,. CUESPIN. ·. |iir L DaNON-BoIIJÎAU (épuisé). »lM ]ii«·. pur I. I »A RRA K IT
,. CUESPIN. ·. |iir L DaNON-BoIIJÎAU (épuisé). »lM ]ii«·. pur I. I »A RRA K IT (épuisé). Γ II. K H K M IN # ·| Κ . 1)1 ΒΟΒ-CHARIJKR (épuisé), par C. DÉSIRÂT Η T. IIordÊ (é|Miisé). in*, i Kir J. II. M a rce lle » («puisé). N IL ·«*). ΛίΜΙΟΙΚ (épuisé). ¡« ■ ■ u i« *, par (II. Normand (épuisé). C (r|aitsé). J.-J. TllO.M AS (é|HI¡sé). *¡rn. |uu* G. ClIAKVEU (épuisé), ihcdre, par I». B ol RCIER (épuisé). («•rali*. |»ar J.-M . MaRANIIIN (é|Hii?*é). « • I II. ΐΛΝΈ (é|Miisé)· nii'iir élran grrr, par (I. PERDKE rl K. l’oiiyi 1 ER (épuise), laiiolμ| ii·* il«· C. S. Peiree, par F. PERALDI (épuisé). 1111 r • .« ’«»lain*. | M ir F. FUiNÇOlS (épuisé), ér. par A. Roi VERET (épuisé). < : K U .K SI (épuisé). , ON Kl IN K (épuisé). nlifum, par M. (¿ROSS (épuisé). Dnflnt rl analvsr liitpiUlMpir. par K. MARTIN ri F. NEF (épiiw·!. uilr Π Moyen Age, |»ar M. BARATIN el F. DESBORDES (épuisé) ;). b C A N A T I. I» V K /Λ K (épuisé). iisti|ue. |>ar A. (»RÉSILLON el J.-L . I.EBRWE (é|Niisé). i*| M I»sé). ·. |Ur S. llONNAFOKS (rpuix*). Mir M. PaR A IM S rl Y. LEBRUN (rpuÎM·). H-BoiLEAl (é|Miisé). .. (.1 K M 1 N (épuisé). ERIELLE rl J.-l». I RBAIN (é|»uisé). . hRK M IN (épufeé). Cl. Normand (épuisé). Ioiino (épufeé). i< iiK ri C. RmiiKK (épuisé). . A nscomiikk (épuisé), il», par IL Mvi.DIDIKIt (é|Uli*é). l.ll'NAY, M. MOIJIO (épuisé). (épuisé). Ir> immigrés. |N ir CI. PERD! E | i;| K 1N ; ). Λ (l'|Hli"4‘| . pur F. K vshkk. |Nwé). par k . IUn.\cki. ΙΒ Α Γ. I adray η H. C ardin. r . | w ir I.. DaNON-Bo ILEAI (épuisé). JKI (épuisé). t|ir en Α ιιμ;ι* μ| ιμ*. jku* O í. Iíih ik n . G.-Ι- » > lin u n > H A. H. I>:i ¿m its. ion·. par P. CaDIOT rl A. Zr iRI-IIkRTZ. I.-Fr. Morti rei \. «étions. par A. I»AK\DIKR. eiG . Deniiière. ni féro, i tar J.-C l. A.NSCOMBRE. H JET rl J. ΡΕΠΤΟΤ. lisrursivr, ¡uir M.-A. MOREL. . |{k : m :i :o . A N N E E R E V U E T R I M E S T R I E L L E S E P T E M B R E 9 5 119 L’analyse du discours philosophique Frédéric Cossutta M. Ali Bouacha, J.-F. Bordron, K. Ehlich, D. Maingueneau, G. Philippe CONSEIL DE DIRECTION J. DUBOIS - B. POTTIER B. QUEMADA - N. RUW ET RESPONSABLE ÉDITORIALE : DANIELLE LEEMAN CHARGÉE DE FABRICATION : MARTINE TOUDERT La composition de ce numéro a été confiée à Frédéric Cossutta Sommaire F. C o s s u t t a , Présentation ....................................................................................................... 5 F. C o s s u t t a , Pour une analyse du discours philosophique............................................ 12 D. .M a i n g u e n e a u , L’énonciation philosophique comme institution discursive . . . 40 J.-F" B o r d r o n , Signification et subjectivité........................................................................ 63 M. A l i B o u a c h a , De l ’ego à la classe de locuteurs : lecture linguistique des . Méditations ............................................................................................................................ 79 G. P h i l ip p e , Embrayage énonciatif et théorie de la conscience : à propos de V Etre e.p le Néant ............................................................................................................................... 95 K. Ehlich, Manière de penser, manière d’écrire : la procédure phorique dans le texte hégélien'......................................................................................................................... 109 Abstracts ...................................................................................................................... 123 Un an, quatre numéros : France ............................................................................. Etranger ........................................................................... Le numéro ...................................................................... Règlement par chèque bancaire à l’ordre de : Centrale des Revues 11, rue Gossin 92543 Montrouge Cedex Larousse 17, rue du Montparnasse, 7529N Paris Cedex 06 S E P T E M B R E 9 5 119 L’analyse du discours philosophique, par Í (% > s \ ·ζ λ « Λ . / S H V '/M \ ///■ vVi Frédéric COSSUTTÆ WNV et M. Ali Bouacha, J-F. Bordron, K. Ehlich, D. Maingueneau, G. Philippe ‘ W · - LAROUSSE « La loi du 11 mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l'Article 40). « Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les Articles 425 et suivants du Code Pénal ». Commission paritaire n° 56492 © Larousse, Paris. Printed in France F. C o ssu tta Collège International de Philosophie PR É SE N T A T IO N Le numéro 21 de la revue Langages de mars 1971 »’intitulait La philosophie du langage. Mais si on en examine le sommaire, on découvre que certaines contribu tions portaient sur le langage des philosophes et s’attachaient à en mettre en évidence certaines propriétés. Cela montre qu’à une époque où commençait à se répandre l’application des diverses disciplines linguistiques à une multitude de types de discours, littéraire, politique, médiatique, religieux, la philosophie aurait pu deve nir elle aussi un objet d’investigation. Pourtant, excepté quelques tentatives isolées, on constate qu’aucun programme de recherche ne s’est vraiment développé comme analyse du discours philosophique. Cette étrange impasse est moins due aux hasards de l’histoire qu’à des raisons de fond. Elles tiennent en effet autant aux propriétés spécifiques de la philosophie considérée comme discours, qu’à la nature des outils linguistiques ou textuels qui étaient offerts à l’époque. D’un côté en effet la philoso phie, même si sa position hégémonique était battue en brèche par la montée en puissance des sciences humaines, répugnait à se laisser constituer comme objet d’une investigation extérieure, et après le moment 'de fascination structuraliste pour Saussure, Jakobson et les formalistes russes, elle intervenait de nouveau sur le terrain du langage. De l’autre, les sciences du langage et du discours se dévelop paient en ordre dispersé dans un foisonnement de courants et d’écoles, avec pour conséquence un abaissement progressif de la frontière entre linguistique et philoso phie, ce qui a entraîné un redécoupage des territoires disciplinaires. Les linguistes du « speech act » par exemple ont développé les intuitions initiales d’Austin, qui était un tenant du courant analytique anglo-saxon, les développements logiques vers des sémantiques formelles ou des logiques non extensionnelles ont influencé nombre de théories linguistiques du sens et de la référence, l’inspiration aristotélicienne du courant néo-rhétoricien n’est plus à démontrer, on connaît les rapports privilégiés qui lient les conceptions de Hjelmslev ou de la sémiotique à la phénoménologie husserlienne, ou la pragmatique à celle de Peirce. Enfin, nombre de philosophies contemporaines, celles de Habermas, Apel, Ricœur, Jacques, Meyer, placent la dimension langagière au cœur de leur dispositif théorique, et intègrent tel ou tel secteur de la linguistique, qu’ils contribuent en retour à influencer. L’histoire raisonnée de ces bouleversements reste à faire, nous nous contentons ici de constater qu’elle met en évidence une proximité mais aussi des ambiguïtés entre les disciplines du langage et la philosophie, qui ont fait paradoxalement obstacle à un tel projet. Le moment nous semble pourtant venu d’examiner à quelles conditions une Analyse du discours philosophique est possible, et de montrer par la diversité des textes ici réunis, quelques-unes des directions dans lesquelles elle peut se dévelop per. Deux facteurs nous y encouragent. Tout d’abord une transformation progressive du panorama que nous dressions à grands traits, a vu se modifier le centre de gravité des disciplines du langage. La linguistique, en prenant en considération les proprié- tés énonciatives et pragmatiques, s’est déplacée vers l’étude de la langue en contexte, conçue comme activité en situation communicationnelle. Les dimensions propre ment argumentatives ou dialogiques du sens ont été mises en évidence, et l’examen d’opérations qui, dans la philosophie, jouent précisément un rôle important est venu au centre des préoccupations. Les théories du discours de leur côté (voir le numéro récent de cette revue consacré par D. Maingueneau aux Analyses du discours en France) ont cessé de s’inscrire dans un espace théorique et idéologique assez restreint qui privilégiait l’étude du discours politique, et s’attachait surtout à penser, fût-ce d’une façon moins mécanique que le marxisme des années 60, l’arti culation entre les formations discursives et les formations sociales. La multiplication des centres de recherche, la diversification des types de discours étudiés l’enri chissement des méthodes en linguistique, le déplacement des enjeux en analyse du discours, sont autant de signes encourageants. La seconde circonstance, qu’on ne saurait certes mettre sur le même plan que la précédente, tient à la mise en œuvre d’un projet de recherche que nous pouvons conduire dans le cadre d’une Direction de Programme uploads/Philosophie/ langage-119-l-x27-analyse-du-discours-philosophique-pdf.pdf
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- Publié le Aoû 30, 2022
- Catégorie Philosophy / Philo...
- Langue French
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