Réfutation des attaques pseudoscientifiques de Moatti et al. sur mes recherches
Réfutation des attaques pseudoscientifiques de Moatti et al. sur mes recherches sur Syracuse Idriss J. Aberkane 11 Février 2020 Abstract En 2017 j’ai prépublié une méthodologie nouvelle pour attaquer le problème de Syracuse, assortie de résultats préliminaires et d’un programme de recherche bien défini et original, muni de théorèmes fondamentaux pour l’étayer. Cette prépublica- tion a été accusée en 2020, sans aucune preuve, d’être fausse. J’ai alors publié deux tutoriaux rigoureux pour la rendre plus simple à comprendre en particulier dans sa méthode et ses conclusions, l’un en français, l’autre en anglais. Quand les harceleurs n’ont pu démontrer qu’elle était fausse, ils l’ont accusée de trivialité. Quand ils n’ont pu démontrer sa trivialité, ils l’ont accusée de plagiat et d’imposture”, toujours sans aucune preuve rigoureuse. Je démonte ici leur pratique pseudoscientifique, en citant à l’appui mes deux tutoriaux complémentaires clarifiant: • l’originalité de ma méthodologie • sa fécondité en matière de résultats non triviaux, puissants et bien sûr originaux sur Syracuse • la malhonnêteté totale des harceleurs qui occultent tout ce qui n’arrange pas leur raisonnement fallacieux (une méthode pseudoscientifique appellée ”half- truth” ou ”cherrypicking”), et qui sera rappelée dans cet article Sont enfin réfutées rigoureusement quelques-unes des nombreuses affirmations falla- cieuses ou carrément mensongères publiées par un groupe d’auteurs anonymes sur le blog, et sous la responsabilité éditoriale d’Alexandre Moatti le 7 Février 2020 sous le titre ”Lecture et analyse des articles d’Idriss Aberkane sur la conjecture de Syracuse”. 1 Introduction A lie which is half a truth is ever the blackest of lies –Alfred Tennyson En préambule, noter ce qu’est une ”demie vérité”: un propos fallacieux qui écarte volontairement toute vérité, tout fait qui ne le soutient pas. Mes harceleurs sont parmi les 1 plus grands utilisateurs en France de cette méthodologie pseudoscientifique, qui est la pire de toute, parce qu’elle est celle qui peut le plus passer pour de la science rigoureuse auprès d’un public crédule. Si elle a été systématiquement employée dans toutes les attaques personnelles que j’ai reçues depuis 2015, et demeure la méthodologie pseudoscientifique unique des éditeurs de ma page wikipédia, une tentative de la réutiliser pour décrédibiliser mon travail sur Syracuse vient d’être publiée par une bande anonyme sur twitter, et elle doit être réfutée ici de la façon la plus simple: quiconque cache la vérité, est un menteur. Quiconque cite des morceaux de faits en écartant ceux qui le dérangent, ment. De même qu’un morceau de boeuf n’est pas un boeuf, qu’un morceau d’humain n’est pas un humain, un morceau de vérité n’est pas une vérité, un demi fait est un méfait. La méthodologie des harceleurs consiste à: • mentir en bande organisée (selon le principe ”calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose”) • quand ils sont déboutés, ne jamais rendre aucun compte de leurs mensonges • mélanger d’éventuelles vérités partielles, ou des propos ayant l’apparence de la vérité ou de la science, à leurs mensonges, dans le but de crédibiliser tout le reste. Cette réfutation va donc démontrer que les attaques des harceleurs n’ont aucune rigueur scientifique de fond même si elles essayent d’en adopter la forme pour tromper un public impressionnable, et qu’elles constituent l’aboutissement d’une très longue série de men- songes sur lesquels ils n’ont rendu aucun compte. Le problème de Syracuse étant exceptionnellement difficile, je suis parti du principe qu’il ne pouvait être attaqué sans un effort théorique fondamental au préalable, ou comme l’avait dit Paul Erdos ”les mathématiques ne sont pas encore prêtes pour ce genre de problème”. L’effort théorique que j’ai présenté est absolument original, une affirmation qu’aucun des harceleurs ne parvient à réfuter, préférant affirmer commodément qu’elle ne parvient pas à le lire. Il est donc laissé ici au lecteur suffisamment intègre et honnête un rappel des fondements originaux de cette méthode, qui n’existe pas dans la littérature, et que j’ai appelé dans Aberkane 2020 ”Algèbre Romanesque”. Cette méthode consiste à étudier les intersections de l’arbre binaire, ternaire, et quaternaire sur N, c’est-à-dire des arbres générés par tous les compositions infinies possibles des opérations suivantes Pour l’arbre binaire: ·2 ·2 + 1 ou S Pour l’arbre ternaire: ·3 ou B ·3 + 1 ou C 2 ·3 + 2 ou A Pour l’arbre quaternaire ·4 ·4 + 1 ou V ·4 + 2 ·4 + 3 Le nombre 27 donc, peut s’écrire comme le 2n+1 de 13, mais 13 peut s’écrire comme le 4n+1 de 3 et 27 peut s’écrire comme 33 · 1. Positionner 27 en fonction de la façon de l’obtenir dans l’arbre binaire, ternaire et quaternaire sur N est donc pratiquer la méthode originale, et puissante de l’algèbre romanesque. Tout entier est un point d’intersection des trois arbres, puisque les opérations binaires, ternaires et quaternaires engendrent tous les entiers. J’ai appelé le repère munissant N des arbres binaire, ternaires et quaternaires le Romanesco(2;3;4). Il est important de préciser que l’expression rigoureuse de ce simple paragraphe a été déclarée ”illisible” par les harceleurs, ce qui est bien pratique puisque plus on oublie l’origine théorique fondamentale du travail, plus on peut laisser entendre qu’il n’est pas original et bien sûr, qu’il ne peut constituer une théorie. Le repère que forme le Romanesco (2;3;4) sur N est une première originalité claire de mon travail, si originale en fait, que l’unique défense des harceleurs consiste à affirmer qu’ils ne la comprennent pas. Pourtant, ce repère permet de définir l’absolue totalité de la complexité des orbites de Collatz, et à partir de lemmes triviaux, de trouver des propriétés beaucoup plus puissantes de ces orbites, qui peuvent amener à leur résolution. Dès le début, il s’agissait donc moins de résoudre Syracuse que de fonder une théorie pratique de son attaque, qui dépasserait le problème lui-même, en étant applicable à beaucoup d’autres situations de théorie des nombres. C’est cette caractéristique essentielle de mon travail qui bien sûr, est commodément ”illisible”. De la même façon donc qu’un Groupe peut munir N de l’addition, par laquelle N est clos, mon approche (originale, répétons-le, les harceleurs n’aiment pas beaucoup l’admettre) consiste à munir N des opérations fondamentales des arbres binaire, ternaire et quater- naire, créant un objet algébrique nouveau qui est appelé le Romanesco (2;3;4) et défini une énième fois rigoureusement comme la couverture de N par les branches de tous ces arbres à la fois, tirées à l’infini, donc, si l’on perd l’information de branche, comme: N[·2, ·2 + 1, ·3, ·3 + 1, ·3 + 2, ·4, ·4 + 1, ·4 + 2, ·4 + 3] Sur ce point les harceleurs semblent un peu lents à la comprenette. Je n’ose imaginer que cette lenteur fût volontaire, leur voilà donc donnée cette dernière définition totale, 3 indiscutable et bienévidemment rigoureuse, mais comme pour tout ce que l’on donne aux esprits lents et faibles, lourde et ennuyeuse. On ne peut pas tout avoir. Pour les esprits plus vifs, j’ajoute qu’on peut négliger les opérations ·4, ·4 + 2 et ·4 + 3 qui ne sont pas nécessaires à la bonne visualisation des trajectoires de Syracuse et l’on a donc N[·2; S; V ; A; B; C] En gardant l’information de branche, qui est très importante et qui ne relève plus de N (l’ensemble des branches de l’arbre binaire complet sur N c’est R, celle des branches de l’arbre quaternaire c’est l’ensemble des parties de R) une visualisation des éléments impairs a été donnée dans mon ”Syracuse pour les nuls” de 2020 (dont le titre complet est ”l’intersection des arbres 2-3-4-aires sur N forme un repère et un cadre de résolution au problème de Syracuse”. Toujours embêtant pour les harceleurs anonymes, il va être très compliqué de trouver cela dans la moindre publication antérieure, mais ne déflorons pas le debunking de la joyeuse bullshit que ces gens ont commise en bande. La visualisation, ça donne ça: 1 3 5 7 15 13 11 9 17 19 21 23 25 27 29 31 33 35 37 39 41 43 45 47 49 51 53 55 57 59 61 63 65 67 127 69 71 73 75 77 79 81 83 85 87 89 91 93 95 97 99 101 103 105 107 109 111 113 115 117 119 121 123 125 Figure 1 Les bandes noires représentent une équivalence qui apparaît facilement dès que l’on représente la dynamique de Syracuse dans le Romanesco (2;4). A chaque fois que deux nombres sont connectés par une de ces bandes noires, ils sont équivalents dans Syracuse. Ici, en représentant les nombres qui finissent par 2 en base 3 en turquoise, ceux qui finissent par 1 en violet et ceux qui finissent par 0 en doré, on a représenté aussi une partie de l’arbre ternaire complet, donc on représente le Romanesco (2;3;4) sur N Et c’est bien sur ce genre de travail et de visualisation - au delà, de théorie- que reposent tous mes résultats nouveaux sur Syracuse, des plus bas (dont certains sont des mises en jambes évidemment présentes dans la littérature antérieure) aux plus hauts (qui sont, 4 répétons le pour les harceleurs qui refusent uploads/Litterature/ re-futation-2020.pdf
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- Publié le Jui 27, 2022
- Catégorie Literature / Litté...
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