APPLICATION DU CONCEPT DE LA TRADUCTION PROFESSIONNELLE DANS LE COURS DE TRADUC

APPLICATION DU CONCEPT DE LA TRADUCTION PROFESSIONNELLE DANS LE COURS DE TRADUCTION/ PENERAPAN KONSEP PENERJEMAHAN PROFESIONAL DALAM MATA KULIAH TERJEMAHAN SITI UMAYA – Etudiante Post-maitrise Universitas Pendidikan Indonesia RÉSUMÉ Penerjemahan yang dilakukan di Universitas meliputi penerjemahan pedagogis dan pedagogi penerjemahan. Bila dilihat dari sisi tujuan, fungsi, para pelaku, maupun sasaran pembacanya, penerjemahan tersebut berbeda dengan penerjemahan profesional. Tapi, apakah mungkin menerapkan konsep penerjemahan profesional ini ke dalam penerjemahan yang pada umumnya dilakukan di Universitas ? Artikel ini mencoba memaparkan tentang konsep penerjemahan profesional dan kemungkinan penerapan konsep tersebut dalam mata kuliah Teori dan Praktek Penerjemahan. I. Introduction Traduire est un acte de transmettre un message de la langue de départ à la langue d'arrivée correctement. Basé sur mon expérience, cette activité est très difficile à réaliser parce qu'on doit accomplir des prérequis nécesssaires du traducteur comme avoir la connaissance et la maîtrise de la langue source et de langue cible et puis la connaissance extralinguistique de ces deux langues. Apprendre à traduire n'est pas un acte d'acquérir un savoir mais un savoir-faire. Cela convient à l'opinion de Christine DURIEUX dans son livre Apprendre à Traduire : " Apprendre à traduire n'est pas l'acquisition d'un savoir mais l'acquisition d'un savoir-faire. " En tant qu'apprenant du français langue étrangère, on a déjà connu cette activité parce qu'elle est l'une des moyens utilisées dans l'apprentissage de la langue étrangère. Dans ce cas-là, il s'agit de la traduction pédagogique ayant pour but d'acquérir et de maîtriser la compétence langagière et parfois la compétence méthodologique traductionnelle, de comprendre la langue étrangère apprise avec celle de maternelle, et d'évaluer la compréhension des étudiants. La traduction pédagogique met l'accent sur la correstion linguistique du texte produit par les étudiants et sur les correspondances linguistiques entre texte de départ et texte d'arrivé. En l'occurence, les acteurs principales sont l'enseignant et les étudiants. À côte de la traduction pédagogique, il y en a d'autre qui s'appelle la pédagogique de la traduction ayant pour but de développer la compétence de comprendre des textes et d'exprimer le message. Ces deux types de traduction sont celles appliquées à l'UPI de Bandung. En ce qui concerne l'enseignement du cours de la Traduction au programme de post-maîtrise à l'UPI de Bandung, il a pour objectif de développer la maîtrise des principes de la traduction en pratique, d'analyser les types de difficultés et de fautes dans la traduction, d'utiliser précisement les techniques de la traduction selon les besoins et les niveaux de connaissances des clients, de plannifier le programme et la matière d'enseignement de la traduction qui sont convenables et efficaces pour le public destiné, et enfin d'utiliser l'approche, la méthode, et la technique de la traduction précis pendant le processus d'apprentissage-enseignement. Afin d'atteindre ces objectifs-là, l'enseignant utilise quelques techniques d'enseignement comme lire la théorie, faire un exposé, discuter, et faire une pratique de la traduction. D'habitude, l'enseignant demande aux apprenants de traduire un texte et puis il fait la correction et l'évaluation du texte traduit. À partir des commentaires et des corrections de l'enseignant, les étudiants corrigent et améliorent ses traductions. Cette démarche est orientée produit. Pourtant, le choix et l'utilisation des techniques d'enseignement en question ne sont pas sans problèmes. En réalité, je trouve qu'il y a encore des étudiants qui ont les difficultés de traduire parce qu'ils ne peuvent pas encore appliquer les techniques de la traduction en pratique. Puis, les textes sont peut-être très nombreux et difficiles à traduire alors que le travail doit se faire individuellement. La conséquence, ils ont recours à la traduction mot par mot si bien que ses traductions sont incompréhensibles. Autrement dit, c'est difficile de tirer les éléments essentiels du contenu des textes traduits. Gile, dans son livre La Traduction, La comprendre, L'apprendre explique aussi que le type d'enseignement orienté produit, pose des problèmes. Les étudiants déterminent les meilleurs stratégies de la traduction en se basant sur l'accumulation de corrections et de commentaires. Puis, il présente parfois un problème des différences entre les normes linguistiques des uns et des autres. Il arrive que l'enseignant n'aime pas une formulation choisie par l'étudiant et qu'il la corrige par une formulation qu'il préfère, mais que l'étudiant rejette. (2005). Étant donné les difficultés présentes, je pense que c'est très indispensable de faire une innovation dans ce cours afin d'améliorer la situation et de résoudre les problèmes existants. Cette innovation doit certainement concerner le programme du cours, particulièrement la matière et la technique d'enseignement adaptées à l'objectif du cours. À propos de l'innovation, Michel Boiron, dans Le français dans le monde numéro 337, dit que " l'innovation est un concept, un objet, ou une technique perçu comme une nouveauté, et qui a été créé afin de combler un manque ou d'améliorer complètement ou partiellement une situation jugée insatisfaisante. L'innovation n'a de sens que si elle apporte une réelle amélioration par rapport à la situation passée. Elle peut concerner les aspects techniques et technologiques, organisationnels, méthodologiques, pédagogiques et didactiques de l'enseignement-apprentissage. " (2005:32). En se basant sur cette définition, donc, quelle innovation pourrait-on faire dans le cours de la Traduction ? On doit certainement revenir à l'objectif du cours. On peux conclure que le but du cours est essentiellement de former les étudiants comme futur traducteurs professionnels. Comme on sait que les apprenants au programme de post-maîtrise sont considérés avoir l'expérience de traduire. Ils ont la connaissance et la compétence de traduire les différents types de textes car ils ont déjà suivi le cours de la traduction en avance. Donc, c'est possible de faire une innovation sous forme un modèle d'apprentissage qui est adapté à ces objectifs du cours. C'est-à-dire, un modèle d'apprentissage qui est basé sur le concept de la traduction professionnelle. En appliquant ce concept, on espère qu'il peut être la solution pour résoudre les difficultés présentes dans le cours de la Traduction au programme de post-maîtrise à l'UPI de Bandung. II. Base de théorie sur la traduction professionnelle Parler de la traduction professionnelle, il y a quelques caractéristiques. La première, la traduction professionnelle sert des intérêts industriels, économique, scientifiques, politiques ou autres. Elle est orientée vers des lecteurs et l'attention est focalisé sur l'information ou sur les objectifs du texte d'arrivé, aux méthodologiques et techniques du traducteur. Puis, les enseignants de la traduction professionnelle mettent l'accent aussi sur la dimension de recherche d'information adhoc. En regardant les caractéristiques çi-dessus, on peut savoir que la vocation des programmes professionnalisants est de former des traducteurs professionnels de haut niveau pour le marché. Pour être un traducteur professionnel, il faut avoir le savoir et le savoir-faire du traducteur. D'après Gile dans son livre intitulé La Traduction, La comprendre, L'apprendre, il doit posséder la compétence traductionnelle dans un contexte professionnel comme suivante: \1. Une meilleure compréhension suffisante de la langue de départ sous sa forme écrite. Un traducteur doit connaître la langue étrangère à partir de laquelle il va travailler. Cette connaissance est généralement une première prérequis du traducteur. À propos de cette connaissance, il y a quatre points auxquels on doit faire attention: " La maîtrise de la langue de départ est une connaissance passive. Le traducteur doit être capable de comprendre les idées, les informations, et les intentions de l'auteur. " La connaissance passive requise est celle de l'écrit, et non pas de l'oral. " Le niveau de compréhension requise varie selon le texte concerné. " Connaître une langue, c'est également connaître une ou plusieurs cultures qui y s'intègrent. 2. Des connaissances extralinguistiques générales (la culture générale) ou spécialisées. Certains termes et expressions, particulèrement les termes culturels ne peuvent pas être séparés d'un fait historique, d'un environnement sociale, etc. 3. Une bonne capacité rédactionnelle en langue d'arrivée. Le traducteur doit pouvoir rédiger en langue d'arriv'ee un texte selon sa fonction comme informer, expliquer, ou convaincre ses lecteurs, etc. 4. Une maîtrise des principes et de la démarche du traducteur. Un traducteur professionnel doit posséder un savoir comme la connaissance des normes professionnelles applicables comme des principes de fidélité ou du comportement professionnel à l'égard des clients et des collègues, de même que la connaissance du marché de la traduction, des sources d'informations disponibles, des outils, informatiques et autres, etc. Puis, il faut avoir un savoir-faire comme les techniques de la recherche documentaire, la prise de décisions informationnelles et linguistiques dans la rédaction du texte d'arrivée, l'évaluation des sources d'information, l'utilisation des différents outils, etc. En principe, le bon traducteur professionnel est capable de travailler dans des domaines de spécialité plus variés, d'assurer la qualité de ses traductions, de les réaliser plus rapidement, de surmonter les différents obstacles plus facilement et à un coût moindre. 5. Une connaissance des aspects pratiques et commerciaux du métier. Principalement, un bon traducteur proféssionnel doit posséder la connaissance du marché de la traduction et des éléments techniques associés à la pratique de la traduction dans le contexte économique. Il s'agit notamment la connaissance des clients potentiels, des domaines de spécialité, des règles applicable, des méthodes et techniques d'organiser des projets, des outils informatiques et autres. (2005 :12-17) Les traducteurs professionnels sont indépendants ou salariés. C'est-a-dire, ils uploads/Philosophie/ application-du-concept-de-la-traduction-professionnelle-dans-le-cours-de-traduction 1 .pdf

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