Porte spatio-temporelle engendrée par le champ unifié de Dirac-Maxwell - Philip
Porte spatio-temporelle engendrée par le champ unifié de Dirac-Maxwell - Philipe-Alexandre GAUGAIN page 1/7 Porte spatio-temporelle engendrée par le champ unifié de Dirac-Maxwell Philippe-Alexandre GAUGAIN mirror@europeanufosurvey.com Résumé De nombreuses similitudes sont depuis longtemps mises en évidence entre la théorie de l'électron de Dirac et la théorie Maxwellienne de l'électromagnétisme. Leur commune expression dans le formalisme de l'algèbre d'espace-temps de Dirac, de récentes preuves expérimentales de l'existence d'ondes maxwelliennes électro-scalaires d'une part, ainsi que l'interprétation de l'effet Ahoronov-Bohm d'autre part, conduisent à étendre et identifier les potentiels et les champs des deux théories leur conférant une complète réalité physique dans l'espace de Clifford à 16 dimensions de l'algèbre de Dirac. Dans une approche complémentaire, de récents travaux théoriques montrent que la singularité nue de Kerr-Newman, solution des équations de la relativité générale d'Einstein, totalement identifiable à l'électron de Dirac pour les paramètres m, a et q correspondant à la particule expérimentale, comporte 4 états distincts représentés en un vecteur d'état qui satisfait à l'équation de Dirac. L'analyse topologique et géométrique du passage au travers de la singularité microscopique montre que cette dernière constitue un pont entre deux espace-temps distincts. Dans une approche finale, l'unification du champ de Maxwell-Dirac permet d'envisager des configurations théoriques et expérimentales conduisant à expliciter et à générer artificiellement des singularités de nature analogue et de propriétés arbitraires à l'échelle macroscopique. Introduction Plusieurs auteurs (3) (8) (11) ont constaté depuis 1928, date à laquelle Dirac publia sa théorie de l'électron, de nombreuses parentés entre celle-ci et la théorie maxwellienne de l'électro- magnétisme sans toutefois pouvoir corréler de façon satisfaisante les composantes et les propriétés des deux édifices. Ces deux théories ont été exprimées dans des formalismes variés, le plus puissant, le plus économe et le plus séduisant étant sans conteste à ce jour l'algèbre d'espace-temps (13) formulée par Dirac pour expliciter sa solution. Si la théorie de Maxwell, dans sa forme classique, semble parfaitement maîtrisée par la communauté scientifique et nombre d'utilisateurs, ingénieurs et étudiants, la théorie de Dirac, un des piliers fondamentaux de la mécanique quantique, a par contre longtemps rebuté les esprits de par son aspect géométrique fortement hétérodoxe aussi bien que par la présence de grandeurs "imaginaires" propres à heurter le sens commun de la réalité physique. C'est donc par la justesse des résultats numériques concernant l'atome d'hydrogène qu'elle s'est tout d'abord imposée, de nombreux auteurs (4) (10) (12) (14) ayant par la suite contribué à nous dépeindre de façon plus abordable le contenu de la solution de Dirac. La notion de spin de l'électron, qui n'était pas attendue par Dirac lui-même lors de la genèse de son travail apparut alors de façon centrale dans sa solution. Essayant d'aborder la description de l'électron et de son spin par la filière de la relativité générale d'autres théoriciens dont Kerr et Newman aboutirent à la solution qui porte leur nom, solution dans laquelle on explicite la métrique spatio-temporelle engendrée par une charge électrique annulaire en Ce document est la propriété intellectuelle de Philippe-Alexandre GAUGAIN, il est déposé et protégé par la législation sur la propriété intellectuelle et industrielle pour tous les pays, il ne peut être ni modifié ni utilisé à des fins commerciales sans l'accord préalable de son auteur Porte spatio-temporelle engendrée par le champ unifié de Dirac-Maxwell - Philipe-Alexandre GAUGAIN page 2/7 rotation, cette solution de Kerr-Newman ne dépendant finalement que de 3 paramètres, m, a et q, respectivement masse, moment angulaire par unité de masse et charge électrique (1) (2). La théorie maxwellienne classique de l'électromagnétisme, bien qu'efficace dans sa formulation finale due à Gibbs et Heaviside ne rend cependant pas compte de l'existence des ondes électro- scalaires longitudinales (5), phénomène découvert et largement exploré par Nikola Tesla depuis plus d'un siècle. A sa suite, d'autres chercheurs (6) (7) (9), de plus en plus nombreux, essayent depuis plusieurs décennies de convaincre la communauté scientifique de l'existence des modes vibratoires électroscalaires et purement scalaires du champ maxwellien. Au croisement de la théorie de Dirac et de la théorie de Maxwell, le formalisme de Dirac traite de façon satisfaisante le problème de la particule soumise à un champ électromagnétique extérieur. Mais le champ électromagnétique, agissant comme un opérateur par l'intermédiaire de son potentiel A sur la fonction d'onde ψ de la particule, semble néanmoins étranger, fusionné et efficace mais pas unifié à la théorie. Cette interaction de la particule et du champ nous pousse néanmoins à remettre en question notre vision de la théorie de Maxwell lorsqu'on fait référence à l'effet mis en évidence par Ahoronov et Bohm : les électrodynamiciens en effet habitués à ne tenir pour physiquement consistant que le champ et les sources au détriment des potentiels jusque là définis au gradient d'une fonction scalaire près, voient dans l'expérience d'Ahoronov et Bohm le potentiel électromagnétique agir seul sur l'électron, en l'absence de tout champ par delà les blindages, altérant ainsi la phase de sa fonction d'onde ψ. Passant outre la clause de "censure cosmique" et laissant apparaître la singularité nue de la solution de Kerr-Newman, Arcos et Pereira (1) explorent le domaine où m2 < a2 + q2 , reprenant ainsi à leur compte l'interprétation étendue de Hawking et Ellis de l'espace temps de la solution de Kerr- Newman, ils font leur l'idée de Wheeler d'un électron purement fait de champ et de courbure à l'exclusion de toute charge ou matière. Dans cette hypothèse, la singularité annulaire de rayon 1/m, égal au rayon de Compton, enclos un disque qui constitue la frontière de notre continuum espace-temps et d'un autre continuum au propriétés comparables. La singularité est décrite comme une corde annulaire parcourue par le champ tournant à la vitesse de la lumière ou hélicoïdale si la particule est en déplacement par rapport à l'observateur. Les lignes de champ électrique s'engouffrent dans le vortex sortant de notre espace-temps sur la singularité pour réapparaître sur sa contrepartie dans l'espace-temps en vis- à-vis. Ce faisant, l'observateur asymptotique que nous sommes voyant les lignes de champ disparaître sans contrepartie assimile à une charge q le phénomène, sachant que la singularité et son disque enclos sont vus par l'observateur asymptotique de façon ponctuelle et selon une symétrie sphérique, ce dernier phénomène étant du à la courbure de la solution de Kerr-Newman. Les lignes de champ magnétique subissent un phénomène analogue engendrant le moment magnétique de l'électron dont l'axe est perpendiculaire au disque circonscrit par la singularité. En outre, la solution comporte 4 états distincts (masse m et m, spin 1/2 et -1/2) se transformant en eux-mêmes uniquement après une rotation de 4π, ce qui constitue une propriété typique des champs de spineurs et conduit à représenter ces états dans une une base de spineurs de Lorentz. Le vecteur d'état représentant, avec une impulsion nonnulle, la solution complète de Kerr-Newman dans un référentiel propre, satisfait alors à l'équation de Dirac. Nous utiliserons donc toutes ces réflexions et constatations expérimentales pour d'une part étendre la théorie de Maxwell à l'ensemble des 16 dimensions de l'espace de Clifford engendré par l'algèbre de Dirac, montrer d'autre part que la théorie de Dirac ne constitue alors qu'une condition particulière imposée au potentiel et au champ électromagnétique ainsi étendu et montrer pour finir que l'on peut construire artificiellement à l'aide de dispositifs électromagnétiques classiques une zone de champ à l'échelle macroscopique comportant toutes les caractéristiques de la singularité nue de Kerr- Newman satisfaisant à la condition de Dirac. Ce document est la propriété intellectuelle de Philippe-Alexandre GAUGAIN, il est déposé et protégé par la législation sur la propriété intellectuelle et industrielle pour tous les pays, il ne peut être ni modifié ni utilisé à des fins commerciales sans l'accord préalable de son auteur Porte spatio-temporelle engendrée par le champ unifié de Dirac-Maxwell - Philipe-Alexandre GAUGAIN page 3/7 Extension des théories de Maxwell et Dirac L'algèbre de Dirac est générée par les 4 vecteurs γ0,γ1,γ2,γ3 qui peuvent être représentés par les matrices de Dirac. γ0 est de carré 1 et γ1,γ2,γ3 de carré -1. Les γκ sont orthogonaux, c'est à dire qu'ils vérifient : Les γκ génèrent l'espace de clifford C4 de dimension 16 dont une base est : Tous les nombres A de C4 appelés d-nombres sont alors la somme : d'un scalaire, d'un vecteur, d'un bivecteur, d'un trivecteur et d'un pseudo-scalaire : En théorie classique de Maxwell, le champ F est défini par rapport au potentiel A par : [1] Dans ce cas, Av est un vecteur (4 composantes) défini au gradient d'une fonction scalaire près, et FB un bivecteur (6 composantes). L'extension réalisée par Van Vlaenderen et Waser (6) (7) (9) pour inclure la composante scalaire du champ nous conduit à écrire : [2] Où FS représente la composante scalaire du champ. Ce dernier à maintenant les 7 composantes attendues et comme le démontre notre référence le potentiel Av ne peut plus être défini au gradient d'une fonction scalaire près ! 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- Publié le Sep 17, 2021
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