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Kostiuk 1 Benjamin Kostiuk Mme Zewar FRA3U Samedi le 28 janvier, 2017 1218 mots

Kostiuk 1 Benjamin Kostiuk Mme Zewar FRA3U Samedi le 28 janvier, 2017 1218 mots La religion dans la vie d’Amir D’après Marcus Tullius Cicero, un écrivain reconnu dans l’empire romain et un des plus grands orateurs du temps romain1 : Translation « De même que l'âme remplit le corps, Dieu remplit le monde.2 » (Cicero) La religion joue un rôle crucial dans le monde moderne. Des millions suivent des leaders religieux, prêts à suivre leurs serments comme loi. Tout aspect de notre vie est influencé quotidiennement. Le roman, les cerfs-volants de Kaboul par Khaled Hosseini, illustre la dominance des traditions religieuses et l’impact sur les individus vivant dans un milieu profondément influencé par l’Islam. Hosseini suit le parcours d’Amir, un jeune garçon vivant à Kaboul, et son histoire d’après les cercles religieux et individus qui lui influence. Ainsi, dans quelle mesure est-ce que le contexte sociohistorique a influencé le caractère d’Amir et sa vision de sa religion ? Amir est influencé par la division des classes religieuses à Kaboul et l’attitude des pratiquants religieux autour de lui, qui lui cause de vivre sans une influence divine. De prime abord, la séparation des groupes Islamiques à Kaboul influence Amir à questionner sa dévotion à Dieu. Les deux groupes Islamiques : les musulmanes sunnites et les musulmanes chiites constituent un des principaux apports que vit Amir dans son milieu. D’après son héritage Amir appartient aux musulmanes sunnites. Les sunnites sont typiquement des Pachtounes, les membres de la classe supérieure ou moyenne vivant dans la richesse. Assez riche, qu’ils peuvent entretenir quelques servants en tout temps, les Hazâras. Les Hazâras appartiennent au groupe chiite des musulmans, et sont souvent des servants vivant dans commodes moins privilégiés. Pendant son enfance, Amir distingue la gentillesse qu’utilise Baba, son père, concernant le traitement des servants vivant avec eux. Néanmoins, vivant dans un quartier riche, il absorbe les 1 https://www.britannica.com/biography/Cicero 2 http://www.quotes-positive.com/quote/just-soul-fills-body-god-272/ Kostiuk 2 opinions des autres jeunes riches sur les Hazâras. Assef critique Hassan, l’ami d’Amir, à chaque rencontre et le traite de moins qu’humain. Les opinions des autres forment une pression et Amir cède à cette pression, choisissant d’accepter la distinction entre Pachtounes et Hazâras. Durant le viol d’Hassan, Amir pense : « Il n’était qu’un Hazara, n’est-ce pas ? » (Hosseini 94) Encore, après son retour à Kaboul, Amir rencontre encore Assef qui éprouve une discrimination envers l’autre classe de religieux. Il lui raconte la conquête de Kaboul par les talibans et la destruction du quartier Hazâra. Le zèle religieux que démontre Assef est clair : « …vous planter devant des cibles et les cribler de balles à volonté… sachant que la vertu, le bien et le droit sont de votre côté. En sachant que vous accomplissez une mission divine. » (Hosseini 306) Amir est horrifié à voir qu’un homme peut commettre des atrocités sous le prétexte de mission divine. Sa perception de la ‘‘libération’’ de Kaboul par le groupe religieux des talibans change drastiquement après le spectacle d’Assef et son attitude envers le meurtre des milliers d’Hazâras. Ceux qui suivent leur religion avec prouesse sont toujours d’excellent exemple de son fonctionnement, mais Amir apprend parfois plus par ceux qui ne la suivent pas. En second rang, l’attitude des pratiquants, notamment celui de Baba, mène Amir à voir les extrêmes de la servitude d’Allah. Amir n’a jamais eu une vraie éducation dans les principes de la vie musulmane. Ni sa mère, ni son père n’ont été une bonne influence religieuse concernant son institution dans l’Islam. La majorité de ses connaissances viennent de l’école où on lui enseigne les versets du Coran. Baba, un homme d’affaires place les valeurs retrouvées dans la religion après ceux qu’il faut pour survivre dans le monde moderne, les valeurs utilisées quotidiennement. L’influence de Baba comme musulman pratique, illustre à Amir que la vie ne doit pas être gouvernée par la religion. Baba parle : « Si Dieu existe, alors j’espère qu’il a mieux à faire que s’occuper de savoir si je mange du porc ou si je bois. » (Hosseini 28) Baba démarque l’opinion de l’homme qui connait que Dieu existe mais croit dans la réalité du monde. Pourtant, autour d’autres pratiquants dévoués il prend à garder son apparence religieuse. Quand Amir va demander la main de Soraya, Baba respecte les traditions en parlant à son père en premier. (Hosseini 186) De plus, Amir est exposé au monde Islamique traditionnel avec l’arrivée des talibans. L’extrémité du groupe provoque dans Amir un choc culturel et religieux. Les principes par lequel vivent les talibans renforcent l’idée que la servitude d’Allah n’est pas définie. Durant ses parcours Amir vit les deux extrémités de la servitude à Dieu : la vie croyant au monde plus qu’en Dieu, et celui qui prend les mots d’Islam à la lettre avec appointée divine. Ces expériences Kostiuk 3 façonnent l’aperçu d’Amir concernant ceux qui choisissent à suivre une religion, lui menant à faire son propre choix. En toute fin, Amir ne laisse aucune trace de sa religion d’enfance affecter sa vie adulte après avoir vu les tensions religieuses et l’attitude des pratiquants d’Islam. Pendant la majorité de sa vie adulte Amir se prive de toute prière et de traditions islamiques. Les versets du Coran qu’ils avait mémorisé à l’école comme enfant sont verrouillés sans clé dans sa mémoire. Après qu’il déménage en Amérique il vit quand même dans une communauté de réfugiés musulmans mais garde seulement l’illusion de sa dévotion à Allah. Après son mariage, Amir réserve la place de sa femme comme individu égal, contrairement aux traditions pratiquées par d’autres dans sa communauté. Pendant que certaines femmes servent les boissons et obéissent leurs maris avec foie, Amir et Soraya prennent leurs décisions ensemble et Amir demande souvent son opinion dans ses décisions quotidiennes. Il est prêt à tout partager avec Soraya même sa culpabilité concernant son passé : « … j’avouai tout à ma femme. Tout. » (Hosseini 356) Également, Amir ne s’appartient pas aux conflits des groupes religieux et suit son propre chemin. Il retourne dans une zone de guerre juste pour chercher et adopter un enfant chiite, même s’il est lui-même sunnite. Il confronte Assef seul pour retourner avec Sohrab aux États-Unis. Sa dévotion à sa quête pour un enfant d’une autre classe religieuse et sociale prend tous ses efforts, même prêt à mourir. Ses expériences montrent l’homme prêt à faire face au monde avec ses propres connaissances, sans l’aide d’une présence de Dieu. Certains se dévouent entièrement à une religion ou une façon de vivre. D’autres passent leurs vies entières à se demander s’il y a une entité supérieure aux humains. Pour certains une révélation vient seulement après un miracle, ou une nécessité immense. Pour Amir, il découvre le refuge qu’offre la religion dans un temps de péril de Sohrab. Les expériences qu’il a vécues tombent à terre face aux dangers de l’enfant qu’il aime. Il retrouve sa prière, se souviens des versets du Coran apprises durant son enfance et prie de façon dévotionnelle. Dans cet hôpital, la réalité que Dieu a le pouvoir de tout faire devient le mantra d’Amir. Il pratique ses prières sans cesse pendant et après le traitement de Sohrab. Hosseini enseigne la leçon que tout homme peut prier à Dieu, même si son passé n’est pas parfait. Vers la fin de l’œuvre les cerfs-volants de Kaboul, Amir a une relation avec Dieu dont il exerce chaque jour. Les prières d’Allah aident Amir dans ses situations les plus difficiles, et dans son avenir. Kostiuk 4 Bibliographie : https://www.britannica.com/biography/Cicero http://www.quotes-positive.com/quote/just-soul-fills-body-god-272/ http://www.shmoop.com/kite-runner/race-quotes-3.html uploads/Religion/ dissertation-bi-finale.pdf