous le cas considéré et notre propre personnalité, nous cherchons à venir humainement en aide à notre patient. » p. 228. « Esquisse d’une psychologie scientifique », (1895), La naissance de la psychanalyse, Paris, PUF, 1986. « [La théorie psychologique] Elle doit nous expliquer tout ce que, d’une façon si mystérieuse, nous apprend notre “conscient”. Or, comme ce conscient ignore tout de ce que nous avons admis jusqu’à présent – les quantités comme les neurones – il convient que notre théorie puisse expliquer jusqu’à cette ignorance elle-même. […] Nous nous attendons à trouver que certains de nos postulats ne sont pas confirmés par le conscient […] le conscient nous fournit sur les processus neuroniques des renseignements qui ne sauraient être ni complets ni certains ». p. 327. « Tandis que le moi s’efforce de se débarrasser de ses charges au moyen d’une satisfaction, il est inévitable­ ment amené à agir sur la répétition des expériences douloureuses et des affects et il doit le faire de la façon suivante généralement qualifiée d’“inhibition”. » p. 341. « Le jugement constitue donc un processus ψ que seule une inhibition venue du moi rend possible. » p. 346. « L’éveil de la connaissance est donc dû à la perception d’autrui. » p. 348. « Il appartient au moi d’empêcher tout déclenchement d’affect qui permettrait alors la production d’un processus primaire. Le meilleur moyen dont il dispose pour ce faire est le mécanisme de l’attention. » p. 368-369. « Non seulement les associations verbales rendent possible la connaissance, mais encore elles réalisent autre chose de très important. Les frayages entre neurones ψ constituent, nous le savons, la “mémoire” – la uploads/Litterature/ biblio-apprendre-final-v2.pdf

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