IL A ÉTÉ TIRÉ DU PRÉSENT VOLUME VINGT-CINQ EXEMPLAIRES DE GRAND LUXE SUR JAPON,
IL A ÉTÉ TIRÉ DU PRÉSENT VOLUME VINGT-CINQ EXEMPLAIRES DE GRAND LUXE SUR JAPON, MARQUÉS DE « A » A « Z », SPÉCIALEMENT DESTINÉS AUX BIBLIOPHILES, ET MILLE EXEMPLAIRES DE LUXE DONT CINQ CENTS SUR PAPIER SPÉCIAL PATE PHOTO SOREL-MOUSSEL, NUMÉROTÉS DE 1 A 500 ET CINQ CENTS SUR HÉLIO TEINTÉ, NUMÉROTÉS DE 501 A 1.000. EN OUTRE TROIS CENTS EXEMPLAIRES HORS-COMMERCE SUR PAPIER TEINTÉ SPÉCIAL ONT ÉTÉ IMPRIMÉS AVEC LA MENTION H. C. L ÉDITION ORIGINALE A ÉTÉ TIRÉE A CINQ MILLE EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS DE 1.001 A 6.000. Georges LAKHOVSKY LA SCIENCE ET LE BONHEUR LONGEVITE ET IMMORTALITE PAR LES VIBRATIONS Avec 36 gravures dans le texte « Il ne suffit pas d'aimer la vérité, il faut encore la proclamer. » PASTEUR. GAUTHIER-VILLARS ET Cie, ÉDITEURS 55, Quai des Grands-Augustins, 55 PARIS DU MÊME AUTEUR chez GAUTHIER-VILLARS, EDITEURS à PARIS L'ORIGINE DE LA VIE, 1924. Préface du Professeur d'Arsonval, de l'Institut. LE SECRET DE LA VIE (nouvelle édition remaniée et augmentée du précédent), 1929. CONTRIBUTION A L'ETIOLOGIE DU CANCER, 1927. L'UNIVERSION, 1927. Préface du Professeur d'Arsonval, de l'Institut. A mon vénéré maître M. LE PROFESSEUR D'ARSONVAL Hommage D'admiration affectueuse Paris, Juin 1930 G. L. INTRODUCTION Les recherches que je poursuis depuis une dizaine d'années pour préciser le rôle que jouent en biologie les oscillations électriques et les ondes, m'ont permis de recueillir dans cet ordre d'idées vin certain nombre d'observations et de faits expérimentaux. Ces recherches, entreprises d'abord sans préjuger aucunement des résultats, m'ont amené progressivement à élaborer, puis à vérifier une théorie susceptible de coordonner mes constatations. Comme, dans le domaine de la biologie surtout, les idées progressent plus rapidement que l'expérimentation, on comprendra sans peine que mes premiers travaux, plutôt théoriques, aient eu pour mission de préparer la voie aux résultats d'ordre essentiellement pratique que j'ai obtenus depuis. Une série d'ouvrages antérieurs jalonnent déjà la marche de mes recherches, dont cette étude entreprend en quelque sorte la synthèse. Dans L'Origine de la Vie (1), je pose un certain nombre de problèmes physiologiques restés dans l'ombre : tels que le problème de l'instinct, celui de l'orientation et celui de la radiation des êtres vivants. J'en offre la solution en exposant ma théorie de l'oscillation cellulaire. Une récente édition de cet ouvrage, publiée sous le titre Le Secret de la Vie et complétée par quatre chapitres nouveaux, renferme le résumé de mes derniers travaux. Dans L’Universion (1), j'étends à tout l'univers physique les principes de l'oscillation cellulaire posés pour la biologie et j'explique le rôle de la radiation cosmique. Dans Contribution à l'Etiologie du Cancer (2), j'examine un cas particulier de l'oscillation cellulaire : celui dans lequel la variation du champ de forces des ondes cosmiques, produite par la nature géologique et les propriétés électriques du terrain, détermine chez l'individu le déséquilibre oscillatoire et provoque la formation de néo- plasmes par anomalies de la division cellulaire. Les recherches relatées dans ces ouvrages m'ont conduit à comprendre la vie comme le résultat de l'équilibre oscillatoire dynamique des cellules, équilibre entretenu constamment par les forces du champ extérieur, en particulier par celles de la radiation cosmique qui baigne et pénètre tous les organismes vivants. Dans l'ordre pratique, constatant que la maladie résultait du déséquilibre oscillatoire cellulaire, j'ai imaginé des dispositifs électriques susceptibles de rétablir, à l'entour de l'organisme menacé, le champ des ondes à sa valeur normale. J'y suis parvenu principalement au moyen de générateurs locaux d'oscillations de très haute fréquence ainsi que de circuits oscillants et résonnants, dont j'explique le fonctionnement probable dans le cours de cet ouvrage. J'ai tenu à réunir dans cette étude, d'une part, l'exposé détaillé de mes théories de l'oscillation cellulaire, de mon radio-cellulo-oscillateur et de mes circuits oscillants, en ce qu'elles permettent de comprendre la signification des résultats obtenus, d'autre part, le rapport précis de l'application pratique de mes méthodes et des résultats enregistrés dans le traitement des diverses maladies. Bien que certaines de ces communications aient déjà été mentionnées dans mes premiers ouvrages, j'ai tenu à les publier ici à nouveau pour donner la synthèse de toutes mes recherches. (1)Gauthier-Villars, editéurs, 1926 (2)Gauthier-Villars, editéurs, 1926 Grâce à ma théorie de l'oscillation cellulaire, je suis parvenu à jeter un pont entre le positivisme et la métaphysique, pour atténuer par des données scientifiques l'incertitude angoissante de la longévité et de l'au-delà. J'espère que ces pages aideront à faire approfondir les nouvelles questions que l'action des ondes pose en biologie ainsi qu'en métaphysique et expliqueront la raison d'être de la vie et de l'univers tout entier, J'espère aussi qu'il en résultera d'intéressants progrès dans la nouvelle voie ainsi ouverte à la compréhension du problème si mystérieux de la vie. PREMIÈRE PARTIE LA BIOLOGIE OSCILLATOIRE ET LA PHILOSOPHIE DE LA LONGÉVITÉ CHAPITRE PREMIER LA LONGÉVITÉ J'ai exposé dans les précédents ouvrages, Le Secret de la Vie, L’Universion et Contribution à l’Etiologie du cancer (1), que la vie résulte de la vibration de chaque cellule vivante se trouvant dans le champ de forces des ondes cosmiques. Nous examinerons plus loin, en théorie et en pratique, le mécanisme de la biologie et de la thérapeutique nouvelle à la lumière des principes de l'oscillation cellulaire. Nous voici donc dans la nécessité de « faire le point », pour comprendre exactement où nous en sommes. Quel profit, pour le présent et pour l'avenir, pouvons-nous tirer de ces faits nouveaux ? Dans quelle mesure la théorie oscillatoire modifie-t-elle nos concepts biologiques, la philosophie de la longévité et jusqu'à nos notions métaphysiques du surnaturel ? Les positivistes — et beaucoup de gens pratiquent le positivisme sans le savoir — les positivistes me diront : — « A quoi bon une théorie nouvelle, à quoi bon un principe nouveau, s'il ne doit en résulter pour l'humanité un progrès effectif et tangible? » (1)Gauthier-Villars, editéurs. Et la conclusion vient aussitôt sur leurs lèvres : « Notre bien essentiel est la vie. Si médiocre soit-elle, toutes les fins de nos actes tendent à en profiter le mieux possible et à la conserver. La théorie de l'oscillation cellulaire, qui ouvre maintes voies thérapeutiques nouvelles, peut-elle nous faire espérer un progrès réel dans l'art de vivre, et nous donner quelques raisons d'améliorer et de prolonger notre existence? » Je n'hésiterai pas à répondre par l'affirmative, puisque les méthodes de thérapeutique Oscillatoire que j’ai proposées permettent de réaliser de nouveaux progrès en médecine et en hygiène, et contribuent, ipso facto, à faciliter l'existence et à augmenter la longévité. Mais je voudrais actuellement aborder le fond du problème et, par conséquent, l'envisager surtout au point de vue philosophique, car il ne faut pas voir dans l'oscillation cellulaire seulement une voie nouvelle susceptible d'engendrer des applications fertiles, mais réellement un principe inédit qui doit modifier profondément nos conceptions. Pour vivre vieux sans maladies — puisque tel est l'idéal humain, au moins le but immédiat de la vie — il ne suffit pas d'avoir â sa disposition des recettes d'hygiène et des remèdes nombreux, comme nous le verrons dans un chapitre spécial, Il faut voir plus haut et plus loin ; étudier les autres facteurs, qui rongent notre organisme et abrègent notre existence. Un philosophe, quelque peu humoriste peut-être prétendait que l'on ne mourait que lorsqu'on le voulait bien, ou plutôt en raison d'une négligence, par surprise, à un moment ou l'on oubliait de vivre. La condition essentielle pour durer, c'est donc de Vouloir vivre, intensément et de toutes ses forces, En outre, il faut vivre dans la paix du cœur et dans l'équilibre moral que confère à chaque homme le sentiment de la justice et de la bonne volonté. Enfin, il ne faut pas craindre la mort, mais l’envisager comme la limite naturelle de notre vie terrestre — le sommeil après une journée de fatigue — et comme le passage inéluctable qui conduit à la survie. Il me semble donc qu'on devrait s'astreindre, pour améliorer et prolonger la vie, aux trois règles de conduite suivantes : Premier Principe Croire â la longévité, c'est-à-dire avoir la foi qu'on peut atteindre la vieillesse et vouloir devenir vieux. Deuxième Principe Eviter de compromettre notre existence en s'abstenant d'être jaloux, envieux ou méchant, mais cultiver la bonté, indispensable à l'équilibre de notre santé physique et morale. Troisième Principe Ne pas avoir peur de la mort et croire à la survie, c'est-à-dire en Dieu : car le doute et la crainte de la mort abrègent notre vie. Je vais m'efforcer de développer ces trois points de vue philosophiques sans jamais m'écarter des faits scientifiques expérimentaux qui permettent d'asseoir ces principes sur des bases solides. Je ne me place d'ailleurs ici, ni sur le terrain de la morale, ni sur celui de la religion, mais uniquement au point de vue de l'hygiène physiologique, qui doit nous permettre d'atteindre une longévité heureuse. I. Croire a la Longévité N'avons-nous pas de sérieuses raisons de croire à la longévité? Ce n'est pas assez de dire que nous avons des exemples de longues existences. Ces exemples abondent et notre ignorance seule nous permet parfois d'en douter. Dans un livre remarquable, le uploads/Philosophie/ georges-lakhovsky-la-science-et-le-bonheur.pdf
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- Publié le Jan 14, 2022
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